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    Simple scoring system to predict in-hospital mortality after surgery for infective endocarditis

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    BACKGROUND: Aspecific scoring systems are used to predict the risk of death postsurgery in patients with infective endocarditis (IE). The purpose of the present study was both to analyze the risk factors for in-hospital death, which complicates surgery for IE, and to create a mortality risk score based on the results of this analysis. METHODS AND RESULTS: Outcomes of 361 consecutive patients (mean age, 59.1\ub115.4 years) who had undergone surgery for IE in 8 European centers of cardiac surgery were recorded prospectively, and a risk factor analysis (multivariable logistic regression) for in-hospital death was performed. The discriminatory power of a new predictive scoring system was assessed with the receiver operating characteristic curve analysis. Score validation procedures were carried out. Fifty-six (15.5%) patients died postsurgery. BMI >27 kg/m2 (odds ratio [OR], 1.79; P=0.049), estimated glomerular filtration rate 55 mm Hg (OR, 1.78; P=0.032), and critical state (OR, 2.37; P=0.017) were independent predictors of in-hospital death. A scoring system was devised to predict in-hospital death postsurgery for IE (area under the receiver operating characteristic curve, 0.780; 95% CI, 0.734-0.822). The score performed better than 5 of 6 scoring systems for in-hospital death after cardiac surgery that were considered. CONCLUSIONS: A simple scoring system based on risk factors for in-hospital death was specifically created to predict mortality risk postsurgery in patients with IE

    Influence du bacille de Calmette et Guérin (B.C.G.) sur la migration larvaire de

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    L’injection de B.C.G. à la Souris entraîne une augmentation de la résistance non spécifique de l’organisme vis-à-vis de Schistosoma mansoni, se traduisant par une importante diminution du nombre des schistosomules pulmonaires ; les mécanismes de défense mis en jeu semblent intervenir de façon précoce dès les premiers stades de migration larvaire du parasite. L’état de résistance non spécifique ainsi obtenu apparaît de façon progressive après l’inoculation du bacille ; il se maintient plusieurs semaines bien qu’il ait alors tendance à s’atténuer. Une réinoculation de B.C.G. à l’animal déjà sensibilisé aux antigènes du bacille entraîne une immunostimulation beaucoup plus intense et dont le délai d’apparition est beaucoup plus court

    Étude par la réaction d’immunofluorescence des anticorps dirigés contre les antigènes de l’épithélium intestinal de

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    Un anticorps monoclonal de souris de classe IgM dirigé contre un épitope de l’épithélium intestinal du ver adulte est sélectionné et son aptitude à détecter les antigènes parasitaires présents dans l’organisme infesté est testé. Un antigène parasitaire peut-être ainsi mis en évidence au niveau des urines de hamsters et de souris infestés où son taux est en rapport étroit avec la charge parasitaire. La structure antigénique détectée est thermostable, soluble dans l’acide trichloracétique, n’est pas détruite par la protéinase K, mais elle est détruite par le métaperiodate. Spécifique du genre Schistosoma, elle est présente au niveau des différents stades évolutifs du parasite, en particulier au niveau de l’œuf où elle est particulièrement abondante

    Étude par la réaction d’immunofluorescence des anticorps dirigés contre les antigènes de l’épithélium intestinal de

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    Des anticorps dirigés contre les antigènes de l’épithélium intestinal de Schistosoma mansoni sont mis en évidence, chez la Souris expérimentalement infestée, à l’aide d’une réaction d’immunofluorescence indirecte utilisant comme antigène des coupes à la paraffine de schistosomes adultes fixés au préalable par le fixateur de Rossman. Les anticorps appartenant aux différentes classes et sous-classes d’immunoglobulines sont mis en évidence à l’aide de conjugués monospécifiques. Les anticorps de classe IgM sont prédominants : apparus dès le 12e jour de l’infestation, leur taux maximum est atteint au 2e mois et ils sont toujours présents au 12e mois bien qu’à des taux plus faibles. Les anticorps appartenant aux différentes sous-classes d’IgG peuvent être également détectés mais ils apparaissent plus tardivement et ils tendent à disparaître à la phase chronique de l’infestation, époque à laquelle ils sont présents de manière inconstante. On ne décèle pas d’anticorps de classe IgA ni de classe IgE. Après traitement par le Praziquantel une élévation transitoire mais importante du taux des anticorps est observée. Aucune réaction positive n’est obtenue avec les sérums prélevés chez des souris infestées par Fasciola hepatica ou Trichinella spiralis

