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    Conception et réalisation de bancs automatisés pour les mesures écophysiologiques des mollusques filtreurs en condition contrÎlée à La Station Expérimentale d'Argenton

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    Force est de constater que, malgrĂ© un intĂ©rĂȘt croissant depuis les 20 derniĂšres annĂ©es en matiĂšre d'Ă©cophysiologie des mollusques, il n'existe, Ă  notre connaissance, aucun systĂšme rĂ©ellement adaptĂ© Ă  la mesure en continu et de façon concomitante des principales fonctions Ă©cophysiologies des mollusques filtreurs (notamment consommation et filtration). Faisant suite Ă  la rĂ©alisation d'un cahier des charges et d'une version prĂ©liminaire d'un systĂšme, le but du prĂ©sent projet est de doter la Station ExpĂ©rimentale d'Argenton (entitĂ© expĂ©rimentale de l'UMR « Physiologie et Ecophysiologie des Mollusques Marins) de deux systĂšmes automatisĂ©s et opĂ©rationnels de mesures de l'Ă©cophysiologie des mollusques filtreurs. AprĂšs un bref rappel des principes de mesures des fonctions Ă©cophysiologiques, le rapport prĂ©sente le dĂ©roulement des tĂąches rĂ©alisĂ©es pour le prĂ©sent contrat. Il dĂ©taille, Ă©lĂ©ment par Ă©lĂ©ment, le systĂšme automatisĂ© mis au point. Il fournit notamment un descriptif de l'IHM permettant de piloter les deux bancs d'Ă©cophysiologie

    Anesthesia in Pacific oyster,

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    A reliable anaesthesia and sampling protocol for Pacific oysters will enable experiments to be conducted without sacrificing animals and will facilitate successive sampling of individuals for gametogenesis studies. As no such techniques were available for Crassostrea gigas, the present study aimed to define suitable anaesthetic conditions for use with this species. Three groups of ten oysters (mean weight ± SD, 32.1 ± 9.0 g) were anaesthetised in 5 L containers. Among different chemicals: benzocaine, eugenol and three different types of magnesium chloride (a laboratory one – FluckaÂź – and two designed for agriculture – DEUSA InternationalÂź and Dead Sea WorksÂź) and concentrations tested, one laboratory (concentration: 72 g L−1) and one agricultural (Dead Sea WorksÂź 50 g L−1) type of magnesium chloride were the most effective, respectively inducing anaesthesia in 73 ± 3% and 80 ± 3$% after three hours. Lower oyster weight and a two day period of starving prior to treatment significantly increased the number of anaesthetised animals. Using this protocol, losses of 0 to 10% of oysters were observed one week after anaesthesia. Increasing anaesthesia duration from 3 to 16 h resulted in a significant increase in the number of anaesthetised oysters (from 50 ± 10 to 97 ± 7%) but no increase in mortality (7 ± 11%). On the other hand, reducing water temperature from 19.5 °C to 15.3 °C, resulted in a significant decrease in anaesthesia efficacy. A reliable anaesthesia protocol was developed: 100% of Pacific oysters are anaesthetised using 50 g L−1MgCl2 Dead Sea WorkÂźfor a 16 h duration. This long duration facilitates tissue sampling and does not increase the working time needed. This protocol was validated by monthly anaesthesia and gonad sampling during a three month period with the loss of only a single oyster. It can thus be used for routine applications

    Non-additive effects of ocean acidification in combination with warming on the larval proteome of the Pacific oyster, Crassostrea gigas

