30 research outputs found

    Genome-wide evidence for an essential role of the human Staf/ZNF143 transcription factor in bidirectional transcription

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    In the human genome, ∌10% of the genes are arranged head to head so that their transcription start sites reside within <1 kbp on opposite strands. In this configuration, a bidirectional promoter generally drives expression of the two genes. How bidirectional expression is performed from these particular promoters constitutes a puzzling question. Here, by a combination of in silico and biochemical approaches, we demonstrate that hStaf/ZNF143 is involved in controlling expression from a subset of divergent gene pairs. The binding sites for hStaf/ZNF143 (SBS) are overrepresented in bidirectional versus unidirectional promoters. Chromatin immunoprecipitation assays with a significant set of bidirectional promoters containing putative SBS revealed that 93% of them are associated with hStaf/ZNF143. Expression of dual reporter genes directed by bidirectional promoters are dependent on the SBS integrity and requires hStaf/ZNF143. Furthermore, in some cases, functional SBS are located in bidirectional promoters of gene pairs encoding a noncoding RNA and a protein gene. Remarkably, hStaf/ZNF143 per se exhibits an inherently bidirectional transcription activity, and together our data provide the demonstration that hStaf/ZNF143 is indeed a transcription factor controlling the expression of divergent protein–protein and protein–non-coding RNA gene pairs

    DOSAGE DU STRONTIUM 90 DANS LE LAIT (UTILISATION D'UN ETHER-COURONNE COMME AGENT D'EXTRACTION)

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    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    La métachlorophénylpipérazine (mCPP) : une nouvelle drogue de synthÚse

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    La mĂ©tachlorophĂ©nylpipĂ©razine (mCPP) est une substance psychoactive apparue sur le marchĂ© des substances illicites en Europe et en France au cours de l'annĂ©e 2004. Cette molĂ©cule prĂ©sente une forte affinitĂ© pour les rĂ©cepteurs sĂ©rotoninergiques et le transporteur de la sĂ©rotonine. Ses effets sont, chez l'Homme, endocriniens, neurologiques et psychiatriques. Ses effets subjectifs sont proches des amphĂ©tamines. Toutefois, les usagers de drogues de synthĂšse lui attribuent peu d'intĂ©rĂȘt rĂ©crĂ©atif. Les cas d'intoxication rapportĂ©s sont, en gĂ©nĂ©ral, de faible gravitĂ© mais les risques de troubles psychiatriques et de syndrome sĂ©rotoninergique doivent ĂȘtre pris en compte. Les facteurs de risque de l'intoxication Ă  la mCPP sont l'existence de pathologies psychiatriques prĂ©disposantes et d'interactions pharmacodynamiques ou mĂ©taboliques. La mCPP ne prĂ©sente pas de propriĂ©tĂ©s renforçatrices. A ce jour, elle n'est l'objet d'aucune mesure de contrĂŽle international : l'Ă©valuation des risques sanitaires et sociaux est en cours, aux niveaux europĂ©en et national

    Etablissement d'une architecture bioinformatique et biostatistique d'intégration et d'analyse des données génomiques, épigénétiques et phylogénétiques du génome humain (Application aux sites de fixation du facteur de transcription hStaf/ZNF143)

