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    La judiciarisation et l'exercice de la médecine générale en 2005 (réflexions à propos d'une enquête auprès de 136 médecins généralistes de la région Midi- Pyrénées)

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    Un état des lieux des problèmes liés à la judiciarisation de l'exercice de la médecine générale a été mené. Les obligations légales des médecins ont considérablement évolué depuis le début du siècle. La loi du 4 mars 2002 a confirmé les avancées jurisprudentielles de ces dernières années. Une enquête a été réalisée en mai 2005 auprès de 300 généralistes de Midi-Pyrénées sélectionnés de manière aléatoire auprès de l'URML. 136 réponses ont été obtenues. Il en ressort qu'ils sont inquiets face aux risques de plaintes (moyenne 5.47/10) , 87.50% d'entre eux recourent à des prescriptions défensives. Elles concernent essentiellement des demandes d'examens complémentaires et d'avis spécialisés. Ces demandes sont corrélées au milieu d'exercice (urbain), à l'âge (plus de 40 ans) et à la crainte de procès ( > à 5). 55% expriment une modification du regard envers leurs patients, qui est corrélée à une crainte de procès élevée. 57% émettent une opinion défavorable sur les problèmes liés à la judiciarisation de leur exercice. Seuls 14% des généralistes ont lu la loi du 4/3/2002 mais la majorité (62.5%) dit en connaître le contenu. On constate que la réaction des généralistes face aux problèmes de responsabilité se traduit par une surprescription à visée défensive. Il n'y a en revanche pas d'impact sur la tenue du dossier médical. Cette réalité n'est pas sans poser de problèmes en terme de prise en charge des patients.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Diagnostic performance of abdominal point of care ultrasound performed by an emergency physician in acute right iliac fossa pain

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    Abstract Background Right iliac fossa abdominal pain is a common reason for emergency ward admissions, its etiology is difficult to diagnose. It can be facilitated by an imaging examination, such as a Computerized Tomography scan which exposes the patient to ionizing radiation and implies delays. A bedside ultrasound performed by emergency physicians could avoid these issues. The aim of our study was to assess the performance of ultrasound carried out at the patient’s bedside by an emergency physician compared with a clinical-laboratory examination for the diagnosis of a surgical pathology in right iliac fossa pain. Methods This is a single-center prospective cohort study conducted in an Emergency Department receiving 19,000 patients per year. All patients presenting pain in the right iliac fossa were included by four (out of ten) emergency physicians certified in an ultrasound examination. A full grid pattern scan ultrasound of the abdominal cavity with analysis of the right iliac fossa was performed. The primary outcome was to compare the diagnosis performance of bedside ultrasound and clinical-laboratory examination to detect a surgical pathology. Two emergency physicians who did not participate in the study made the final diagnosis (i.e., surgical or non-surgical pathology) by reviewing the entire medical chart of each patient. Results From January 2011 to July 2013, 158 patients with a median age of 17 [13–32] years were analyzed. The diagnosed cases were: appendicitis (53), non-specific abdominal pain (48), lymphadenitis (22), ileitis (11), complicated ovarian cysts (7), neoplasias (5), inflammatory or infectious colitis (5), inguinal herniations (3), bowel obstructions (2), and salpingitis (2). The accuracy of ultrasound diagnoses was 0.89 (95% CI 0.84–0.94) versus 0.70 (95% CI 0.57–0.82) for diagnoses based on clinical-laboratory examination only (p < 0.001). Conclusion Bedsides, ultrasound allows an accurate diagnosis of a surgical pathology in 89% of cases, which is more efficient than the clinical-laboratory examination
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