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    THE FORT KAMEN NEAR SPLIT

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    The high and almost inaccessible rocky mass Kamen, lying to the east of the city of Split, offered refuge and shelter from looters to villagers living in its vicinity during the Middle Ages. That outstanding strategical position played an important part in the course of wars being carried on between Venice and Turkey in the 16th and 17th centuries. The inhabitants from the vicinity had kept watch in the fort in the beginning, while later on its defence was entrusted to mercenaries from Italy, who surrendered to the Turkish forces during a Turkish siege in 1571. The Turks founded a settlement with a mosĂĽue, erecting new forts, on the rock. The Venetian general Leonardo Foscolo recaptured the fort during the Candian war in 1647, causing the settlement and the fort to be levelled. A smaller unfortified settlement, built on the rock at a later date, was eventually abandoned. There are a number of drawings and engravings showing the appearance of the settlement and forts on the rock of Kamen, e. g. the 1571 engraving by Camoti, the 1688 ones by Coronelli, the 1651 one shoving the Foscolo conquest, and the 1668 draawing by Santini. The rock is now deserted and nothing has remained on it but the last traces of dwelling houses and fortifications, as well as numerous cuttings in the live rock, in places where buildings, walls, door sills, stairs, narrow streets, etc., once stood

    SCULPTURES DE LA RENAISSANCE À SPLIT

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    L’auteur énumère et décrit de nombreuses pierres sculptées, constructions et sculptures Renaissance de Split, démontrant ainsi – et malgré l’absence d’un seul monument artistique important, comme il en existe pour les époques précédentes – la vive activité des boutiques et ateliers de tailleurs de pierre et sculpteurs de ce temps. Etant donné que la plupart des artisans qui travaillaient à Split pendant la Renaissance sont restés anonymes, notre histoire de l’art néglige leurs oeuvres qui dénotent pourtant certaines qaulité que l’on peut remarquer dans les bas-reliefs figuratifs ornant les pierres tombales de Thomas Nigris, de Katarina Žuvić, de la Femme inconnue de Poljud, de Nicolas Alberti; dans le bas-relief de St-Jean l’Evangéliste au Mont Marjan, la Vierge se trouvant sur les murs d’enceinte de la ville, les édifices tels que les Palais De Augubio, Karepić, Milesi, Cindro, le Palais situé au Péristyle, le poste de garde de la ville, le petite église St-Roch et autres; enfin, dans divers ornaments sculptés sur les pierres tombales de Poljud ou ailleurs. Le style Renaissance à Split n’a que peu à peu abandonné les formes gothiques qui persistèrent longtemps dans les oeuvres des tailleurs de pierre, sculpteurs et architectes de l’école de Juraj Dalmatinac (Georges le Dalmate) et qui substistèrent jusqu’à la première moitié du XVIIème siècle. Toute activité ultérieure fut rendue impossible par les luttes incessantes contre les Turcs et la construction continuelle de fortifications qui mobilisait tous les tailleurs de pierre et architectes. De même que pour les époques précédentes, on peut remarquer dans les oeuvres Renaissance de Split l’influence de la sculpture ancienne, car les ruines de l’antique et proche Salone fournissaient toujours un grand nombre de modèles plastiques. Cela est notable dans certains bas-reliefs, un peu antérieurs, de Juraj Dalmatinac: la »Lapidation de St Arnerius« et la »Flagellation«, dans le bas-relief de St-Jean l’Evangéliste, dans la pierre tombale de la Femme inconnue de Poljud et dans certains détails ornamentaux influencés par les décors antiques de Salone ou du Palais de Dioclétien
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