136 research outputs found

    Risk of Residual Neoplasia after a Local-Risk Resection of Colorectal Lesions by Endoscopic Submucosal Dissection: A Multinational Study

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    Endoscopic submucosal dissection (ESD) in colorectal lesions is demanding, and a significant rate of non-curative procedures is expected. We aimed to assess the rate of residual lesion after a piecemeal ESD resection, or after an en bloc resection but with positive horizontal margins (local-risk resection-LocRR), for colorectal benign neoplasia. A retrospective multicenter analysis of consecutive colorectal ESDs was performed. Patients with LocRR ESDs for the treatment of benign colorectal lesions with at least one follow-up endoscopy were included. A cohort of en bloc resected lesions, with negative margins, was used as the control. A total of 2255 colorectal ESDs were reviewed; 352 of the ESDs were "non-curative". Among them, 209 were LocRR: 133 high-grade dysplasia and 76 low-grade dysplasia. Ten cases were excluded due to missing data. A total of 146 consecutive curative resections were retrieved for comparison. Compared to the "curative group", LocRRs were observed in lengthier procedures, with larger lesions, and in non-granular LSTs. Recurrence was higher in the LocRR group (16/199, 8% vs. 1/146, 0.7%; p = 0.002). However, statistical significance was lost when considering only en bloc resections with positive horizontal margins (p = 0.068). In conclusion, a higher rate of residual lesion was found after a piecemeal ESD resection, but not after an en bloc resection with positive horizontal margins.info:eu-repo/semantics/publishedVersio

    Low risk of local recurrence after a successful en bloc Endoscopic Submucosal Dissection for non-invasive colorectal lesions with positive horizontal resection margins(R-ESD study)

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    BACKGROUND : During endoscopic submucosal dissection (ESD), the normal mucosa is cut under constant optical control. We studied whether a positive horizontal resection margin after a complete en bloc ESD predicts local recurrence. METHODS:  In this European multicenter cohort study, patients with a complete en bloc colorectal ESD were selected from prospective registries. Cases were defined by a horizontal resection margin that was positive or indeterminate for dysplasia (HM1), whereas controls had a free resection margin (HM0). Low risk lesions with submucosal invasion (T1) and margins free of carcinoma were analyzed separately. The main outcome was local recurrence. RESULTS:  From 928 consecutive ESDs (2011-2020), 354 patients (40 % female; mean age 67 years, median follow-up 23.6 months), with 308 noninvasive lesions and 46 T1 lesions, were included. The recurrence rate for noninvasive lesions was 1/212 (0.5 %; 95 %CI 0.02 %-2.6 %) for HM0 vs. 2/96 (2.1 %; 95 %CI 0.57 %-7.3 %) for HM1. The recurrence rate for T1 lesions was 1/38 (2.6 %; 95 %CI 0.14 %-13.5 %) for HM0 vs. 2/8 (25 %; 95 %CI 7.2 %-59.1 %) for HM1. CONCLUSION:  A positive horizontal resection margin after an en bloc ESD for noninvasive lesions is associated with a marginal nonsignificant increase in the local recurrence rate, equal to an ESD with clear horizontal margins. This could not be confirmed for T1 lesions

    Endoscopic submucosal dissection techniques and technology: European Society of Gastrointestinal Endoscopy (ESGE) Technical Review

