15 research outputs found

    Prediction of digestibility of organic matter and energy in the growing pig from an in vitro method

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    Corrigendum in [Anim. Feed Sci. Technol., vol. 159, 3-4, (2010) p.156] : modification de la table 2International audienceThe method of Boisen and Fernandez [Boisen, S., Fernandez, J.A., 1997. Prediction of total tract digestibility of energy in feedstuffs and pig diets by in vitro analyses, Anim. Feed Sci. Technol. 68, 277-286] for measuring in vitro fecal digestibility of organic matter (OMdv) or in vitro digestible organic matter content (DOMv, g/kg) was used on 113 compound feeds (79 as mash and 34 as pellets) and 66 ingredients (as mash) whose digestibility of organic matter (OMd) and energy (Ed) and digestible energy content (DE, MJ/kg) had been measured in 60 kg growing pigs for all compound feeds and ingredients, and in adult sows for about 2/3 of the compound feeds (as mash); net energy (NE, MJ/kg) of these feeds were estimated from digestibility information. The repeatability and accuracy of the method were evaluated. Data obtained on compound feeds fed as mash were used to establish prediction equations of OMd, Ed, DE NE from OMdv or DOMv and chemical criteria. The levels of accuracy and repeatability of OMdv measurement were satisfactory and values for OMdv and OMd of mash compound feeds were very close and highly correlated (r = 0.91). Apart from OMdv, the best prediction equations of OMd or Ed included ash content and a cell wall criterion (ADF or crude fiber); for prediction of DE, fat content had also to be considered. The coefficient of variation of all equations was below 0.02. The equations allow a satisfactory prediction of OMd, Ed or DE of the 66 ingredients fed as mash. However, the equations established on data obtained on mash feeds underestimate the in vivo nutritional value of pelleted feeds and are not applicable to prediction of energy value of feeds for adult pigs

    Valeur énergétique de la graine de lin chez le porc : impact de la technologie de cuisson-extrusion

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    Session : Alimentaion, A08National audienceLinseed is used in pig feeds, particularly as a source of omega 3 fatty acids. However, before inclusion in compound feeds, linseed is generally extruded in association with starch and/or fibre rich ingredients used as a support (SU) for absorbing fat. The objective of the digestibility trial conducted on 60 kg body weight pigs was to measure the energy value and digestibility of nutrients of SU and SU associated with either ground linseed or extruded linseed; two extrusion procedures were compared. Digestibility coefficients of linseed were calculated according to the difference method. Energy digestibility of ground linseed (50%) was considerably lower than after extrusion (76 and 84% for the two extrusion procedures). This lower digestibility in ground linseed was associated with a low digestibility of fat (51 vs 81 and 90% in extruded linseed). Consequently, the DE content of linseed for growing pigs averaged 14.0 or 21.0 and 23.1 MJ per kg of dry matter for ground or extruded linseed, respectively. Corresponding ME and NE values and energy values for adult pigs are proposed. Our study emphasizes the technical and economical interest of extrusion in order to maximize the availability of crude fat of linseed for pigs. The differences in digestibility coefficients between the two extrusion procedures suggest that the extrusion parameters must be optimized in order to maximize availability of fat and energy value of linseed.La graine de lin est utilisée dans l’alimentation du porc, en particulier en raison de sa richesse en acides gras oméga 3. Pour être introduite dans les aliments, elle est généralement extrudée et, compte tenu de sa richesse en lipides, en association avec des matières premières riches en amidon et/ou en parois végétales utilisées alors comme support (SU). L’essai de digestibilité conduit sur des porcs de 60 kg a alors eu pour objectif de mesurer la valeur énergétique et les coefficients de digestibilité de SU et de SU associé à de la graine de lin broyée ou extrudée ; deux procédés d’extrusion ont été appliqués. Les digestibilités de la graine de lin sont calculées à l’aide de la méthode par différence. Le coefficient de digestibilité de l’énergie de la graine de lin broyée (51 %) est très inférieur à celui des graines extrudées (76 % et 84 %). Cette moindre digestibilité est essentiellement liée à une faible digestibilité des matières grasses de la graine broyée (51 % vs 81 % et 90 % pour les graines extrudées). Exprimées relativement à la matière sèche, les teneurs en ED de la graine de lin broyée ou extrudée sont alors de 14,0 ou 21,0 et 23,1 MJ/kg chez le porc en croissance. Les valeurs EM et EN correspondantes ainsi que les valeurs énergétiques pour le porc adulte sont estimées. Les résultats mettent en évidence la nécessité d’un traitement thermique et/ou mécanique de la graine de lin afin que les matières grasses qu’elle contient soient disponibles pour le porc. Les différences entre les deux procédés de cuisson extrusion appliqués dans notre étude suggèrent d’optimiser le process pour que la disponibilité des matières grasses et ensuite la valeur énergétique soient maximales

