2 research outputs found

    Contamination levels of aflatoxin M1 in bulk raw milk of Chaloos and Ramsar

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    Aflatoxin M1 (AFM1) appears in milk as a direct result of the ingestion of feed contaminated with aflatoxin B1 by cattle. This study was conducted to investigate the contamination rate of raw milk whit aflatoxin M1 in Chaloos and Ramsar raw milk collection centers. Two hundred bulk raw milk samples were collected during winter (January and February) and summer (June and July) seasons. The milk samples were analyzed by ELISA method for the presence of AFM1. During the winter, AFM1 was detected in 100% and 59/79% of the bulk raw milk samples in Ramsar and Chaloos, respectively; however, during summer 83/52% and 50/1 of the samples was found as positive in Ramsar and Chaloos, respectively. Furthermore, 45% of Ramsar and 30% of Chaloos bulk milk samples showed higher contamination level of AFM1 than maximum tolerance limit (50 ng/l) accepted by National Standard as well as European Union. Although, the difference between the contamination rate in samples obtained during summer and winter seasons was not statistically significantly, (

    Ecoclines in the Near East along 36^{\circ} N latitude in Apis mellifera L.

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    The ideas examined and the results presented in the last unfinished manuscript of Friedrich Ruttner have been further developed. Within the 6 populations of the Near East distinguishable by morphometry, the bees of Massandaran in Iran occupy an important position due to their large size. Even sea-level bees exceed the size of the bees of the elevated region of Central Iran, which seems to contradict Bergmanns' s rule. An extended study had revealed that this population, clearly belonging to the subspecies Apis mellifera meda, shows a very distinct size increase from the Caspian Sea to the northern slope of the Elbrus Mountains, rising to 2 200 m in elevation. A similar but less pronounced ecocline with a marked increase in size can be found reaching up from the Mediterranean coast to the elevated Central Iranian region. The general pattern within A. m. meda in the region along 36^{\circ} N latitude thus generally confirms Bergmann's rule, thus providing a fine example of an ecoclinal structure. However, size differences between the extremes, i.e., the Mediterranean and the coast of the Caspian Sea remain marked, which indicates an additional genetic component linked to a different history of the populations. This might prove to be an interesting aspect, as the area covered by A. meda is suspected to have played a major role in the evolution of A. mellifera.Ecoclines au Proche Orient le long du 36e parallèle N chez Apis mellifera . Ce travail est basé sur les idées et les données que Friedrich Ruttner avait transmis dans un dernier manuscrit inachevé en demandant qu'il soit complété et remanié. Á l'origine de la recherche était un rapport antérieur selon lequel les abeilles domestiques de la rive sud de la mer Caspienne (Massandaran) étaient nettement plus grandes que celles des massifs montagneux iraniens. Ceci était en contradiction avec la règle de Bergmann, qui stipule que la taille des abeilles augmente avec l'altitude. La présente étude analyse le volumineux matériel prélevé dans la population de Massadaran à différentes altitudes sur les pentes nord du Mont Elbrouz [CITE], ainsi que des données issues de la base de données morphométriques d'Oberursel. Les 66 échantillons provenaient d'une région comprise entre le 34e et le 38e degré de latitude Nord et le 34e et le 56e degré de longitude Ouest (Fig. 1). Le résultat des analyses morphométriques et statistiques montre que les abeilles de Massadaran présentent un cline très net avec des corrélations significatives pour la plupart des caractères de taille, ainsi que pour la longueur des poils. On a pu aussi mettre en évidence un second cline moins net, qui s'étend de la limite occidentale de l'aire d'Apis mellifera meda sur la mer Méditerranée (Latakia, en Syrie [CITE]) jusqu'au massif montagneux iranien et qui présente aussi des corrélations significatives pour de nombreux caractères de taille, pour la longueur des poils et pour la pigmentation (Fig. 3). En outre, l'ensemble des abeilles de Massadaran se distingue nettement des autres A. m. meda du point de vue morphologique, entre autres par la taille. Elles appartiennent pourtant incontestablement à cette sous-espèce. La contradiction d'origine par rapport à la règle de Bergmann a pu être résolue : il existe deux populations différentes d' A. m. meda, nettement distinctes par la taille, mais, au sein de chaque population, il existe une relation nette entre l'altitude et les caractères morphométriques. Pour les abeilles de Massadaran en particulier, le cline d'altitude peut être considéré comme un exemple particulièrement net de la validité de la règle de Bergmann chez les abeilles domestiques, puisque l'altitude varie du niveau de la mer à 2200 m sur une distance de 100 km seulement
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