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    ESGE suggests conventional endoscopic submucosal dissection (ESD; marking and mucosal incision followed by circumferential incision and stepwise submucosal dissection) for most esophageal and gastric lesions. ESGE suggests tunneling ESD for esophageal lesions involving more than two-thirds of the esophageal circumference. ESGE recommends the pocket-creation method for colorectal ESD, at least if traction devices are not used. The use of dedicated ESD knives with size adequate to the location/thickness of the gastrointestinal wall is recommended. It is suggested that isotonic saline or viscous solutions can be used for submucosal injection. ESGE recommends traction methods in esophageal and colorectal ESD and in selected gastric lesions. After gastric ESD, coagulation of visible vessels is recommended, and post-procedural high dose proton pump inhibitor (PPI) (or vonoprazan). ESGE recommends against routine closure of the ESD defect, except in duodenal ESD. ESGE recommends corticosteroids after resection of  > 50 % of the esophageal circumference. The use of carbon dioxide when performing ESD is recommended. ESGE recommends against the performance of second-look endoscopy after ESD. ESGE recommends endoscopy/colonoscopy in the case of significant bleeding (hemodynamic instability, drop in hemoglobin > 2 g/dL, severe ongoing bleeding) to perform endoscopic hemostasis with thermal methods or clipping; hemostatic powders represent rescue therapies. ESGE recommends closure of immediate perforations with clips (through-the-scope or cap-mounted, depending on the size and shape of the perforation), as soon as possible but ideally after securing a good plane for further dissection

    Transition from innate to adaptive immunity in chronic liver diseases: involvment of the axis "Pattern Recognition Receptors" - Interleukin-6-Th17

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    La muqueuse intestinale puis le foie sont en contact récurrent avec la flore microbienne issue du tube digestif. L’activation des récepteurs reconnaissant des motifs moléculaires microbiens (PRR :Pattern Recognition Receptors) constitue l’élément initial de la réponse inflammatoire de l’immunité innée et oriente le type d’activation de l’immunité adaptative. La première étape entraînera l’expression de médiateurs inflammatoire (cytokines (IL-1, IL-6, TNFα), activation de la réponse de phase aiguë) et le recrutement des cellules effectrices de l’immunité innée (neutrophiles, puis monocytes). L’équilibre entre la tolérance microbienne et l’exacerbation inflammatoire afin d’éliminer l’agent microbien et menant à la destruction tissulaire permet d’atteindre la situation d’homéostasie.Si l’inflammation se perpétue, par exemple en cas de défaut de clairance de l’agent microbien ou de trouble de l’intégrité de la barrière muqueuse, l’inflammation peut devenir chronique. L’IL-6 exerce alors un rôle central dans la transition de l’immunité innée à l’immunité adaptative, en modulant différentiellement l’expression de chimiokines et l’apoptose des cellules immunes menant au remplacement de l’infiltrat neutrophilique par un infiltrat lympho-monocytaire. Par ailleurs, ce climat cytokinique particulier est propice au développement de lignées spécifiques de lymphocytes tels que les lymphocytes T CD4+ sécrétant de l’IL-17 (Th17). Ceux-ci, surtout étudiés dans les défenses anti-bactériennes et fungiques, et dans les maladies autoimmunes, ont été incriminés dans les phénomènes de cytotoxicité et de