    Application du test E.L.I.S.A. au diagnostic de la strongyloĂŻdose

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    Un test immunoenzymatique (test E.L.I.S.A.) est appliqué au diagnostic de la strongyloïdose humaine. Les premiers résultats obtenus montrent que cette réaction peut compléter les moyens d’investigation déjà utilisés pour le diagnostic de cette affection : analyse coprologique, tests intradermiques, tant pour les études épidémiologiques que pour le diagnostic individuel ; elle peut permettre en outre de s’assurer de l’efficacité de la thérapeutique instituée

    Étude par la réaction d’immunofluorescence des anticorps dirigés contre les antigènes de l’épithélium intestinal de

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    Les anticorps dirigés contre les antigènes de l’épithélium intestinal de S. mansoni sont étudiés chez 2 230 sujets de différentes classes d’âge, vivant en zone d’endémie bilharzienne, à l’aide d’une réaction d’immunofluorescence utilisant comme antigène des coupes de Ver adulte de S. mansoni préalablement fixé par le fixateur de Rossman.Les anticorps de classe IgM mis en évidence sont d’apparition précoce : présents à des taux élevés dans les infestations récentes, ils sont néanmoins encore décelables dans les infestations chroniques quoique à des taux beaucoup plus faibles.L’étude de plusieurs foyers d’infestation bilharzienne différant par l’importance de l’endémie met en évidence une relation inverse entre la prévalence des anticorps et l’importance de l’endémie bilharzienne. Un effet de tolérance spécifique pourrait expliquer cette constatation ainsi que la faible prévalence des anticorps chez le très jeune enfant.Excellente chez le sujet bilharzien non traité, la spécificité de la réaction est médiocre chez le sujet traité en raison de la longue persistance des anticorps après traitement

    Étude séroépidémiologique de la toxoplasmose à la Guadeloupe et à la Martinique

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    L’examen à la Guadeloupe et à la Martinique de 9 950 sérums a mis en évidence l’importance et la précocité de l’infestation par le Toxoplasme : 56,9 % de la population possède des anticorps fixant le complément, 65,6 % des anticorps hémagglutinants et, dès les premières tranches d’âge, près de la moitié de la population se révèle infestée. Bien que la consommation de viande insuffisamment cuite soit le plus souvent invoquée, ce mode de contamination ne semble pas devoir être incriminé à la Guadeloupe et à la Martinique où la population se nourrit traditionnellement de poisson et de viande très cuite. Par ailleurs la grande variabilité des taux d’infestation observés dans les différentes localités étudiées conduit à envisager l’intervention de facteurs climatiques favorisant la survie dans le milieu extérieur des oocystes issus de la multiplication sexuée du parasite

    Étude par la réaction d'immunofluorescence des anticorps dirigés contre l'épithélium intestinal de

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    Au cours de travaux antérieurs, nous avons isolé une IgM monoclonale de type lambda dirigée contre un épitope glucidique localisé à la surface de l'épithélium intestinal du ver adulte de Schistosoma mansoni. Nous avions montré que cet épitope, présent à tous les stades évolutifs, était particulièrement abondant au niveau de l'œuf du parasite. Le présent travail nous a permis de préciser la localisation de l'épitope au niveau des différents stades évolutifs par la mise en œuvre de techniques immunohistochimiques. Il apparaît en particulier que chez le ver adulte, l'épitope se localise ou niveau des membranes périphériques, tandis que, dans l'œuf, il est abondamment excrété par le miracidium et diffuse dans les tissus de l'hôte. De plus, chez le ver adulte, l'épitope se présente sous la forme d'une structure soluble dans les solvants organiques, alors que, dans l'œuf, il se présente sous la forme d'une molécule hydrosoluble. Ces données permettent de mieux comprendre pourquoi, chez la souris expérimentalement infestée, l'épitope ne peut être détecté dans les urines à des taux importants qu'à partir de la sixième semaine après l'infestation, moment où les œufs commencent à être déposés dans les tissus. Par ailleurs, l'inhibition de la fixation de l'anticorps monoclonal par un pentose contenant l'antigène Lewis X fait apparaître que la structure glucidique reconnue par l'anticorps monoclonal pourrait être l'antigène Lewis X ou une structure très proche

    Influence de la température ambiante sur l’évolution de

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    Des Souris infestées par Schistosoma mansoni sont maintenues dans une ambiance thermique chaude à 35 °C de façon continue, pendant des durées variables et à différentes phases de l’infestation. Les effets de l’hyperthermie ainsi provoquée chez l’animal sont évalués par la numération des vers adultes et des schistosomules pulmonaires. Une diminution très importante du nombre de parasites est observée chez les animaux traités. Les résultats obtenus suggèrent que l’ambiance thermique chaude exerce son action aux stades précoces de l’infestation, durant la phase de migration des schistosomules
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