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Non-Hodgkin's lymphoma presenting as a primary bladder tumor: a case report
<p>Abstract</p> <p>Introduction</p> <p>Primary lymphoma of the bladder represents 0.2% of all bladder malignancies. Secondary involvement of the bladder by malignant lymphoma occurs in 10% to 50% of cases. Most lymphomas of the bladder are non-Hodgkin's lymphomas of the B-cell type, with preponderance among women. The impact of positron emission tomography (PET) on tumor staging has recently become very important due to its use in the study of diagnosis extension and individual therapy design.</p> <p>Case presentation</p> <p>We report the case of a 79-year-old Caucasian man with intermittent haematuria as the presenting symptom of non-Hodgkin's lymphoma of the bladder. He was first diagnosed with primary lymphoma of the bladder using the current staging method, but a positron emission tomography study subsequently revealed that he instead had a secondary involvement of the bladder.</p> <p>Conclusion</p> <p>The staging of non-Hodgkin's lymphomas, which is useful in order to plan accurate therapy, has been changing since the introduction of positron emission tomography scanning. Primary lymphomas of the bladder, although very rare, may be even more uncommon when this imaging technique is used to assess the extension of the disease. Although the interpretation of this technique has some limitations that should be taken into account, the extensive use of positron emission tomography should nonetheless help improve the diagnosis of this disease.</p
Radioprotection du personnel lors de traitements par OctreoTher
À l'heure actuelle, dans notre service de médecine nucléaire, la surveillance
dosimétrique du personnel est passive. Cette surveillance rend compte de la dose
reçue sur un mois ou un trimestre mais ne permet pas une étude en temps réel de
l'exposition d'un agent. Nous avons réalisé des mesures de dose à l'aide d'un
détecteur opérationnel pour deux catégories de personne travaillant à la mise en
place d'un nouveau protocole de traitement par un analogue de la somatostatine
marqué par l'yttrium-90 (OctreoTher - Novartis). Le but de cette étude est
d'identifier les Ă©tapes les plus irradiantes et de limiter l'exposition des personnes.
Ainsi, nous avons mis en Ă©vidence que, pour le personnel du laboratoire chaud,
l'étape la plus irradiante était la récupération des déchets pour stockage avant
élimination. L'utilisation de boîte en Plexiglas lors de cette étape a permis de réduire
l'Ă©quivalent de dose Ă la peau de 240 ÎĽSv Ă 15 ÎĽSv. Pour le personnel infirmier, les
Ă©tapes les plus irradiantes Ă©taient les manipulations de la perfusion lors du
traitement par l'OctreoTher et de la déperfusion. L'utilisation systématique de
paravents plombés lors de toute approche du patient, l'utilisation de boîtes en
Plexiglas pour stocker les déchets (tubulures et flacons) et pour se protéger de la
rampe de perfusion ont permis de réduire l'équivalent de dose à la peau de
1 300 μSv à 150 μSv. L'utilisation du dosimètre opérationnel nous a donc permis d'identifier
les Ă©tapes les plus irradiantes pour les personnels du laboratoire chaud et infirmier,
et de mettre en place des mesures optimales de radioprotection adaptées à chaque
étape, de la préparation à la fin des traitements