renouvellement inflammatoire par l’induction d’expression de chimiokines.Une fois la barrière intestinale franchie, le foie est le premier organe en contact avec la flore microbienne issue de l’intestin. Certains TLRs ont été démontrés impliqués dans la physiopathologie de la stéatohépatite et dans le processus de fibrose. Ce climat constant d’exposition antigénique est associé en cas de maladie chronique du foie à une exacerbation d’expression de médiateurs infammatoires (IL-1, IL-6, TNFα).Nous avons étudié la modulation d’expression des différents TLRs au cours d’un modèle de maladie alcoolique du foie chez la souris. Cette étude démontrait qu’il existait une majoration d’expression des TLR1, 2, 4, 6, 7, 8 et 9 dépendante du stress oxydatif suite à l’exposition chronique du foie à l’alcool ;celle-ci entraînant davantage de lésions hépatiques lors de l’injection des ligands respectifs de ces différents TLRs.Dans ce contexte, nous avons également étudié l’expression des différentes sous-unités du récepteur à l’IL-6 au cours de deux maladies chroniques du foie chez l’homme :les maladies alcooliques du foie et l’hépatite C chronique. Nous avons mis en évidence que les taux plasmatiques d’IL-6 et de la forme soluble de gp130 augmentaient au cours des maladies chroniques du foie, de manière corrélée à la sévérité. Nous avons également démontré l’effet inhibiteur de sgp130 sur la réponse de phase aiguë dépendante du trans-signaling de l’IL-6 in vitro. Ces données suggèrent que sgp130 contribue au déficit de réponse de phase aiguë observé chez les patients atteints de cirrhose. Par ailleurs, vu le contexte « cytokinique » chronique des maladies alcooliques du foie (IL-1 et IL-6), nous avons étudié l’activation de la voie de l’interleukine-17 et des Th17 au cours des maladies alcooliques du foie chez l’homme. Nous avons mis en évidence qu’il existait une activation de cellules circulantes sécrétant de l’IL-17 (comprenant des Th17) au cours de la cirrhose alcoolique stable. Par contre, au sein du foie, l’activation de cellules sécrétant de l’IL-17 était davantage augmentée lors de l’hépatite alcoolique. Nous avons également mis en évidence que les cellules stellées (cellules responsables de la fibrose hépatique) stimulées à l’IL-17 recrutaient les neutrophiles suite à l’expression d’IL-8 et de GROα. Cette nouvelle voie inflammatoire démontrée lors d’une maladie du foie chez l’homme met en évidence l’activation de la voie de l’IL-17 au cours des maladies alcooliques du foie et sa contribution potentielle au recrutement hépatique de neutrophiles au cours de l’hépatite alcoolique aiguë. Cette voie sera explorée dans l’avenir en termes de fonctionnalité et de potentielle cible thérapeutique. En conclusion, tout comme le suggère la littérature pour les maladies autoimmunes (maladie de Crohn, arthrite, sclérose en plaque), il semble que les maladies alcooliques du foie partagent avec ces dernières diverses caractéristiques inflammatoires. La flore microbienne intestinale participe à la physiopathologie des lésions hépatiques, de même que l’activation de PRR (TLR). Par ailleurs, un climat inflammatoire chronique (IL-6,…), contre-régulé par certains mécanismes (sgp130), est associé à la présence périphérique et hépatique de lymphocytes Th17. Cette dernière découverte ouvre de nouvelles perspectives dans la compréhension de la physiopathologie des maladies alcooliques du foie, et peut-être de nouvelles cibles thérapeutiques concernant l’hépatite alcoolique aiguë.Doctorat en Sciences médicalesinfo:eu-repo/semantics/nonPublishe

