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    Réalisation d'un dispositif automatique de microcalorimétrie adiabatique. Application à la mesure de périodes radioactives et à la comparaison des étalons de radium

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    La méthode de microcalorimétrie adiabatique a été utilisée depuis de nombreuses années, en particulier au Laboratoire Curie, pour l'étude de différents phénomènes liés à la radioactivité. Les perfectionnements que nous avons apportés à cette méthode ont conduit à la réalisation d'un dispositif entièrement automatique qui accroît beaucoup la précision des mesures. Ce dispositif permet des mesures relatives de quantité de chaleur variant dans un rapport considérable. Les résultats expérimentaux obtenus jusqu'ici concernent la mesure de la période du radon et la comparaison des étalons de radium

    Mesures microcalorimétriques du rayonnement γ

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    Mesures microcalorimétriques du rayonnement γ

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    Description of a new apparatus for adiabatic micro-calorimetry, with automatic compensation, able to measure the absolute γ radiation of radioelements.Mise au point d'un nouveau dispositif de microcalorimétrie adiabatique à compensation automatique permettant la mesure absolue du rayonnement γ des radioéléments

    Mesure de l'actinium

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    Sur les rayonnements β et γ de l'actinium et de l'actinium K

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    Le 'rayonnement γ de l'actinium et de l'actinium K a été étudié au moyen d'un compteur à xénon. La désintégration de l'actinium s'accompagne de l'émission d'un rayonnement γ de 37 keV (2,2 photons par 1 000 désintégrations), d'un rayonnement de 15 kéV (5 photons par 100 désintégrations) caractérisé comme résultant de la conversion du rayonnement de 37 keV dans le niveau L du radioactinium. L'existence d'un rayonnement y de 300 keV (2 photons par 1 000 désintégrations) reste douteuse. Lors de sa désintégration l'actinium K émet : un rayonnement γ de 350 keV (6 photons par 100 désintégrations), un rayonnement γ de 48,6 keV (27 photons par 100 désintégrations) et un rayonnement L (25 photons par 100 désintégrations). L'étude du rayonnement β émis par l'actinium a été faite au moyen d'une chambre Wilson à basse pression. Elle a montré la présence d'un rayonnement électronique de faible intensité (17 électrons par I oo désintégrations, au maximum). La répartition spectrale et l'intensité du rayonnement correspondent approximativement aux électrons émis lors de la conversion du rayonnement γ de 37 keV, dans les niveaux L. et M. L'énergie mise en jeu lors de la transition Ac B→ R Ac semble donc être au moins de 37 keV. Dans 85 pour 100 des désintégrations de l'actinium, il devrait donc être émis un spectre continu β dont la limite supérieure serait de 37 keV, ce qui semble exclus d'après ces expériences
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