8 research outputs found

    De « la fiumana dell’Umanità assetata di giustizia » à la foule consensuelle du fascisme : à propos de la représentation de la foule en peinture

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    L’article de Laura Malvano est consacré à la représentation de la foule dans les arts figuratifs. Dans les années-charnières entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe, la foule est un objet privilégié du langage iconique. Porteuse de messages de ralliement et de mobilisation, elle s’impose comme image-symbole chez des artistes comme Emilio Longoni et Giuseppe Pellizza, puis chez les futuristes qui accompagnent les luttes et les mouvements sociaux qui secouent l’Italie jusqu’à la veille de la première guerre mondiale. Devenue icône de « l’art social », la foule est sublimée dans l’esthétique fasciste, où elle devient métaphore de l’unanimité des Italiens et de leur duce, une fois domptées les foules rebelles des « colonnes bolcheviques »

    Prendi l’arte e mettila da parte

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    Questo articolo fu scritto a caldo da Laura Malvano nel pieno della polemica sul destino del prestigioso Musée de l’Homme il cui smantellamento avrebbe dato luogo all’attuale Musée des Arts Premiers, meglio noto come Musée du Quai Branly. Nell’argomentare la sua perplessità di fronte al museo previsto, l’articolo ricorda le origini e le specificità del Musée de l’Homme.Cet article fut rédigé à chaud en 2003, lors du démantèlement du prestigieux Musée de l’Homme, destiné à être remplacé par l’actuel Musée des Arts premiers, mieux connu comme Musée du Quai Branly. Tout en faisant état de ses doutes sur le nouveau musée, Malvano rappelle l’histoire et les spécificités du Musée de l’Homme.The paper deals with the polemics that took place in 2003 over the future of the Musée de l’Homme soon to be replaced by the Musée des Arts Premiers, better known as the Musée du Quai Branly. While arguing against the dismantlement of the Musée de l’Homme, the author reminds the history and the peculiarities of the latter

    De « la fiumana dell’Umanità assetata di giustizia » à la foule consensuelle du fascisme : à propos de la représentation de la foule en peinture

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    L’article de Laura Malvano est consacré à la représentation de la foule dans les arts figuratifs. Dans les années-charnières entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe, la foule est un objet privilégié du langage iconique. Porteuse de messages de ralliement et de mobilisation, elle s’impose comme image-symbole chez des artistes comme Emilio Longoni et Giuseppe Pellizza, puis chez les futuristes qui accompagnent les luttes et les mouvements sociaux qui secouent l’Italie jusqu’à la veille de la première guerre mondiale. Devenue icône de « l’art social », la foule est sublimée dans l’esthétique fasciste, où elle devient métaphore de l’unanimité des Italiens et de leur duce, une fois domptées les foules rebelles des « colonnes bolcheviques »

    L'événement politique en peinture. À propos du Marat de David

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    Laura Malvano, L'événement politique en peinture. À propos du Marat de David, p. 33-54. Difficile à situer par rapport à l'iconographie révolutionnaire, le Marat assassiné de David a mis à l'épreuve les capacités herméneutiques des historiens de l'art. Sa lecture a dû se mesurer avec l'exceptionnalité d'un double statut : celui du chef-d'œuvre incontesté mais aussi celui d'objet dévotionnel, enjeu d'une stratégie politique qui se situe au cœur des événements révolutionnaires. L'approche proposée prend en compte l'ambivalence du tableau, en retraçant les itinéraires artistiques ainsi que politiques qui en constituent l'histoire. C'est grâce à une forme inédite de syncrétisme que la représentation du cadavre «si hideux» de l'Ami du Peuple pourra se muer en objet de culte aux fortes implications politiques, et, en même temps, se métamor- (v. au verso) phoser en objet esthétique chargé d'un exceptionnel pouvoir de symbolisation. Ce rapport ambigu entre l'événement extra-artistique et sa mise à distance symbolique constitue la spécificité majeure du tableau de David.Malvano Laura. L'événement politique en peinture. À propos du Marat de David. In: Mélanges de l'École française de Rome. Italie et Méditerranée, tome 106, n°1. 1994. pp. 33-54

    De « la fiumana dell’Umanità assetata di giustizia » à la foule consensuelle du fascisme : à propos de la représentation de la foule en peinture

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    L’article de Laura Malvano est consacré à la représentation de la foule dans les arts figuratifs. Dans les années-charnières entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe, la foule est un objet privilégié du langage iconique. Porteuse de messages de ralliement et de mobilisation, elle s’impose comme image-symbole chez des artistes comme Emilio Longoni et Giuseppe Pellizza, puis chez les futuristes qui accompagnent les luttes et les mouvements sociaux qui secouent l’Italie jusqu’à la veille de la première guerre mondiale. Devenue icône de « l’art social », la foule est sublimée dans l’esthétique fasciste, où elle devient métaphore de l’unanimité des Italiens et de leur duce, une fois domptées les foules rebelles des « colonnes bolcheviques »

    La morphologie du corps humain entre pédagogie artistique et science du corps

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    Le corps humain a depuis toujours fasciné. Science, philosophie, art... les disciplines majeures ont fait du corps humain leur objet de recherche. Alors, qu'en est-il de la représentation du corps ? Peut-on dresser un historique, au sein d'une institution comme l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris ? Y-a-t-il une pédagogie liée à l'étude du corps ? Comment des siècles d'anatomie ont donné naissance à la morphologie ? C'est à une aventure d'une incroyable richesse que vous convie l'auteur de cette rechercheST DENIS-BU PARIS8 (930662101) / SudocSudocFranceF

    Da Torino a Parigi: Laura Malvano storica e critica d’arte

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    Cet ouvrage collectif auquel ont participé des historiens de l’art prestigieux, des conservateurs de musées et des commissaires d’expositions, historiens de leur propre métier, porte sur deux artistes remarquables de la première moitié du XXe siècle, Nella Marchesini et Ugo Malvano, ainsi que sur l’œuvre critique de leur fille, une historienne de l’art au parcours exceptionnel, Laura Malvano Bechelloni, spécialiste du rapport entre art et politique dans la France du XIXe siècle et dans l’Italie du XXe, mais aussi de peintres éminents tels que Courbet, Pissarro, Bonnard. Il recueille également plusieurs études, à la fois pointues et personnelles, sur quelques figures, grandes et moins grandes, de l’histoire de l’art surtout italien, du Moyen Âge à nos jours (Barnaba da Modena, Bartolomeo Sanvito, Michelange « recyclé au XXe siècle », Rembrandt, Filippo Baldinucci, Andrea Gastaldi, Carlo Scarpa, Franco Garelli, Jean-Michel Basquiat, etc.) ainsi que sur des cycles importantes d’expositions dans l’Italie du XXe siècle
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