100 research outputs found

    Maisons d’Ispahan. Sous la direction de D. Diba, P. Revault et S. Santelli, Maisonneuve et Larose, Paris, 2001, 250 p. incluant 265 ill.

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    Cet ouvrage, qui offre une très belle documentation photographique sur la ville et les maisons d’Isfahan, soutenue par un texte de qualité expliquant l’évolution de l’une et les caractéristiques des autres, résulte d’une coopération entre l’école des Beaux Arts de l’Université de Téhéran et l’école d’Architecture de Paris-Belleville/Université de Paris X-Nanterre. Servie par une illustration peu abondante mais judicieuse, l’introduction évoque la formation de la ville d’Isfahan qui, comme tou..

    Les Nouvelles d’Afghanistan, n° 92, 2001/1 : Spécial Patrimoine en péril, Actions de Sauvegarde.

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    Ce fascicule prend une valeur historique à la lumière des évènements qui ont suivi sa parution : la destruction des bouddhas de Bamiyan et, consécutive au 11 septembre de la même année, l’intervention armée en Afghanistan et l’éloignement des Talibans du pouvoir. En ouverture N. Hatch Duprée relate l’action de l’ONG SPACH, créée en 1993 en réaction contre la dilapidation du patrimoine archéologique de l’Afghanistan (pillage du musée en 1990) et ses efforts pour sensibiliser les autorités et l..

    « The Ancient Merv Project, Turkmenistan. Preliminary report on the second season (2002) ». Iran, Journal of Persian Studies, XLI (2003), pp. 139-170.

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    Un nouveau programme de 5 ans a été initié sur ce site en 2001, sous la direction de K. Kurbansakhatov et T. Williams. Il inclut fouilles, inventaires archéologiques et restaurations, dans le but de mettre en valeur le site de Merv tout en poursuivant son étude. En 2002, la fouille de l’angle S.-O. de l’enceinte de Gyaur Kala a révélé deux niveaux de reconstruction du rempart sur une fondation séleucide, l’ensemble courant sur un millier d’années. Un canal de direction E.-O. a également été f..

    A. S. Melikian-ChirvaniLe chant du monde. L’Art de l’Iran safavide 1501-1736. Paris, Musée du Louvre. 5 octobre 2007 - 7 janvier 2008, Paris, Somogy, 2007, 339 p.

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    Dans les premières pages de ce qui est plus un volume sur l’art safavide qu’un catalogue d’exposition, l’A. donne quelques clés pour dessiller l’observateur non initié et lui faire percevoir, plutôt que voir, une œuvre d’art iranienne qui est toujours « la métaphore d’une réalité supérieure » en relation, souvent indirecte, avec un texte ou une inscription poétique. De tous les objets d’art safavide présentés ici, très peu ont une orientation religieuse, sauf celles qui témoignent du passage ..

    Atlas historique du Golfe Persique (XVIe-XVIIIe siècles) / Historical Atlas of the Persian Gulf (Sixteenth to Eighteenth Centuries). Turnhout, Brepols, 2006, 490 p.

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    L’objectif du présent ouvrage, dû à un groupe d’historiens et géographes, a été de réaliser un atlas raisonné d’une sélection la plus significative de cartes européennes du Golfe Persique (102), classées par écoles régionales, et de fournir des informations sur l’histoire de ces portulans comme du contexte de leur fabrication (Introduction, pp. 23-29). On en retiendra quelques-unes : l’existence de cartes marines de prestige, destinées à être offertes aux souverains à côté de portulans destin..

    Bukhara- The Eastern Dome of Islam. Urban Development, Urban Space, Architecture and Population. Stuttgart / London, Edition Axel Menges, 2004, 223 p., ill. (photos, cartes et plans), bibliographie, index.

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    L’ouvrage commence par une interrogation sur les origines de la ville sogdienne et du plan des villes de l’est iranien, Herat, Bam et Zaranj par exemple, dont l’enceinte est quadrangulaire et les rues parallèles aux murs de cette enceinte. Des quatre hypothèses envisagées : origine gréco-romaine, chinoise, indienne ou autochtone, les auteurs inclineraient plutôt vers les deux dernières. Puis commence l’étude de Boukhara entre les 10e et 19e siècles. Utilisant des données archéologiques et top..

    Bam, sentinelle de sable. Gallimard (s.l.), 2004, 115 p. de plans et photos et 6 p. de texte.

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    Il s’agit d’un album de photographies et de dessins, précédé d’un petit texte introductif de G. Anquetil, rédacteur en chef au Nouvel Observateur. Mais l’étrange et puissante beauté du sujet, saisie par l’objectif, la sanguine et les brefs commentaires de B. Le Normand en font, pour les spécialistes de l’architecture de l’Iran, un document essentiel sur ce que fut cette ville-citadelle. Mieux que les photos, et si bonnes soit-elles, les dessins sont particulièrement éclairants pour faire comp..

    Tombeaux de paradis. Le Shâh-e Zende de Samarcande et la céramique architecturale d’Asie centrale. Ed. d’art Monelle Hayot, 2003, 264 p.

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    Cet ouvrage se distingue des nombreux volumes consacrés ces dernières années aux monuments islamiques d’Asie centrale en ce qu’il éclaire le lecteur sur les techniques de fabrication des décors qui constituent sans doute l’essentiel de la beauté de ces monuments : leur revêtement glaçuré ou émaillé. Les auteurs se sont attachés à montrer le rôle des artisans qui ont découvert, expérimenté et amélioré les tonalités, la résistance et l’assemblage des éléments de ces décors. Quant aux souverains..

    « Le fonds Henry Viollet (1880-1955) : documents d’archives et photographies », in : Maria Szuppe, éd., Iran : Questions et connaissances. Actes du IVe congrès européen des études iraniennes, organisé par la Societas Iranologica Europaea, Paris, 6-10 septembre 1999, vol. II : Périodes médiévale et moderne. Paris, Peeters/AAEI, 2002, pp. 513-524. (Studia Iranica, Cahier 26).

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    Cet article présente l’ensemble du Fonds Viollet conservé depuis 1975 à l’Institut d’Etudes Iraniennes (Paris III, Sorbonne Nouvelle). Ce fonds contient le matériel scientifique rassemblé par l’architecte Henry Viollet (1880-1955) au cours de missions en Orient qu’il effectua entre 1904 et 1913. Dans une première partie, l’auteur retrace, à partir des documents contenus dans ce fonds et d’autres provenant des Archives Nationales, ou encore à partir d’anecdotes rapportées par le fils d’Henry V..

    « Une correction de Kibla dans la mosquée du Vendredi à Ispahan », in : Maria Szuppe, éd., Iran : questions et connaissances. Actes du IVe congrès européen des études iraniennes, organisé par la Societas Iranologica Europaea, Paris, 6-10 septembre 1999, vol. II : Périodes médiévale et moderne. Paris, Peeters/AAEI, 2002, pp. 485-495. (Studia Iranica, Cahier 26).

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    Au cours d’une campagne d’étude et de conservation dans la Grande mosquée d’Isfahan, l’auteur et ses collaborateurs avaient remarqué, dans la grande coupole de la salle de prière, la traces de deux petites fenêtres, bouchées lors d’une restauration en 1960, et dont l’axe ne coïncidait pas avec les axes architecturaux ou structuraux du monument actuel. Il s’est avéré que ces deux fenêtres appartenaient soit au monument de briques crues érigé en 771, soit à sa reconstruction par les Buyides, so..
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