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    A Complex Genomic Rearrangement Involving the Endothelin 3 Locus Causes Dermal Hyperpigmentation in the Chicken

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    Dermal hyperpigmentation or Fibromelanosis (FM) is one of the few examples of skin pigmentation phenotypes in the chicken, where most other pigmentation variants influence feather color and patterning. The Silkie chicken is the most widespread and well-studied breed displaying this phenotype. The presence of the dominant FM allele results in extensive pigmentation of the dermal layer of skin and the majority of internal connective tissue. Here we identify the causal mutation of FM as an inverted duplication and junction of two genomic regions separated by more than 400 kb in wild-type individuals. One of these duplicated regions contains endothelin 3 (EDN3), a gene with a known role in promoting melanoblast proliferation. We show that EDN3 expression is increased in the developing Silkie embryo during the time in which melanoblasts are migrating, and elevated levels of expression are maintained in the adult skin tissue. We have examined four different chicken breeds from both Asia and Europe displaying dermal hyperpigmentation and conclude that the same structural variant underlies this phenotype in all chicken breeds. This complex genomic rearrangement causing a specific monogenic trait in the chicken illustrates how novel mutations with major phenotypic effects have been reused during breed formation in domestic animals

    Sur le rayonnement du radioelément AcK

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    Étude avec la chambre à détente de Wilson du rayonnement émis par le nouveau radioélément AcK.Le spectre continu β que l'on a déterminé est très différent des spectres de Ac B et Ac C" déterminés au cours d'autres expériences. Sur le diagramme de Sargent (log Em en fonction de log λ) le point correspondant à ce nouveau radioélément se trouve sur la première droite correspondant à une transition permise. L'existence d'un certain nombre de positons d'assez grande énergie semble indiquer l'existence d'un rayonnement γ intense, d'énergie supérieure à 3 MeV

    Réalisation d'un dispositif automatique de microcalorimétrie adiabatique. Application à la mesure de périodes radioactives et à la comparaison des étalons de radium

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    La méthode de microcalorimétrie adiabatique a été utilisée depuis de nombreuses années, en particulier au Laboratoire Curie, pour l'étude de différents phénomènes liés à la radioactivité. Les perfectionnements que nous avons apportés à cette méthode ont conduit à la réalisation d'un dispositif entièrement automatique qui accroît beaucoup la précision des mesures. Ce dispositif permet des mesures relatives de quantité de chaleur variant dans un rapport considérable. Les résultats expérimentaux obtenus jusqu'ici concernent la mesure de la période du radon et la comparaison des étalons de radium

    Détermination calorimétrique de l'energie moyenne de 198Au

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    We have determined the àverage β energy of 198Au by a calorimetric method. The result Eβ = 287 ± 20 keV seems to be lower than the value obtained by integration of the β spectrum.On a procédé à la détermination de l'énergie moyenne β de 198 Au par une méthode entièrement calorimétrique. L'énergie moyenne obtenue, Eβ = 287 ± 20 keV, semble être inférieure à la valeur que l'on obtient par intégration des spectres

    Mesures microcalorimétriques du rayonnement γ

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    Description of a new apparatus for adiabatic micro-calorimetry, with automatic compensation, able to measure the absolute γ radiation of radioelements.Mise au point d'un nouveau dispositif de microcalorimétrie adiabatique à compensation automatique permettant la mesure absolue du rayonnement γ des radioéléments

    Mesures microcalorimétriques du rayonnement γ

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    Mesure de l'actinium

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    Sur les rayonnements β et γ de l'actinium et de l'actinium K

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    Le 'rayonnement γ de l'actinium et de l'actinium K a été étudié au moyen d'un compteur à xénon. La désintégration de l'actinium s'accompagne de l'émission d'un rayonnement γ de 37 keV (2,2 photons par 1 000 désintégrations), d'un rayonnement de 15 kéV (5 photons par 100 désintégrations) caractérisé comme résultant de la conversion du rayonnement de 37 keV dans le niveau L du radioactinium. L'existence d'un rayonnement y de 300 keV (2 photons par 1 000 désintégrations) reste douteuse. Lors de sa désintégration l'actinium K émet : un rayonnement γ de 350 keV (6 photons par 100 désintégrations), un rayonnement γ de 48,6 keV (27 photons par 100 désintégrations) et un rayonnement L (25 photons par 100 désintégrations). L'étude du rayonnement β émis par l'actinium a été faite au moyen d'une chambre Wilson à basse pression. Elle a montré la présence d'un rayonnement électronique de faible intensité (17 électrons par I oo désintégrations, au maximum). La répartition spectrale et l'intensité du rayonnement correspondent approximativement aux électrons émis lors de la conversion du rayonnement γ de 37 keV, dans les niveaux L. et M. L'énergie mise en jeu lors de la transition Ac B→ R Ac semble donc être au moins de 37 keV. Dans 85 pour 100 des désintégrations de l'actinium, il devrait donc être émis un spectre continu β dont la limite supérieure serait de 37 keV, ce qui semble exclus d'après ces expériences
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