Implementing facility-based kangaroo mother care services : lessons from a multi-country study in Africa

BACKGROUND : Some countries have undertaken programs that included scaling up kangaroo mother care. The aim of this study was to systematically evaluate the implementation status of facility-based kangaroo mother care services in four African countries: Malawi, Mali, Rwanda and Uganda. METHODS : A cross-sectional, mixed-method research design was used. Stakeholders provided background information at national meetings and in individual interviews. Facilities were assessed by means of a standardized tool previously applied in other settings, employing semi-structured key-informant interviews and observations in 39 health care facilities in the four countries. Each facility received a score out of a total of 30 according to six stages of implementation progress. RESULTS : Across the four countries 95 per cent of health facilities assessed demonstrated some evidence of kangaroo mother care practice. Institutions that fared better had a longer history of kangaroo mother care implementation or had been developed as centres of excellence or had strong leaders championing the implementation process. Variation existed in the quality of implementation between facilities and across countries. Important factors identified in implementation are: training and orientation; supportive supervision; integrating kangaroo mother care into quality improvement; continuity of care; high-level buy in and support for kangaroo mother care implementation; and client-oriented care. CONCLUSION : The integration of kangaroo mother care into routine newborn care services should be part of all maternal and newborn care initiatives and packages. Engaging ministries of health and other implementing partners from the outset may promote buy in and assist with the mobilization of resources for scaling up kangaroo mother care services. Mechanisms for monitoring these services should be integrated into existing health management information systems.http://www.biomedcentral.com/bmchealthservreshb201

IMPACTS DES DIOXYDES DE SOUFRE (SO2) ET D’AZOTE (NO2) SUR L’AIR AMBIANT A BAMAKO

l’étude s’intitule : « impacts des dioxydes de soufre (SO2) et d’azote (NO2) sur l’air ambiant à Bamako». L’objectif fondamental de cette recherche est d’analyser les impacts des dioxydes de soufre (SO2) et d’azote (NO2) sur l’air ambiant à Bamako. La méthode qualitative a été adoptée. Elle a consisté à faire la recherche documentaire et à élaborer les guides d’entretien  Ainsi, des guides d’entretien ont été adressés à la Direction Nationale de l’Assainissement de Contrôle de Pollution et des Nuisances (DNACPN), et à l’Agence pour l’Environnement et le Développement Durable (AEDD). Les entretiens ont duré trois heures. Trois campagnes de prélèvements qui ont été réalisées. L’échantillonnage aléatoire simple a été utilisé, sur 32 sites avec un pas de sondage, 10/32 soit 1/3.  Le Global Positionning System (GPS), le capteur: aeroqual série 500, SPSS, Excel et World ont été utilisés.  Les recherches ont révélé que le NO2, pendant la journée du 19 janvier, est très faibles. Mais, le SO2 est présent en quantité très élevée sur plusieurs sites dont la plus grande valeur d’immission a été enregistrée à l’intersection Alqoods (81,84µg/m3).  Pendant la journée du 10 mai, les dioxydes de soufre et d’azotes ont demeurés nuls. Lors des prélèvements de la journée du 28 avril, le dioxyde d’azote est présent en quantité suffisante surtout les sites. Mais, le SO2 est près que insignifiant.  Enfin, les prélèvements, de la journée du 8 aout les polluants montrent des concentrations non négligeables surtout le dioxyde d’azote. Pour atténuer la pollution de l’air par les dioxydes, il faudrait non seulement revoir les textes d’importation des carburants, mais aussi, appliquer les textes nationaux en la matière sensibiliser les populations des dangers