125 research outputs found

    Autour de «La Fête de la Fédération», Charles Thévenin et la Révolution 1789-1799

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    Macé de Lépinay François. Autour de «La Fête de la Fédération», Charles Thévenin et la Révolution 1789-1799. In: Revue de l'Art, 1989, n°83. pp. 51-60

    Jean-Michel Leniaud, Les bâtisseurs d'avenir. Portraits d'architectes XIXe -XXe siècle. Fontaine, Viollet- le-Duc, Hankar, Horta, Guimard, Tony Garnier, Le Corbusier Fayard, 1998. 503p., index, bibliographie.

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    Macé de Lépinay François. Jean-Michel Leniaud, Les bâtisseurs d'avenir. Portraits d'architectes XIXe -XXe siècle. Fontaine, Viollet- le-Duc, Hankar, Horta, Guimard, Tony Garnier, Le Corbusier Fayard, 1998. 503p., index, bibliographie.. In: Revue de l'Art, 1999, n°124. pp. 92-93

    Projections stéréoscopiques

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    Les plafonds de l'hôtel Brûlart. Découverte et restauration

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    Macé de Lépinay François. Les plafonds de l'hôtel Brûlart. Découverte et restauration. In: Revue de l'Art, 1998, n°122. pp. 62-63

    Contribution à l'étude des suspensions eucharistiques au XVIIIe siècle, À propos de quelques statues de la foi conservées en Bretagne

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    Forschungsbeitrag zum Problem der hängenden Eucharistie im 18. Jahrhundert. Anlässlich einiger in der Bretagne aufbewahrten Skulpturen der Fides. Die hängenden Abendmahlsbehälter waren neben den Hostienschreinen eine der hauptsächlichen Aufbewahrungsarten der Eucharistie. Zwar sind sie mehrfach wissenschaftlich untersucht worden, meist vor längerer Zeit, sie sind jedoch schon allein durch ihre Seltenheit noch unzureichend bekannt. Man vergisst unter anderem, dass die « Krummstabform », deren berühmtestes Beispiel sich in der Abtei von Valloire befindet, nicht die einzige Form war, die von der posttridentinischen Lituigie anerkannt wurde. Dieser Aufsatz stellt zum ersten Male sechs Skulpturen der Fides zusammen, einige unveröffentlicht, die als Aufhängung benutzt worden sind. Sie sind alle bretonisch und stammen alle anscheinend aus den Jahren 1740-1790, sie bilden eine homogene Gruppe die jedoch noch viele Fragen offen lässt. Ihr gemeinsamer Ursprung und die Identität ihrer Schöpfer bleiben zum Beispiel unbekannt. Da es unmöglich ist, diese wesentlichen Fragen zu beantworten, vergleicht die Arbeit diese kleine bretonische Gruppe mit der alten Hängeucharistie der Trappistenabtei (Marienskulptur) und mit den « Engelhängeucharistien », die in den Pariser Kirchen seit dem Anfang des Jahihunderts häufig sind, und mit den Projekten der Kathedrale von Rouen.A contribution to the study of supports for the suspension of the eucharistie tabernacle in the eighteenth century : some statues of Faith in Brittany. Suspended eucharitistic tabernacles are, along with altar tabernacles, one of the principle types of repository for the eucharist. They have been the object of many studies, for the most part nineteenth-century, but they still remain relatively unknown, if only because they have become rare. One forgets, for example, that the « crozier » form — such as the famous example from the abbey of Valloires — was not the only shape sanctioned by the post-Tridentine liturgy. The présent article brings together for the first time six statues representing Faith, some previously unpublished, that have been used for the suspension of the host. All are Breton and all seem to date from 1740-1790, but despite their homogeneity, they are problematic. Their place of origin and the names of the artists who made them have resisted identification. Unable to resolve these essential questions, the article compares this small Breton group with other types of support, including a statue of the Virgin from the abbey of La Trappe, the « angels » common in Parisian churches since the beginning of the century, and the project for the altar of the cathedral of Rouen.Contribution à l'étude des suspensions eucharistiques au XVIIIe siècle. A propos de quelques statues de la Foi conservées en Bretagne. Les suspensions eucharistiques ont formé, à côté des tabernacles, l'un des grands modes de conservation de l'eucharistie. Elles ont fait l'objet de nombreuses études, pour la plupart anciennes, mais restent encore imparfaitement connues, ne serait-ce que parce qu'elles sont devenues rares. On oublie par exemple que la forme en « crosse » — dont la suspension de l'abbaye de Valloires est l'exemple le plus célèbre — n'a pas été la seule forme admise par la liturgie post-tridantine. L'article regroupe pour la première fois six statues de la Foi, certaines inédites, ayant ainsi été utilisées comme suspensions. Toutes bretonnes et datant toutes, semble-t-il, des années 1740-1790, elles constituent un ensemble assez homogène mais qui est loin de livrer tous ses mystères. Leur origine commune et l'identité de leurs auteurs restent en particulier inconnues. Faute de pouvoir éclaircir ces points essentiels, l'article propose de comparer ce petit groupe breton avec l'ancienne suspension de l'abbaye de la Trappe (statue de la Vierge) ainsi qu'avec les suspensions « à anges » fréquentes dans les églises parisiennes depuis le début du siècle, et avec des projets pour la cathédrale de Rouen.Macé de Lépinay François. Contribution à l'étude des suspensions eucharistiques au XVIIIe siècle, À propos de quelques statues de la foi conservées en Bretagne. In: Bulletin Monumental, tome 145, n°3, année 1987. pp. 291-305

    Sur un nouvel analyseur à pénombres

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    Architecture religieuse à Rome à la fin du XIXe siècle : la reconstruction de Saint-Yves-des-Bretons

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    Les bâtiments de Saint-Yves-des-Bretons constituent certainement le plus modeste et le moins bien connu des établissements français de Rome. Oubli relatif qui s'explique surtout par la démolition, il y a un peu plus de cent ans, de l'« antique et vénérable » église, et sa reconstruction par l'architecte Luca Carimini entre 1875 et 1890. Les archives des Pieux Etablissements permettent de reconstituer la chronologie exacte des travaux et de rendre sa juste place à chacun des architectes et des artistes qui y furent mêlés. Elles permettent surtout de suivre les péripéties d'une opération immobilière qui vit s'affronter archéologues et « promoteurs » en un débat tout à fait moderne. Quant à l'édifice lui-même, très soigné, le retour en grâce de l'architecture du XIXe siècle devrait permettre de le regarder d'un œil neuf, même s'il est encore trop tôt pour fixer la juste place de Carimini parmi les créateurs de son temps.Macé de Lépinay François. Architecture religieuse à Rome à la fin du XIXe siècle : la reconstruction de Saint-Yves-des-Bretons. In: Les fondations nationales dans la Rome pontificale. Actes du colloque de Rome (16-19 mai 1978) Rome : École Française de Rome, 1981. pp. 423-451. (Publications de l'École française de Rome, 52
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