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    Increasing atmospheric carbon dioxide results in ocean acidification and warming, significantly impacting marine invertebrate larvae development. We investigated how ocean acidification in combination with warming affected D-veliger larvae of the Pacific oyster Crassostrea gigas. Larvae were reared for 40 h under either control (pH 8.1, 20 °C), acidified (pH 7.9, 20 °C), warm (pH 8.1, 22 °C) or warm acidified (pH 7.9, 20 °C) conditions. Larvae in acidified conditions were significantly smaller than in the control, but warm acidified conditions mitigated negative effects on size, and increased calcification. A proteomic approach employing two-dimensional electrophoresis (2-DE) was used to quantify proteins and relate their abundance to phenotypic traits. In total 12 differentially abundant spots were identified by nano-liquid chromatography-tandem mass spectrometry. These proteins had roles in metabolism, intra- and extra-cellular matrix formations, stress response, and as molecular chaperones. Seven spots responded to reduced pH, four to increased temperature, and six to acidification and warming. Reduced abundance of proteins such as ATP synthase, GAPDH and increase of superoxide dismutase occurred when both pH and temperature changes were imposed, suggesting altered metabolism and enhanced oxidative stress. These results identify key proteins that may be involved in the acclimation of C. gigas larvae to ocean acidification and warming. Significance Increasing atmospheric CO2 raises sea surface temperatures and results in ocean acidification, two climatic variables known to impact marine organisms. Larvae of calcifying species may be particularly at risk to such changing environmental conditions. The Pacific oyster Crassostrea gigas is ecologically and commercially important, and understanding its ability to acclimate to climate change will help to predict how aquaculture of this species is likely to be impacted. Modest, yet realistic changes in pH and/or temperature may be more informative of how populations will respond to contemporary climate change. We showed that concurrent acidification and warming mitigates the negative effects of pH alone on size of larvae, but proteomic analysis reveals altered patterns of metabolism and an increase in oxidative stress suggesting non-additive effects of the interaction between pH and temperature on protein abundance. Thus, even small changes in climate may influence development, with potential consequences later in life

    Observer, Analyser et GĂ©rer la variabilitĂ© de la reproduction et du recrutement de l’huĂźtre creuse en France : Le RĂ©seau Velyger. Rapport annuel 2014

