47 research outputs found

    L’entrée de la Pologne dans le domaine de l’énergie nucléaire

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    La Pologne ne dispose actuellement d’aucun réacteur nucléaire de puissance. Le gouvernement a défini en janvier 2009 sa nouvelle politique énergétique et a annoncé sa volonté de recourir au nucléaire. La Pologne souhaite se doter d’un parc de centrales, dont la première devrait être opérationnelle en 2022

    Retour d'expérience de 33 ans de fonctionnement du réacteur PHENIX

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    Le réacteur rapide à caloporteur sodium Phénix fonctionne depuis 1974. Ce document analyse les relations de ce réacteur avec l’environnement, quantifiées par plus de 30 ans d’expérience de fonctionnement. On voit que dans tous les domaines, volume des rejets gazeux et liquides, volume des déchets solides, gestion du combustible, rejets dans l’eau de refroidissement, dosimétrie du personnel, etc., ce type de réacteur démontre d’excellentes performances environnementales

    Synthèse des sessions techniques

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    TerraPower, le réacteur de Bill Gates

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    Depuis 2008, Bill Gates, fondateur de Microsoft, finance une start-up chargée de développer un réacteur initialement basé sur l'idée du « réacteur cigare », réacteur dans lequel la réaction nucléaire au sein d'une masse fissile

    La R&D du CEA en appui des réacteurs à eau

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    Le CEA effectue une R&D en appui des réacteurs à eau que l’on peut classer dans quatre grands domaines : réacteur, combustible, sureté et aval du cycle. Cette R&D se fait en totale collaboration avec les industriels et vient en support à la fois aux réacteurs de deuxième et troisième générations. Cet article donne quelques exemples d’actions effectuées durant ces dernières années

    Quel taux de disponibilité pour un nouveau réacteur rapide sodium ?

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    Cet article rappelle que 18 réacteurs sodium ont fonctionné dans le monde, des prototypes jusqu’aux réacteurs de puissance, accumulant 388 années de fonctionnement. Si on écarte les prototypes, seuls trois réacteurs ont eu une production électrique notable et se prêtant à l’analyse d’un taux de disponibilité. Une analyse du taux de disponibilité de Phénix et de SPX 1, est effectuée. Une comparaison des taux de disponibilité des réacteurs BN 600 et Tricastin 1 (démarrés tous les deux en 1980) est aussi effectuée. On en conclut que, dans la mesure où le REX des réacteurs précédent est bien pris en compte (principalement au niveau des matériaux) et en absence de “perturbations politiques”, on peut s’attendre pour un réacteur rapide sodium à des taux de disponibilité comparables à ceux des autres réacteurs existants

    Nucléaire spatial : besoins, contraintes et acceptation sociétale

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    Le nucléaire spatial intervient dans de multiples domaines, allant des missions d’exploration scientifique dans ou au-delà du système solaire, à des programmes de plus grande envergure visant des vols habités vers la Lune ou vers Mars. Cette large palette d’interventions va conduire à des applications extrêmement variées de la technologie nucléaire : fusées de transport, alimentation des stations orbitales, des systèmes d’exploration, des bases lunaires et/ou martiennes et des véhicules de circulation sur ces planètes

    Nucléaire et hydrogène, quelles productions possibles ?

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    Aujourd’hui en France, on produit environ un million de tonnes d’hydrogène par an. Cet hydrogène est utilisé dans l’industrie pétrolière (59 %), dans l’industrie chimique (26 %, correspondant à la production d’ammoniaque pour les engrais) et pour d’autres usages industriels (15 %)

    Présentation

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    Cet article décrit l’accident de Fukushima de manière hronologique et montre à chaque phase de l’accident, l’état du REX (retour d’expérience) qui en a été tiré deux ans plus tard ainsi que les premières conséquences correspondantes pour l’exploitation des réacteurs et installations nucléaires. Les dix-neuf présentations correspondantes des journées ST7/ST4 des 6 et 7 décembre 2012, dont on trouvera la liste en annexe, sont ainsi replacées dans ce contexte chronologique et séquentiel. Dans la première phase de l’accident, un tsunami de taille nettement supérieure aux protections installées, balaye le site de Fukushima. La première conséquence a donc été une revue à la hausse pour tous les réacteurs des conditions extrêmes d’agression externe : tsunamis, mais aussi séismes, inondations, tornades, températures extrêmes, etc. Dans la deuxième phase, le tsunami a balayé un certain nombre d’installations comme les réservoirs de fuel, ce qui a conduit à une perte simultanée de l’alimentation en eau et des alimentations électriques. Une analyse a été effectuée sur tous les réacteurs, pour durcir un certain nombre de ces installations de manière à ce qu’elles puissent supporter sans dommage ces situations extrêmes. C’est en France ce qu’on appelle le “noyau dur”. Dans la troisième phase, l’exploitant en l’absence de moyens de communication et de transport, s’est trouvé démuni pour prendre des décisions palliatives et pour pouvoir les appliquer. L’analyse a conduit, en France, à mettre en place des forces d’intervention rapide capables de venir en aide dans les 24h au site sinistré. De plus, les procédures de gestion de crise et de communication ont été revues. Dans la phase de déroulement de l’accident, les analyses effectuées ont conduit soit à des améliorations sur les réacteurs existants, soit à des réflexions sur l’amélioration de certains systèmes (par exemple, étanchéité des pompes primaires, système de filtration des rejets). Enfin les dernières phases de l’accident conduisent à des enseignements sur les interventions en milieu hostile (robotique, traitement de l’eau contaminée, …) et sur la gestion des procédures d’évacuation des populations ainsi que du mode de retour et de surveillance ultérieurs. En conclusion, la forte réactivité de l’industrie nucléaire a permis de développer un REX important suite à cet accident. La mise en application de ce REX n’est pas encore terminée, et conduira dans les années à venir à poursuivre les améliorations sur les réacteurs en exploitation et à influer largement sur la conception des réacteurs du futur
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