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    Le facteur STAF est une protĂ©ine deux rĂ©gions distinctes d activation de la transcription, selon la machinerie de transcription mobilisĂ©e. Une Ă©tude rĂ©cente faisant Ă©tat d'un millier de sites potentiels au sein des promoteurs de gĂšnes protĂ©iques et dont 400 furent validĂ©s expĂ©rimentalement laisse supposer que le nombre de sites Ă  l'Ă©chelle du gĂ©nome soit encore plus nombreux, forçant Ă  dĂ©velopper d'autres mĂ©thodes de caractĂ©risation Ă  mĂȘme de questionner le gĂ©nome entier et de forts volumes de donnĂ©es. Ce problĂšme adresse un challenge d'envergure supĂ©rieure : faire Ă©merger de la connaissance Ă  partir d'une rĂ©gion gĂ©nomique. Afin de savoir quelle connaissance est pertinente, il est indispensable d'Ă©valuer en quoi celle-ci s'Ă©carte des valeurs attendues du gĂ©nome et donc de connaitre ces valeurs. Dans cette optique nous avons dĂ©veloppĂ© l'architecture GeCo, solution soutenue par une base de donnĂ©es automatisĂ©e et son portail web, et dont la puissance repose sur son aptitude Ă  dĂ©terminer les valeurs statistiques des gĂšnes et du gĂ©nome complet. CaractĂ©risĂ© par un ensemble de descripteurs (sĂ©quence, Ă©pigĂ©nĂ©tique, phylogĂ©nĂ©tique), le contexte qui en Ă©merge est utilisĂ© pour replacer tout questionnement gĂ©nomique dans son environnement global, de maniĂšre rapide et fiable. Au delĂ  du contexte gĂ©nomique, c'est une philosophie de dĂ©veloppement basĂ©e sur de solides outils statistiques que nous avons dĂ©veloppĂ©. Son message est que produire des rĂ©sultats ne suffit plus et qu'il est impĂ©ratif de les remettre dans leur contexte. Cette architecture permit de mettre en Ă©vidence plusieurs milliers de sites de STAF et est d ores et dĂ©jĂ  connectĂ©e aux autres projets du laboratoire.STAF factor is a protein with two distinct regions for activation of transcription using two transcription machineries. A recent study reporting a thousand potential sites within the promoters of genes and proteins of which 400 were validated experimentally suggests that the number of sites across the genome may be even higher, forcing them to develop other characterization methods to question the whole genome and high volumes of data. This issue addresses a major challenge: the emergence of knowledge from a genomic region. To determine which knowledge is relevant, it is essential to assess how it deviates from the expected values of the genome and therefore to know these values. In this context we developed the architecture GeCo, a solution supported by a computerized database and its web portal, and whose power lies in its ability to determine the statistical values of genes and genome. Characterized by a set of descriptors (sequence, epigenetic, phylogenetic) the emerging context is used to quickly and reliably replace any genomic questioning inside its overall environment. Beyond the genomic context, it is a coding philosophy based on reliable statistical tools that we developed. Its message is that producing results is no longer sufficient and it is imperative to put in back in its context. This architecture allowed revealing thousands of STAF binding sites and is already connected to other projects in the laboratory.STRASBOURG-Sc. et Techniques (674822102) / SudocSudocFranceF

    MĂ©thoxyisoflavone et dĂ©pistage du cannabis dans les urines : mise en Ă©vidence d’une rĂ©action croisĂ©e peu connue

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    Objectif : Suite Ă  un cas de dĂ©pistage urinaire faux positif de l’usage de cannabis, dans un contexte de consommation de mĂ©thoxyisoflavone, et afin d’objectiver une Ă©ventuelle rĂ©action croisĂ©e, ce principe actif et ses mĂ©tabolites sont recherchĂ©s dans l’échantillon d’urine. Un essai d’administration chez des volontaires sains est Ă©galement rĂ©alisĂ©. MĂ©thodes : AprĂšs hydrolyse enzymatique, l’échantillon d’urine est prĂ©parĂ© par extractions liquide-liquide en milieu acide (pH 4) et basique (pH 9). Les analyses sont effectuĂ©es par chromatographie liquide couplĂ©e Ă  la spectromĂ©trie de masse (LC/MS) en mode d'ionisation par Ă©lectrospray positif (ESI) et chromatographie en phase gazeuse couplĂ©e Ă  la spectromĂ©trie de masse (GC/MS) aprĂšs dĂ©rivation par acĂ©tylation et silylation. Une solution de rĂ©fĂ©rence de 5-mĂ©thyl-7-mĂ©thoxyisoflavone est analysĂ©e dans les mĂȘmes conditions. L’essai d’administration est conduit chez trois volontaires sains recevant 300 mg de mĂ©thoxyisoflavone per os toutes les douze heures pendant 36 heures. Six heures aprĂšs la derniĂšre administration, un prĂ©lĂšvement urinaire fait l’objet d’un test de dĂ©pistage et d’une analyse par LC/MS et GC/MS. RĂ©sultats : Dans l’échantillon d’urine objet du dĂ©pistage faussement positif pour les cannabinoĂŻdes, la 5-mĂ©thyl-7-mĂ©thoxyisoflavone n’a pas Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e. En revanche, la 5-mĂ©thyl-7-hydroxyisoflavone, mĂ©tabolite de la 5-mĂ©thyl-7-mĂ©thoxyisoflavone, a Ă©tĂ© identifiĂ©e. Les prĂ©lĂšvements d’urine des trois sujets inclus dans l’essai ont tous donnĂ© lieu Ă  un test de dĂ©pistage positif pour les cannabinoĂŻdes aprĂšs l’administration de mĂ©thoxyisoflavone. La 5-mĂ©thyl-7-hydroxyisoflavone a Ă©galement Ă©tĂ© mise en Ă©vidence dans leurs prĂ©lĂšvements. Conclusion : Les analyses mises en Ɠuvre et l’essai d’administration chez des volontaires sains ont permis de confirmer l’implication de la 5-mĂ©thyl-7-hydroxyisoflavone, mĂ©tabolite de la 5-mĂ©thyl-7-mĂ©thoxyisoflavone, dans une rĂ©action croisĂ©e avec un test de dĂ©pistage urinaire des cannabinoĂŻdes