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    La conchyliculture, et principalement l’élevage de l’huĂźtre creuse, Crassostrea gigas, constitue la principale activitĂ© aquacole française. Cette activitĂ© repose, en grande partie, sur le recrutement naturel de l’espĂšce qui assure 70% des besoins en jeunes huĂźtres (naissain) : cette activitĂ© de collecte s’appelle le captage. Les deux principaux centres de captage en France sont les bassins d’Arcachon et de Marennes-OlĂ©ron. Or, depuis une dizaine d'annĂ©es, sur le bassin d'Arcachon, le captage devient trĂšs variable: Ă  des annĂ©es de captage nul (par exemple les annĂ©es 2002, 2005, 2007) ou faible (2009, 2010, 2011) succĂšdent des annĂ©es excellentes voire plĂ©thoriques (les annĂ©es 2003, 2006, 2008, 2012, 2013). A Marennes-OlĂ©ron, cette variabilitĂ© existe, mais s’avĂšre beaucoup moins marquĂ©e. En outre, Ă  la faveur du lent rĂ©chauffement des eaux, le captage peut dĂ©sormais se pratiquer de plus en plus vers le nord. Ainsi, la baie de Bourgneuf, mais aussi la rade de Brest sont devenues, depuis quelques annĂ©es, des secteurs oĂč un nombre croissant d’ostrĂ©iculteurs pratiquent avec succĂšs le captage, mais avec, lĂ  aussi, des irrĂ©gularitĂ©s dans le recrutement qu’il convient de comprendre. Enfin, depuis la crise des mortalitĂ©s de 2008, il se dĂ©veloppe aussi sur l’étang de Thau une volontĂ© de pratiquer le captage. Afin de mieux comprendre les facteurs de variations du captage, l’Ifremer a mis en place, Ă  la demande du ComitĂ© National de la Conchyliculture, un rĂ©seau national de suivi de la reproduction : le RĂ©seau VELYGER. CrĂ©Ă© en 2008 sur fonds europĂ©ens et financĂ© dĂ©sormais par la Direction des PĂȘches Maritimes et de l’Aquaculture, ce rĂ©seau apporte, chaque annĂ©e, sur les Ă©cosystĂšmes citĂ©s prĂ©cĂ©demment, une sĂ©rie d’indicateurs biologiques (maturation, fĂ©conditĂ©, date de ponte, abondance et survie larvaire, intensitĂ© du recrutement, survie du naissain) dont l’analyse croisĂ©e avec des indicateurs hydrologiques et climatiques permet progressivement de mieux apprĂ©hender les causes de variabilitĂ© du recrutement de l’huĂźtre creuse en France, modĂšle biologique et espĂšce clĂ© de la conchyliculture française. Ce rapport prĂ©sente donc les rĂ©sultats 2014 de ce rĂ©seau d’observation et fait appel, pour la partie hydro-climatique, Ă  des observations acquises par d’autres rĂ©seaux rĂ©gionaux et nationaux. Il dĂ©taille toutes les caractĂ©ristiques par secteur du cycle de reproduction de l’huitre creuse : maturation et fĂ©conditĂ© des adultes, pĂ©riode de ponte, abondance et survie des larves, intensitĂ© du captage et mortalitĂ©s prĂ©coces. Il fournit ensuite une interprĂ©tation et une synthĂšse des rĂ©sultats 2014 par secteur et Ă  la lueur des rĂ©sultats des annĂ©es antĂ©rieures. Ainsi, pour l’annĂ©e 2014, on retiendra les faits majeurs suivants : ‱ Sur le plan hydro-climatique, cette annĂ©e se caractĂ©rise par un hiver et un printemps particuliĂšrement doux et humides, avec des Ă©pisodes de crues marquĂ©es sur la façade atlantique suivis d’un Ă©tĂ© ensoleillĂ© et relativement chaud (mais sans Ă©pisode caniculaire). On observe des dessalures importantes en fin d’hiver, puis un retour dans les normales au printemps. Le phytoplancton est relativement abondant de la rade de Brest aux pertuis Charentais et plutĂŽt dĂ©ficitaire dans le bassin d’Arcachon et la lagune de Thau. ‱ En termes de biologie, ces conditions hydro-climatiques se sont traduites, chez les populations d’huĂźtres adultes, par des indices de condition gĂ©nĂ©ralement Ă©levĂ©s, avec toujours l’existence d’un gradient Nord-Sud observĂ© chaque annĂ©e, corrĂ©lativement Ă  la concentration en phytoplancton. En outre, l’excĂ©dent thermique enregistrĂ© depuis l’hiver et tout au long du printemps s’est traduit par une ponte dĂ©s la mi juillet sur l’ensemble des Ă©cosystĂšmes de la cĂŽte atlantique et encore plus prĂ©cocement dans la lagune de Thau. ‱ GrĂące Ă  des tempĂ©ratures trĂšs favorables en juillet et encore favorables en aoĂ»t, la plupart des cohortes larvaires observĂ©es ont eu une survie normale Ă  bonne (e.g. 0.2 Ă  1.4 %), ce qui s’est gĂ©nĂ©ralement traduit par un captage modĂ©rĂ© Ă  excellent voire exceptionnel dans certains cas bien prĂ©cis : la baie de Bourgneuf et le bassin d’Arcachon. Par contre, en rade de Brest, le captage est en deçà des valeurs auxquelles on aurait pu s’attendre, et la question de l’effet de certaines algues toxiques prĂ©sentes en abondance au cours de cette saison de reproduction est posĂ©e. C’est aussi le cas dans la lagune de Thau, mais sur cet Ă©cosystĂšme sans marĂ©e les aspects zootechniques liĂ©s Ă  la gestion des collecteurs (localisation par rapport aux tables ostrĂ©icoles et technique d’exondation) constituent le facteur dĂ©terminant des performances du captage. ‱ En consĂ©quence, l’annĂ©e 2014, se caractĂ©rise par un captage trĂšs variable gĂ©ographiquement : « faible Ă  modĂ©rĂ© » en rade de Brest et dans la lagune de Thau (1 Ă  30 naissains/coupelle), modĂ©rĂ© dans les pertuis Charentais (~200 naissains/coupelle) et excellent Ă  exceptionnel dans le bassin d’Arcachon et en baie de Bourgneuf (de 200 Ă  2000 naissains/coupelle)

