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La langue du partenaire: étude sur les possibilités de promotion de la langue du partenaire l'allemand en France et le français en Allemagne
À l’heure actuelle, la situation de la langue allemande en France et celle de la langue française en Allemagne
se révèle délicate, le nombre des élèves apprenant ces langues chutant dans les deux pays, et à l’avenir,
l’importance des deux langues baissera en raison de l’éviction d’autres langues régionales ou mondiales.
73 interviews d’experts ainsi que de nombreuses autres entretiens dans le cadre d’observations illustrent les
problèmes et potentiels des mesures périscolaires de promotion des deux langues. La palette d’apprentissage
des langues bénéficie dans les deux pays d’une vaste offre, allant des cours de langue aux institutions francoallemandes,
en passant par les programmes d’échange et les médias franco-allemands. Souvent considérés
comme les problèmes essentiels dans les deux pays sont les mauvaises images de la langue et du pays, ainsi
que la position isolée des relais et de ceux qui voudraient les apprendre. Grâce à différentes mesures, ces problèmes
pourraient être compensés, en initiant par exemple des campagnes de promotion ou d’image des
deux pays, l’instauration d’un réseau d’adultes de la société civile dans le style de l’Office franco-allemand
pour la Jeunesse ou davantage de programmes d’échanges qui seraient destinés à des adultes ou même à des
personnes âgées
Considering the role of presence and absence in space constructions: ethnography as methodology in human geography
In this article, we discuss methodological issues and problems in researching relational space. We argue that despite all innovations after recent spatial turns, research on space is often still marked by what we call ‘presentism’ and ‘concretism’. Instead, we seek to show how spatial encounters today are more and more marked and shaped by different absences. Using some insights from the poststructuralist take on assemblages we argue that any spatial method to understand spatial complexity is incomplete if the role of absences in shaping spatial presences and spatial encounters is left unconsidered. Addressing ques-tions of methodology and methods we vote for the ethnographic approach which, to us, has the strongest potential to undertake spatial research sensitive to the problem of present absences, i.e. that the complexity of places is often shaped by absent spatial events