    Mise au point et validation d’une mĂ©thode de dosage simultanĂ© de la morphine et de ses mĂ©tabolites glucuronoconjuguĂ©s totaux par chromatographie liquide d’interactions hydrophiles

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    Objectif: Dans le cadre d’une Ă©tude expĂ©rimentale de redistribution post-mortem des xĂ©nobiotiques menĂ©e chez le lapin, une mĂ©thode de dosage simultanĂ© de la morphine et de ses mĂ©tabolites glucuronoconjuguĂ©s totaux dans des Ă©chantillons de sang total de faible volume a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e. MĂ©thode: Les Ă©talons internes deutĂ©rĂ©s sont ajoutĂ©s Ă  une prise d’essai de 100 ÎŒL. La prĂ©paration des Ă©chantillons consiste en l’extraction liquide-solide sur des cartouches OasisÂź HLB (WatersÂź, Saint-Quentin-en-Yvelines, France). L’analyse est menĂ©e par chromatographie liquide haute performance couplĂ©e Ă  la spectromĂ©trie de masse en mode d’ionisation Ă©lectrospray. Les composĂ©s d’intĂ©rĂȘt sont Ă©luĂ©s par chromatographie liquide d’interactions hydrophiles au travers d’une colonne LunaÂź HILIC – 150 mm × 2,0 mm × 3 ÎŒm (PhenomenexÂź, Le Pecq, France). La mĂ©thode de dosage est validĂ©e selon le concept de l’erreur totale Ă  l’aide du logiciel e-novalÂź (Chemcad, Obernai, France). RĂ©sultats: Les fonctions de rĂ©ponse sont de type quadratique non pondĂ©rĂ©. Les rĂ©sultats sont linĂ©aires sur l’ensemble de l’intervalle de dosage des analytes soit de 10 Ă  300 ng/mL pour la morphine et de 750 Ă  10000 ng/mL pour ses mĂ©tabolites glucuronoconjuguĂ©s totaux. La limite de dĂ©tection estimĂ©e est de 3,5 ng/mL pour la morphine et de 250 ng/mL pour ses mĂ©tabolites glucuronoconjuguĂ©s totaux. Les incertitudes de mesure sont respectivement de 15 % et de 9 %. Conclusion: L’extraction liquide-solide sur cartouches OasisÂź HLB et la chromatographie liquide d’interactions hydrophiles, adaptĂ©es Ă  la sĂ©paration des molĂ©cules polaires, ont permis de mettre au point une mĂ©thode de dosage simultanĂ© de la morphine et de ses mĂ©tabolites glucuronoconjuguĂ©s totaux sur de faibles volumes d’échantillons

    Usage de stupéfiants au volant, bilan des résultats de deux laboratoires (CHRU Lille et IRCGN)

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    Objectif : Étude rĂ©trospective des rĂ©sultats des analyses de confirmation pratiquĂ©es par deux laboratoires, Ă©tude des performances des tests de dĂ©pistage (calcul de la valeur prĂ©dictive positive), Ă©valuation de la fiabiliĂ© diagnostique des dĂ©pistages confirmĂ©s pour l’usage de stupĂ©fiants au volant. MatĂ©riel et mĂ©thodes : Compilation des rĂ©sultats des analyses de confirmation par CPG-SM pour quatre grandes familles de stupĂ©fiants rĂ©alisĂ©es aprĂšs dĂ©pistage urinaire ou dans le fluide oral, ou en l’absence de dĂ©pistage. RĂ©sultats : La substance illicite la plus frĂ©quemment mise en Ă©vidence chez les conducteurs dĂ©pistĂ©s est le cannabis, avec une distribution (parmi les dossiers soumis Ă  confirmation) de 51 % au CHRU de Lille (458 confirmations pour 895 dossiers) et 87 % Ă  l’IRCGN (679 confirmations pour 779 dossiers). Les amphĂ©tamines et dĂ©rivĂ©s se classent au deuxiĂšme rang avec 6 % de prĂ©valence parmi les Ă©chantillons analysĂ©s par le CHRU de Lille (soit 57 dossiers sur 895), alors qu’à l’IRCGN ce sont les opiacĂ©s (15 dossiers sur 108 confirmations). Les dossiers dans lesquels de la morphine a Ă©tĂ© mise en Ă©vidence restent difficiles Ă  interprĂ©ter en termes d’usage de stupĂ©fiants en raison du facteur de confusion liĂ© Ă  l’administration Ă  visĂ©e antalgique ou la prise d’opiacĂ©s licites. Conclusion : Les tests de dĂ©pistage urinaire ou dans le fluide oral sont aptes Ă  repĂ©rer les conducteurs ayant fait usage de stupĂ©fiants. Le cannabis est la substance la plus frĂ©quemment retrouvĂ©e, ce qui est en accord avec les donnĂ©es disponibles sur les habitudes de consommation en population gĂ©nĂ©rale
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