33 research outputs found

    Le Petit Botticelli

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    Qui est Sandro Botticelli ? Il est le peintre le plus talentueux de Florence. Ami de Léonard de Vinci, il développe son propre style : lignes fluides et couleurs chatoyantes. L'artiste lance des modes ! Il innove et crée de nouveaux modèles de tissus et de drapés vaporeux. Qui est la belle Simonetta Vespucci ? Quelle influence a eue le prédicateur Savonarole sur Botticelli ? Que racontent ses tableaux ? Entrez dans la mythologie et rencontrez Zéphyr, Flore, Vénus, Primavera... dans des jardins de fleurs. Découvrez la vie passionnante de ce génie de la Renaissance italienne. Kate Art Edition est une maison d'édition bruxelloise destinée aux enfants et aux familles pour apprendre l'art en s'amusant

    Un corpus "monumental". Cadres conceptuels et cadres peints dans les fresques de la Renaissance italienne

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    Invitation à la journée doctorale (ED4) de la prof. Nathalie Tousignan

    Opacité d’un support et réflexivité du décor : les tapisseries peintes à Rome au XVIe siècle

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    in GEMCA: Papers in Progress, t. 4, n°1, 2017, p. 111-125. En ligne : [http://gemca.fltr.ucl.ac.be/docs/pp/GEMCA_PP_4-1-2017.pdf

    L’art de cadrer son discours. Aux marges des stratégies visuelles dans les décors de la Renaissance italienne

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    Comment « cadrer » son discours, trouver la bonne formule ou encore le ton adapté au public cible ? Voilà autant de questions auxquelles sont confrontés les artistes de la Renaissance italienne, les commanditaires et leurs conseillers. Bien que situé aux marges de la représentation et en marge de l’histoire de l’art traditionnelle, le cadre apparaît pourtant comme la première des réponses en termes de stratégie visuelle. Partant de ce constat, nous entendons recentrer l’attention sur les dispositifs périphériques qui mettent en scène les grands décors peints à fresque dans la Rome papale, à la charnière entre le XVe et le XVIe siècle. Il s’agira en d’autres termes de saisir la manière dont les dispositifs d’encadrement peints en trompe-l’œil contribuent activement aux sens véhiculés par la représentation, à comprendre à la fois comme signification (message délivré) et effets sensibles (perception du spectateur)

    Présentation du 17e numéro de la revue Studiolo

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    Invitation par dr. Francesca Albert

    Inferno's floor

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    A few years ago, during a residency at the Academia Belgica in Rome, Damien De Lepeleire began to study ornamental additions: tiled floors, mosaics, architectural achievements from the middle ages, the renaissance and the baroque period. The mosaics of ancient Rome became a chief fascination. In these, the visueal simplification due to the use of square stones produces a meeting between mathematics and colour, suggesting graphic stratagems the like of which the art of painting did not enjoy until the 20th century. One might consider the series of collage-paintings, assembled under the title Inferno’s Floor, an homage of the major arts to the so-called minor one. Gluing small cut-outs from newspapers and art books to canvas, De Lepeleire reconstructs ancient mosaics or invents new ones, shining a distorted light on the patterns of a Roman Medusa or Mike Tyson. These are amazing works, light-footed and stern at the same time, intimately linked with De Lepeleire’s previous work, but completely fresh. Paved with good intentions, this painter”s voyage through hell seems to produce more and more breathing space. (Hans Theys

    Ce que le dessin préparatoire dit du dessein des cadres dans les fresques de la Renaissance italienne

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    Si le cadre peint joue un rôle fondamental dans le fonctionnement des systèmes décoratifs de la Renaissance italienne et dans la perception qu’en a le spectateur, il n’existe pourtant que peu de traces de sa conception et de sa réception. Ce constat d’absence résonne encore dans la littérature actuelle, où les cadres sont trop souvent rognés des reproductions photographiques, alors qu’elles constituent la première voie d’accès et d’interprétation des œuvres. Cet article cherche donc à comprendre la place discrète qu’occupe le cadre dans les discours théoriques comme dans la pratique des dessins préparatoires de fresques, entre le XVe et le XVIe siècle. À partir de quelques cas d’études exceptionnels, c’est l’évolution même du cadre dans le processus créatif qui est ainsi mis en lumière

    Italian Renaissance frescoes as a place to transgress the picture’s limits

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    Considered as devices designed to connect the fictional space of the picture to the real space of the beholder, Roman Renaissance frescoes are privileged vehicles for questioning the complex relationships between the wall decorations and the environment they fit into. Beyond the architectonic structures that constrain the frescoes implementation (e.g. pilasters, doors, etc.), the latter may in turn restructure the room through painted architectural frames. In order to understand these links between both media (painting and architecture), one space in particular will retain our attention, namely secondary or peripheral zones surrounding the main fresco, such as pillars or socles. By standing on such restricted areas, the figures depicted on these supports are more likely to transgress the picture threshold. As an example, the feigned marble which frames Isaiah (painted by Raphael on one of the S.Agostino Church nave pillars, c.1512) is exceeded by the Prophet’s foot and drapery. At the limits of representation, the frame acts therefore as a substantial device to structure spatialities as it defines both their boundaries and connections between reality and fiction
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