11 research outputs found

    f(R) theories

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    Over the past decade, f(R) theories have been extensively studied as one of the simplest modifications to General Relativity. In this article we review various applications of f(R) theories to cosmology and gravity - such as inflation, dark energy, local gravity constraints, cosmological perturbations, and spherically symmetric solutions in weak and strong gravitational backgrounds. We present a number of ways to distinguish those theories from General Relativity observationally and experimentally. We also discuss the extension to other modified gravity theories such as Brans-Dicke theory and Gauss-Bonnet gravity, and address models that can satisfy both cosmological and local gravity constraints.Comment: 156 pages, 14 figures, Invited review article in Living Reviews in Relativity, Published version, Comments are welcom

    Regard sur les rapports de missions politiques de Louis Massignon 1908-1955

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    Une source, en grande partie inĂ©dite, est constituĂ©e par les rapports de mission politiques et culturels de Louis Massignon depuis 1908 jusqu’en 1955. Cette pĂ©riode est au centre des travaux de Nadine Picaudou, aussi bien pour La dĂ©cennie qui Ă©branla le Moyen-Orient que pour La dĂ©chirure libanaise. Les prises de position de Louis Massignon Ă  l’égard de la cause palestinienne prĂ©cĂ©dent celles de Nadine Picaudou, qui a consacrĂ© plusieurs ouvrages aux Palestiniens et Ă  leur combat, qu’elle a vig..

    Mohasseb Saliba Sabine, Les monastĂšres maronites doubles du Liban, Entre Rome et l’Empire ottoman (xviie– xixe siĂšcles), prĂ©face d’Henry Laurens, Paris, Geuthner et Kaslik, Presses de l’universitĂ© Saint-Esprit de Kaslik (PUSEK) 2008, 556 p.

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    Ce livre reprend l’essentiel d’une thĂšse que Sabine Mohasseb Saliba a soutenue sous la direction de Randi Deguilhem Ă  Aix-en-Provence, intitulĂ©e « MonastĂšres doubles, familles, propriĂ©tĂ©s et pouvoirs au Mont Liban : l’itinĂ©raire du couvent maronite de Mar Challita MouqbĂšs (xviie- xixe siĂšcles). Transformer un travail de thĂšse en un ouvrage offert Ă  un public plus vaste que celui des chercheurs est une entreprise risquĂ©e. Sabine Mohasseb Saliba a rĂ©ussi, grĂące Ă  un style clair et prĂ©cis, Ă  so..

    Introduction de partie. Les conditions d’instauration du Mandat français au Proche-Orient aprùs la Premiùre guerre mondiale

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    La situation du Proche-Orient au xxe siĂšcle, avec ses ramifications complexes, est difficilement comprĂ©hensible sans un retour en arriĂšre au xixe siĂšcle pour reconstituer ce qu’était le Levant. Il faut donc revenir Ă  l’Empire ottoman et Ă  ses provinces arabes, les derniĂšres aprĂšs la perte des provinces europĂ©ennes tout au long du xixe siĂšcle, consĂ©cutivement Ă  une sĂ©rie de conflits au cours desquels on n’a pas cessĂ© de parler, d’un point de vue occidental, de « la Question d’Orient ». Les fa..

    Une histoire du Proche-Orient au temps présent

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    Les recherches et l'enseignement de Nadine Picaudou (professeur d’histoire des sociĂ©tĂ©s arabes contemporaines Ă  l’universitĂ© Paris 1 PanthĂ©on-Sorbonne jusqu’en 2010) offrent un aperçu saisissant des Ă©volutions de l’histoire et du mĂ©tier des historiens du Proche-Orient contemporain. Les Ă©tudes rĂ©unies dans ce volume et Ă©crites Ă  l’occasion de son dĂ©part de l’universitĂ© par des chercheurs de disciplines variĂ©es retracent bien plus que le parcours intellectuel d’une historienne du Proche-Orient. Elles mettent en lumiĂšre l’apport croissant des sciences sociales, l’influence continue de terrains particuliers et des conflits de la rĂ©gion (Palestine, Liban), l’évolution des thĂšmes de recherche et celle des questionnements de la sociĂ©tĂ© sur l’histoire contemporaine et parfois trĂšs actuelle du Proche-Orient (Islam et modernitĂ©, place des femmes, formation et rĂŽle de l’armĂ©e, printemps arabes). Avec ces Ă©tudes, c’est l’ensemble du Proche-Orient qui est abordĂ©, de la Turquie Ă  l’Arabie Saoudite et du xixe siĂšcle Ă  l’annĂ©e 2014, dans un souci de dialogue constant entre l’histoire et les sciences sociales et humaines - dialogue qui a caractĂ©risĂ© le travail de Nadine Picaudou

