27 research outputs found

    Etude cinétique sous pression en présence de catalyseurs sulfures Co-Mo/AI

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    L’hydrodésulfuration du dibenzothiophène a été étudiée 473 et 513 K, sous 1 à 50.105 Pa, dans un microréacteur dynamique, en présence de catalyseurs Co-Mo/γAl2O3, Mo/Al2O3 et Co/γ Al2O3 préalablement sulfurés. Au cours de cette étude cinétique, réalisée en phase vapeur, l’attention a été portée sur le rôle spécifique de l’hydrogène dans les réactions d’hydrogénolyse et d’hydrogénation ainsi que sur l’influence de l’H2S présent dans le milieu réactionnel. Les résultats permettent de proposer des équations cinétiques de type Langmuir Hinshelwood rendant compte de la réaction d’hydrogénolyse du DBT et de la réaction d’hydrogénation du biphényle ; l’estimation des grandeurs cinétiques relatives à l’hydrogène suggère l’existence de deux modes différents d’adsorption de ce réactif sur le catalyseur

    Oxydation du propène sur le molybdate de fer

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    L'oxydation du propène en acroléine et gaz carbonique a été étudiée sur un catalyseur molybdate de fer. Les deux réactions de formation d'acroléine et de gaz carbonique, sont parallèles; les cinétiques suivent la loi de l'état stationnaire d'adsorption de l'oxygène. Les constantes de vitesse calculées à partir des résultats expérimentaux montrent d'une part que la surface est énergétiquement hétérogène, d'autre part que les espèces d'oxygène intervenant dans les deux types d'oxydation sont différentes

    Adsorptions physique et chimique d’éthanol sur un catalyseur silice-alumine synthétique par une méthode dynamique

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    L’adsorption d’éthanol est étudiée par la méthode frontale. On distingue deux types d’adsorption : réversible et irréversible. Cette dernière est une adsorption chimique forte (Qa > 30 kcal/ mole) que l’on peut relier aux sites producteurs d’éthylène. L’adsorption réversible peut elle-même être divisée en adsorption physique (Qa = 14 kcal/mole), prépondérante à basse température, et adsorption chimique faible (Qa = 17 kcal / mole) détectable au-dessus de 100 °C. Cette dernière adsorption suit une loi de Langmuir de type θ = aP0,5 (l + aP0,5) ce qui suppose une adsorption dissociante de l’éthanol

    Étude cinétique de la déshydrogénation du cyclohexane en phase vapeur sur catalyseur platine-silice

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    L’étude cinétique de la déshydrogénation du cyclohexane a été conduite sur Pt — SiO2, dans le domaine 230-280 °C. La vitesse de la réaction obéit à la loi,[math] faisant apparaître une forte inhibition par les produits.L’énergie apparente d’activation est de 30 kcal.mole-1 mais croît jusqu'à 40 kcal.mole-1 dans le domaine 360- 380 °C.Nos résultats sont comparés à ceux de la littérature et interprétés par les variations d’adsorption du réactif et des produits.L’influence inhibitrice de l’hydrogène rend difficile l'identification des sites actifs à l’entité Pt — H

    Étude cinétique sous pression en présence de catalyseur sulfure Co-Mo/Al

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    L'hydrogénation du biphényle a été étudiée entre 120 et 180°C, sous 1 à 40.105 Pa, dans un microréacteur dynamique, en présence d'un catalyseur industriel Co-Mo/Al2O3 préalablement sulfuré. Le phénylcyclohexane est le seul produit obtenu. L'étude cinétique, réalisée en phase vapeur, montre que l'ordre par rapport à l'hydrogène est égal à un aux faibles pressions, et décroît quand la pression augmente, alors que l'ordre par rapport au biphényle reste voisin de zéro dans le domaine étudié de 3 à 30.102 Pa. Ces résultats s'interprètent par une loi de type Langmuir Hinshelwood avec adsorption de chacun des deux réactifs sur des sites distincts du catalyseur

    Adsorptions physique et chimique de pyridine sur un catalyseur silice-alumine synthétique par une méthode dynamique

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    L’adsorption de pyridine est étudiée par une méthode dynamique, elle peut être décomposée en adsorptions physique et chimique. A l’adsorption physique correspond une énergie de liaison de 8 kcal/mole. Le nombre de sites actifs pour l’ad sorption chimique est de 7.1019 sites/g. La mesure des chaleurs d adsorption par la désorption en température programmée fait apparaître deux types de centres actifs auxquels correspondent des énergies de liaison de 33 et 39 kcal/mole

    Hydrodésulfuration catalytique : étude cinétique de l’hydrogénolyse du dibenzothiophène

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    Le dibenzothiophène a été choisi comme molécule-modèle des espèces sulfurées présentes dans les coupes pétrolières moyennes et lourdes. L'étude cinétique de l’hydrodésulfuration catalytique de ce composé (en l’absence de diluant) a été conduite en phase vapeur, en présence d'un grand excès d’hydrogène et d’un catalyseur industriel Co-Mo/Al2O3 préalablement sulfuré. Elle est réalisée en microréacteur dynamique avec analyse en ligne. Les produits obtenus sont essentiellement H2S et biphényle, le bicyclohexyle n’ayant jamais été décelé et la sélectivité en phénylcyclohexane ne dépassant pas 1,5 %. L'équation cinétique proposée est du type Langmuir-Hinshelwood sans compétition d’adsorption entre les deux réactifs dibenzothiophène et hydrogène. Le calcul des constantes cinétiques montre une forte inhibition par l'H2S produit au cours de la réaction, et une grande sensibilité du catalyseur vis-à-vis de l’air ambiant

    Détermination précise de l’aire de surfaces hydroxylées solides ou liquides par une méthode dynamique améliorée et par la mesure de l’encombrement d’un film de phase stationnaire

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    L’exactitude de la détermination de la surface spécifique de matériaux divisés au moyen d’une méthode B.E.T. dynamique améliorée, a pu être vérifiée par une nouvelle méthode totalement indépendante. Cette dernière met à profit la mise en évidence, par chromatographie en phase gazeuse, d’états bidimensionnels de films d’alcools gras non volatils déposés sur cette surface, états dans lesquels l’encombrement des molécules peut être mesuré avec précision. La concordance des résultats et la rapidité de la méthode dynamique plaident en faveur de celle-ci pour la détermination de l’étendue d’interfaces liquide-gaz dans des milieux poreux

    N° 95. — Dosage et granulométrie du nickel déposé sur silice-alumine

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    Les catalyseurs sont issus de l’imprégnation d’une silice- alumine commerciale par le formiate de nickel, suivie d’un traitement sous vide à 270 °C. Un solide préparé par coprécipitation des hydroxydes de nickel et silicium, et réduction par l’hydrogène à 350 °C a également été étudié. Des mesures magnétiques tant à la balance de Faraday que par la méthode d’extraction ont permis de doser le nickel métallique et de déterminer sa granulométrie. Des déterminations d’aire métallique accessible, par chimisorption sélective d’oxygène, ont été effectuées. Il s’avère que le premier groupe de solides contient des ions Ni2+ échangés avec les sites acides du support et très libres. Le nickel métallique s’y trouve principalement à l’état de mélange mécanique vis-à-vis de la silice-alumine. Le catalyseur obtenu par coprécipitation ne renferme pas de nickel ionique. Son aire métallique accessible, relativement importante, n’est pourtant que le tiers environ de la superficie totale des cristallites de nickel
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