    Observer, Analyser et GĂ©rer la variabilitĂ© de la reproduction et du recrutement de l’huĂźtre creuse en France : Le RĂ©seau Velyger. Rapport annuel 2013

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    La conchyliculture, et principalement l’élevage de l’huĂźtre creuse, Crassostrea gigas, constitue la principale activitĂ© aquacole française. Cette activitĂ© repose, en grande partie, sur le recrutement naturel de l’espĂšce qui assure 70% des besoins en jeunes huĂźtres (naissain) : cette activitĂ© de collecte s’appelle le captage. Les deux principaux centres de captage en France sont les bassins d’Arcachon et de Marennes-OlĂ©ron. Or, depuis une dizaine d'annĂ©es, sur le bassin d'Arcachon, le captage devient trĂšs variable: Ă  des annĂ©es de captage nul (par exemple les annĂ©es 2002, 2005, 2007) ou faible (2009, 2010, 2011) succĂšdent des annĂ©es excellentes voire plĂ©thoriques (les annĂ©es 2003, 2006, 2008, 2012, 2013). A Marennes-OlĂ©ron, cette variabilitĂ© existe, mais s’avĂšre beaucoup moins marquĂ©e. En outre, Ă  la faveur du lent rĂ©chauffement des eaux, le captage peut dĂ©sormais se pratiquer de plus en plus vers le nord. Ainsi, la baie de Bourgneuf, mais aussi la rade de Brest sont devenues, depuis quelques annĂ©es, des secteurs oĂč un nombre croissant d’ostrĂ©iculteurs pratiquent avec succĂšs le captage, mais avec, lĂ  aussi, des irrĂ©gularitĂ©s dans le recrutement qu’il convient de comprendre. Enfin, depuis la crise des mortalitĂ©s de 2008, il se dĂ©veloppe aussi sur l’étang de Thau une volontĂ© de pratiquer le captage. Afin de mieux comprendre les facteurs de variations du captage, l’Ifremer a mis en place, Ă  la demande du ComitĂ© National de la Conchyliculture, un rĂ©seau national de suivi de la reproduction : le RĂ©seau VELYGER. CrĂ©Ă© en 2008 sur fonds europĂ©ens et financĂ© dĂ©sormais par la Direction des PĂȘches Maritimes et de l’Aquaculture, ce rĂ©seau apporte, chaque annĂ©e, sur les Ă©cosystĂšmes citĂ©s prĂ©cĂ©demment, une sĂ©rie d’indicateurs biologiques (maturation, fĂ©conditĂ©, date de ponte, abondance et survie larvaire, intensitĂ© du recrutement, survie du naissain) dont l’analyse croisĂ©e avec des indicateurs hydrologiques et climatiques permet progressivement de mieux apprĂ©hender les causes de variabilitĂ© du recrutement de l’huĂźtre creuse en France, modĂšle biologique et espĂšce clĂ© de la conchyliculture française. Ce rapport prĂ©sente donc les rĂ©sultats 2013 de ce rĂ©seau d’observation et fait appel, pour la partie hydro-climatique, Ă  des observations acquises par d’autres rĂ©seaux rĂ©gionaux et nationaux. Il dĂ©taille toutes les caractĂ©ristiques par secteur du cycle de reproduction de l’huitre creuse : maturation et fĂ©conditĂ© des adultes, pĂ©riode de ponte, abondance et survie des larves, intensitĂ© du captage et mortalitĂ©s prĂ©coces. Il fournit ensuite une interprĂ©tation et une synthĂšse des rĂ©sultats 2013 par secteur et Ă  la lueur des rĂ©sultats des annĂ©es antĂ©rieures. Ainsi, pour l’annĂ©e 2013, on retiendra les faits majeurs suivants : ‱ L’annĂ©e 2013 a