12 research outputs found

    Implication de la leucocidine de Panton et Valentine dans les infections sévères à Staphylococcus aureus en Nouvelle-Calédonie

    No full text
    INTRODUCTION : La leucocidine de Panton et Valentine (PVL) est incriminée comme facteur de virulence majeur du Staphylococcus aureus (SA). Depuis 1999, des souches de SA résistantes à la méticilline d'acquisition communautaire (SARM-CA) sécrétant cette toxine émergent mondialement et sont responsables d'infections cutanées, de pyomyosites, d'ostéomyélites, et de pneumopathies nécrosantes sévères. En Nouvelle-Calédonie, le SARM-CA n'a pas encore émergé mais l'incidence des infections à SA est élevée. OBJECTIFS : Les objectifs de cette étude sont l'estimation de la prévalence de la PVL dans les infections sévères à SA, la description de ces infections et l'étude de clonalité des souches de SA PVL+ ET PVL- en Nouvelle-Calédonie. L'objectif final est de dégager des recommandations de prise en charge médicale. METHODE : Les souches de SA responsables d'infections sévères ont été envoyées sur deux périodes différentes au CNR des staphylocoques à Lyon pour analyse. RESULTATS : La PVL est sécrétée par 47 (58 % des 81 souches incluses et est associée majoritairement à des ostéomyélites, des pneumopathies, des pyomyosites et des abcès profonds. Les infections à SA PVL+ atteignent significativement une population plus jeune, mélanésienne, avec moins de comorbidités, l'acquisition est d'avantage communautaire, le recours à la chirurgie plus souvent nécessaire par rapport aux infections à SA PVL-. Ces souches, toutes méticillinosensibles sont représentées par 11 clones dont un prédomine : le clone agr4 ST121 pandémique (53 %des souches). DISCUSSION : La prévalence de la PVL dans les infections à SA en Nouvelle-Calédonie est élevée et l'émergence de clones de SARM-PVL+ est probable malgré l'incidence faible des SARM hospitaliers. Des mesures de prévention s'imposent pour limiter la dissémination dans la communauté et à l'hôpital de ces souches et prévenir l'émergence de SARM-CA avec toutes les difficultés que cela implique dans une société où environ 40 % de la population vit en tribu.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Les infections invasives à streptocoque du groupe A en Nouvelle-Calédonie en 2006

    No full text
    En 2006, 90 patients ayant eu une infection invasive à streptocoque du groupe A en Nouvelle -Calédonie ont été répertorié. Cette première étude rétrospective menée sur le territoire à permis de démontrer une incidence relativement élevée par rapport aux autres pays avec 38 cas /100 000 hab et notamment dans la population mélanésienne (78 cas / 100 000 hab), l'homme étant 2 fois plus touché avec une atteinte principale aux âges extrêmes de la vie. Le principal facteur de risque est la lesion cutanée souvent négligée, responsable de cellulites (45%), de myosite (11%), septicémie (15%), arthrite septique (10%), pneumopathie (2%) et de 3,5% de décès.L'étude révèle des souches Emm très différentes des souches habituelles avec Emm 15, Emm 92 et 6 nouveaux types non connus jusqu'ici, Emm 15 semble très lié à la population autochtone, il existe une grande diversité des souches Emm retrouvé et une résistance aux antibiotiques mois importantes que dans les autres pays (pas de résistance aux macrolides et 10% de résistance aux cyclines). L'humidité joue un rôle prépondérant dans la survenue d'infection invasive. Des moyens de prévention sont possibles avec principalement le traitement précoce des plaies et adapté avec l'aide du médecin généraliste, l'extrême variabilité des souches Emm et leurs diversités pose un problème en vue de l'utilisation d'un vaccin efficace en Nouvelle-Calédonie.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Leptospirose (facteurs de gravité à l'admission)

    No full text
    CAEN-BU MĂ©decine pharmacie (141182102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Analyse descriptive de la prise en charge des patients atteints de dengue en Nouvelle-Calédonie

    No full text
    [Résumé français] La Nouvelle-Calédonie, territoire situé dans le pacifique sud, a vécu la plus grande épidémie de dengue de son histoire durant l année 2009 avec l arrivée du sérotype 4. Cette maladie virale bénigne dans la plupart des cas, se complique en forme hémorragique ou en choc syndrome chez certains patients. Cette analyse descriptive rétrospective de l épidémie a été réalisée sur les dossiers des cas confirmés de dengue présents sur le Centre Hospitalier Territorial durant les 3 mois du pic épidémique de février et avril 2009. Malgré le nombre de malades, le sérotype 4 a été moins virulent. Seulement un décès a été recensé durant notre étude. Les facteurs de gravité sont le diabète, la consommation d AINS, d anticoagulant et l hypertension artérielle, la tachycardie corrigée par la température, la tension artérielle pincée, la thrombopénie, la cytolyse hépatique et la créatinémie. Mais leur apparition à partir du 3ème jour de fièvre rend leur utilisation aux urgences peu rentable comme facteur prédictif des formes graves, la majorité des patients consultant avant ce délais. Le médecin généraliste par sa proximité, doit être mis en avant lors d une épidémie pour suivre ces patients. Aux urgences, la décision d hospitalisation semble plus souvent motivée par la mauvaise tolérance des symptômes ou un doute diagnostique que par l utilisation des signes de gravité de l OMS. Une formation sur ces critères et une redéfinition de l utilisation du signe du tourniquet à visée diagnostique est nécessaire pour diminuer le nombre d hospitalisations[Résumé anglais] New Caledonia is a territory located in the South Pacific, lived the largest outbreak of dengue in its history during 2009 with the arrival of serotype 4. The viral disease is benign in most cases, but may complicate by dengue haemorrhagic fever or shock syndrome in some patients. This retrospective descriptive analysis of the epidemic has analysed on the records of confirmed cases of dengue on the Territorial Hospital during three months of the epidemic peaked, in February and April 2009. Despite the number of sick, serotype 4 was less virulent ; only one death was recorded during our study. The aggravating factors are diabetes, consumption of NSAIDs, anticoagulant and high blood pressure, tachycardia corrected by temperature, blood pressure narrower, thrombocytopenia, hepatic cytolysis, and creatinine. But their are appeared from the 3rd day of fever. They can t use in emergencies as a predictor of severe because most patients consulte before that date. The general practicien, by its proximity, is the best, during an epidemic, to follow his patients. In the emergencies, the decision of hospitalization seems more often motivated by the poor tolerance of symptoms or diagnostic doubt that the use of signs of gravity of the WHO. A Training on these criteria and a redefinition of the use of the tourniquet test aimed diagnosis are necessary to reduce the number of hospitalization.PARIS13-BU Serge Lebovici (930082101) / SudocSudocFranceF

    La ciguatera (obstacles au diagnostic et perspectives thérapeutiques)

    No full text
    ANGERS-BU MĂ©decine-Pharmacie (490072105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Approche anthropologique de la maladie SIDA dans le monde kanak

    No full text
    AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    L'épidémie de VIH/SIDA en Nouvelle-Calédonie (Le point au 31 Décembre 2001)

    No full text
    STRASBOURG-Medecine (674822101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Facteurs prédictifs de gravité à l'admission lors d'une épidémie de dengue 1 au CHT de Nouméa (Nouvelle-Calédonie)

    No full text
    PARIS6-Bibl. St Antoine CHU (751122104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    La méningite à cryptocoque chez le patient adulte non infecté par le VIH

    No full text
    TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF
    corecore