    Transition from innate to adaptive immunity in chronic liver diseases: involvment of the axis "Pattern Recognition Receptors" - Interleukin-6-Th17

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    La muqueuse intestinale puis le foie sont en contact récurrent avec la flore microbienne issue du tube digestif. L’activation des récepteurs reconnaissant des motifs moléculaires microbiens (PRR :Pattern Recognition Receptors) constitue l’élément initial de la réponse inflammatoire de l’immunité innée et oriente le type d’activation de l’immunité adaptative. La première étape entraînera l’expression de médiateurs inflammatoire (cytokines (IL-1, IL-6, TNFα), activation de la réponse de phase aiguë) et le recrutement des cellules effectrices de l’immunité innée (neutrophiles, puis monocytes). L’équilibre entre la tolérance microbienne et l’exacerbation inflammatoire afin d’éliminer l’agent microbien et menant à la destruction tissulaire permet d’atteindre la situation d’homéostasie.Si l’inflammation se perpétue, par exemple en cas de défaut de clairance de l’agent microbien ou de trouble de l’intégrité de la barrière muqueuse, l’inflammation peut devenir chronique. L’IL-6 exerce alors un rôle central dans la transition de l’immunité innée à l’immunité adaptative, en modulant différentiellement l’expression de chimiokines et l’apoptose des cellules immunes menant au remplacement de l’infiltrat neutrophilique par un infiltrat lympho-monocytaire. Par ailleurs, ce climat cytokinique particulier est propice au développement de lignées spécifiques de lymphocytes tels que les lymphocytes T CD4+ sécrétant de l’IL-17 (Th17). Ceux-ci, surtout étudiés dans les défenses anti-bactériennes et fungiques, et dans les maladies autoimmunes, ont été incriminés dans les phénomènes de cytotoxicité et de renouvellement inflammatoire par l’induction d’expression de chimiokines.Une fois la barrière intestinale franchie, le foie est le premier organe en contact avec la flore microbienne issue de l’intestin. Certains TLRs ont été démontrés impliqués dans la physiopathologie de la stéatohépatite et dans le processus de fibrose. Ce climat constant d’exposition antigénique est associé en cas de maladie chronique du foie à une exacerbation d’expression de médiateurs infammatoires (IL-1, IL-6, TNFα).Nous avons étudié la modulation d’expression des différents TLRs au cours d’un modèle de maladie alcoolique du foie chez la souris. Cette étude démontrait qu’il existait une majoration d’expression des TLR1, 2, 4, 6, 7, 8 et 9 dépendante du stress oxydatif suite à l’exposition chronique du foie à l’alcool ;celle-ci entraînant davantage de lésions hépatiques lors de l’injection des ligands respectifs de ces différents TLRs.Dans ce contexte, nous avons également étudié l’expression des différentes sous-unités du récepteur à l’IL-6 au cours de deux maladies chroniques du foie chez l’homme :les maladies alcooliques du foie et l’hépatite C chronique. Nous avons mis en évidence que les taux plasmatiques d’IL-6 et de la forme soluble de gp130 augmentaient au cours des maladies chroniques du foie, de manière corrélée à la sévérité. Nous avons également démontré l’effet inhibiteur de sgp130 sur la réponse de phase aiguë dépendante du trans-signaling de l’IL-6 in vitro. Ces données suggèrent que sgp130 contribue au déficit de réponse de phase aiguë observé chez les patients atteints de cirrhose. Par ailleurs, vu le contexte « cytokinique » chronique des maladies alcooliques du foie (IL-1 et IL-6), nous avons étudié l’activation de la voie de l’interleukine-17 et des Th17 au cours des maladies alcooliques du foie chez l’homme. Nous avons mis en évidence qu’il existait une activation de cellules circulantes sécrétant de l’IL-17 (comprenant des Th17) au cours de la cirrhose alcoolique stable. Par contre, au sein du foie, l’activation de cellules sécrétant de l’IL-17 était davantage augmentée lors de l’hépatite alcoolique. Nous avons également mis en évidence que les cellules stellées (cellules responsables de la fibrose hépatique) stimulées à l’IL-17 recrutaient les neutrophiles suite à l’expression d’IL-8 et de GROα. Cette nouvelle voie inflammatoire démontrée lors d’une maladie du foie chez l’homme met en évidence l’activation de la voie de l’IL-17 au cours des maladies alcooliques du foie et sa contribution potentielle au recrutement hépatique de neutrophiles au cours de l’hépatite alcoolique aiguë. Cette voie sera explorée dans l’avenir en termes de fonctionnalité et de potentielle cible thérapeutique. En conclusion, tout comme le suggère la littérature pour les maladies autoimmunes (maladie de Crohn, arthrite, sclérose en plaque), il semble que les maladies alcooliques du foie partagent avec ces dernières diverses caractéristiques inflammatoires. La flore microbienne intestinale participe à la physiopathologie des lésions hépatiques, de même que l’activation de PRR (TLR). Par ailleurs, un climat inflammatoire chronique (IL-6,…), contre-régulé par certains mécanismes (sgp130), est associé à la présence périphérique et hépatique de lymphocytes Th17. Cette dernière découverte ouvre de nouvelles perspectives dans la compréhension de la physiopathologie des maladies alcooliques du foie, et peut-être de nouvelles cibles thérapeutiques concernant l’hépatite alcoolique aiguë.Doctorat en Sciences médicalesinfo:eu-repo/semantics/nonPublishe

    Subfulminant hepatitis leading to liver transplantation: A case of extasy-toxic hepatitis

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    Endoscopic drainage and debridement of abscesses after bariatric surgery: A case series

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