Ă©tĂ© trĂšs contrastĂ©e. Un printemps particuliĂšrement frais et gĂ©nĂ©ralement humide (mois de juin inclus) a fait suite Ă  un hiver tardif alors que l’étĂ© a Ă©tĂ© ensoleillĂ© et plutĂŽt chaud. Les concentrations en phytoplancton ont Ă©tĂ© dans les normes avec toujours l’existence d’un gradient Nord-Sud : elles sont plutĂŽt Ă©levĂ©es en rade de Brest, baie de Bourgneuf et bassin de Marennes OlĂ©ron et plutĂŽt faible dans le bassin d’Arcachon et l’étang de Thau. En outre, tout au long du printemps et jusqu’au mois de juillet, les tempĂ©ratures de l’eau ont Ă©tĂ© toujours infĂ©rieures aux normales (exceptĂ© dans l’étang de Thau). ‱ Ces conditions hydro-climatiques ont imprimĂ© un gradient dans la maturation et la fĂ©conditĂ© des huitres adultes avec un indice de condition trĂšs Ă©levĂ© en rade de Brest, en baie de Bourgneuf, et dans le bassin de Marennes OlĂ©ron et plutĂŽt faible dans le bassin d’Arcachon et l’étang de Thau. En outre, le dĂ©ficit thermique marquĂ© jusqu’en juillet s’est traduit par une ponte trĂšs tardive sur l’ensemble des Ă©cosystĂšmes de la cĂŽte atlantique : par exemple, elle est survenue au 25 aoĂ»t en baie de Bourgneuf, ce qui constitue une valeur record. MalgrĂ© tout, quelques pontes partielles et asynchrones ont Ă©tĂ© observĂ©es sur certains Ă©cosystĂšmes en juillet. ‱ GrĂące Ă  des tempĂ©ratures trĂšs favorables en juillet et favorables en aoĂ»t, la plupart des cohortes larvaires prĂ©sentes Ă  cette pĂ©riode (rade de Brest, bassin d’Arcachon et Ă©tang de Thau) ont eu une survie normale Ă  bonne (e.g. 0.2 Ă  plus de 1 %), ce qui s’est traduit par un captage bon Ă  excellent, avec une forte variabilitĂ© dans l’étang de Thau (cf paragraphe ci-dessous). Par contre, pour la baie de Bourgneuf et les pertuis Charentais, l’arrivĂ©e trop tardive des larves Ă  la fin aoĂ»t dans une eau fraiche (< 20°C) n’a pas permis une survie favorable (autour de 0.01 %) ce qui s’est traduit par un captage tout juste modĂ©rĂ©, faible voir nul selon les secteurs. ‱ En consĂ©quence, l’annĂ©e 2013, se caractĂ©rise par un captage trĂšs variable gĂ©ographiquement : « bon voire excellent » en rade de Brest (de 138 Ă  245 naissains/coupelle) et dans le bassin d’Arcachon (de 177 Ă  429 naissains/coupelle), modĂ©rĂ© dans le bassin de Marennes-OlĂ©ron (de 25 Ă  52 naissains/coupelle) et faible en baie de Bourgneuf (< 5 naissains/coupelle). Ce rapport montre aussi que l’étang de Thau joue un rĂŽle d’exception. MalgrĂ© une ponte d’intensitĂ© normale, des abondances de larves Ă©levĂ©es et une bonne survie des cohortes, le captage 2013 y est trĂšs variable ce qui positionne l’étang de Thau en dehors du modĂšle de fonctionnement admis pour le cycle de reproduction de l’huĂźtre creuse sur la façade atlantique. Il semble que, sur ce site, la mĂ©tamorphose constitue un verrou biologique qui peut ĂȘtre levĂ© en utilisant des pratiques zootechniques adaptĂ©es Ă  ce site particulier. Cette optimisation des pratiques zootechniques fait l’objet d’un projet rĂ©gional : le projet PRONAMED
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