    France, Syrie et Liban 1918-1946

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    Bien qu’appartenant Ă  l’histoire du prĂ©sent, l’histoire du mandat français en Syrie et au Liban a Ă©tĂ© ignorĂ©e pendant prĂšs d’un demi-siĂšcle par les historiens français. Face Ă  ce constat, l’Institut français d’études arabes de Damas a mis en place en septembre 1997 un programme des Ă©tudes mandataires. Les JournĂ©es d’études qui se sont tenues Ă  Beyrouth du 27 au 29 mai 1999 et dont cette publication constitue les actes ont Ă©tĂ© un des achĂšvements principaux de ce projet. Les contributions qui sont rassemblĂ©es dans cet ouvrage se sont proposĂ©es d’examiner la pĂ©riode du Mandat en s’appuyant sur des sources Ă©crites « classiques » (presse, mĂ©moires, archives du Foreign Office, du Quai d’Orsay, archives historiques de Damas, etc.), mais Ă©galement des sources plus spĂ©cialisĂ©es, comme l’énorme fonds d’archives diplomatiques de Nantes, ou des documents plus spĂ©cifiques, comme les archives privĂ©es, les ressources audio-visuelles ou l’histoire orale. Partant de lĂ , France, Syrie, Liban 1918-1946 aborde son objet d’étude en se focalisant sur les relations complexes qu’ont entretenus les acteurs français, syriens et libanais, notamment au sein des espaces communs tels que le savoir et la culture, le dĂ©veloppement Ă©conomique et social ou la politique, lieu de confrontations et de nĂ©gociations. Ce livre, organisĂ© autour de trois grands thĂšmes (« Le Mandat : savoirs, pratiques et reprĂ©sentations », « Jeux de pouvoir et interactions sociales » et « Les mobilisations populaires : acteurs, enjeux »), souhaite enfin mettre en lumiĂšre le caractĂšre multidimensionnel des trois sujets historiques qui ont prĂ©sidĂ© au destin du nord du Bilad el-Cham entre les deux guerres mondiales

    L’identification

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    Dans les pays musulmans, avant l’instauration de l’état civil, les gens dĂ©clinaient leur identitĂ© de maniĂšre diffĂ©rente selon l’interlocuteur et la situation. De ces variations complexes un seul aspect avait fait l’objet jusqu’ici d’études savantes, l’onomastique, plus particuliĂšrement l’étude des nombreux Ă©lĂ©ments qui composent le « nom arabe », rĂ©fĂ©rent culturel prestigieux dans l’ensemble du domaine arabo-musulman, mais non exclusif. Le prĂ©sent volume propose d’étendre l’enquĂȘte au plus large Ă©ventail possible de situations dans lesquelles ont Ă©tĂ© posĂ©es les questions par lesquelles on dĂ©finira concrĂštement l’identification : qui es-tu ? (interaction directe entre les personnes, Ă  visĂ©e de reconnaissance) ; qui est-il/elle ? (question qui implique une norme) ; qui est qui ? (avec un objectif de classement et de hiĂ©rarchie). Les Ă©tudes historiques rĂ©unies ici visent Ă  Ă©clairer les situations d’identification et les rĂ©ponses qui y Ă©taient apportĂ©es, en Ă©tudiant les intervenants, leur position respective et les enjeux souvent complexes qui se dissimulaient derriĂšre ces questions apparemment simples. C’est Ă  ce voyage conceptuel, plutĂŽt qu’à une histoire linĂ©aire, qu’invite ce volume. Avant mĂȘme d’ĂȘtre individualisĂ©es, les personnes Ă©taient caractĂ©risĂ©es par des marqueurs identitaires, parfois accumulĂ©s de maniĂšre redondante dans les Ă©lĂ©ments du nom, le titre, l’habillement, la gestuelle, la langue et la maniĂšre de l’utiliser, etc. Ces signes, perçus comme immuables et essentiels dans un univers oĂč l’habit faisait le moine, Ă©taient en fait changeants comme les enjeux qui les justifiaient, et leur sens en Ă©tait affectĂ©. L’individuation, plus ou moins poussĂ©e, Ă©tait requise dans certaines situations, notamment par le droit musulman attentif Ă  qualifier et valider les actions et les personnes. Elle se heurtait Ă  mille limites, y compris au cƓur du droit ; et l’incertitude sur l’identitĂ© rĂ©elle des personnes, hantise des juristes et des juges, pouvait selon les occasions et les intĂ©rĂȘts ĂȘtre vĂ©cue sans grand embarras. Pouvoirs et dominants faisaient de la prescription des identitĂ©s un instrument de leur domination, en particulier aux deux extrĂ©mitĂ©s de l’échelle sociale, vis-Ă -vis des esclaves comme des privilĂ©giĂ©s — c’étaient parfois les mĂȘmes. Ces prescriptions, dont une grande partie de la sociĂ©tĂ© pouvait s’accommoder ou les ignorer, n’avaient de toute façon pas la visĂ©e simplificatrice et unificatrice que les États en voie de modernisation ont dĂ©veloppĂ©e Ă  partir du xixe siĂšcle, terme chronologique de ce dossier
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