    Valeur énergétique de la graine de lin chez le porc : impact de la technologie de cuisson-extrusion

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    Session : Alimentaion, A08National audienceLinseed is used in pig feeds, particularly as a source of omega 3 fatty acids. However, before inclusion in compound feeds, linseed is generally extruded in association with starch and/or fibre rich ingredients used as a support (SU) for absorbing fat. The objective of the digestibility trial conducted on 60 kg body weight pigs was to measure the energy value and digestibility of nutrients of SU and SU associated with either ground linseed or extruded linseed; two extrusion procedures were compared. Digestibility coefficients of linseed were calculated according to the difference method. Energy digestibility of ground linseed (50%) was considerably lower than after extrusion (76 and 84% for the two extrusion procedures). This lower digestibility in ground linseed was associated with a low digestibility of fat (51 vs 81 and 90% in extruded linseed). Consequently, the DE content of linseed for growing pigs averaged 14.0 or 21.0 and 23.1 MJ per kg of dry matter for ground or extruded linseed, respectively. Corresponding ME and NE values and energy values for adult pigs are proposed. Our study emphasizes the technical and economical interest of extrusion in order to maximize the availability of crude fat of linseed for pigs. The differences in digestibility coefficients between the two extrusion procedures suggest that the extrusion parameters must be optimized in order to maximize availability of fat and energy value of linseed.La graine de lin est utilisée dans l’alimentation du porc, en particulier en raison de sa richesse en acides gras oméga 3. Pour être introduite dans les aliments, elle est généralement extrudée et, compte tenu de sa richesse en lipides, en association avec des matières premières riches en amidon et/ou en parois végétales utilisées alors comme support (SU). L’essai de digestibilité conduit sur des porcs de 60 kg a alors eu pour objectif de mesurer la valeur énergétique et les coefficients de digestibilité de SU et de SU associé à de la graine de lin broyée ou extrudée ; deux procédés d’extrusion ont été appliqués. Les digestibilités de la graine de lin sont calculées à l’aide de la méthode par différence. Le coefficient de digestibilité de l’énergie de la graine de lin broyée (51 %) est très inférieur à celui des graines extrudées (76 % et 84 %). Cette moindre digestibilité est essentiellement liée à une faible digestibilité des matières grasses de la graine broyée (51 % vs 81 % et 90 % pour les graines extrudées). Exprimées relativement à la matière sèche, les teneurs en ED de la graine de lin broyée ou extrudée sont alors de 14,0 ou 21,0 et 23,1 MJ/kg chez le porc en croissance. Les valeurs EM et EN correspondantes ainsi que les valeurs énergétiques pour le porc adulte sont estimées. Les résultats mettent en évidence la nécessité d’un traitement thermique et/ou mécanique de la graine de lin afin que les matières grasses qu’elle contient soient disponibles pour le porc. Les différences entre les deux procédés de cuisson extrusion appliqués dans notre étude suggèrent d’optimiser le process pour que la disponibilité des matières grasses et ensuite la valeur énergétique soient maximales

    Prédiction de la teneur en fibres totales et insolubles de matières premières courantes dans l'alimentation du porc à partir de leur composition chimique

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    Session : AlimentationNational audienceLes matières premières (MP) riches en fibres sont fréquemment introduites dans les aliments des porcs. Cependant, l’utilisation raisonnable de ces MP nécessite une caractérisation précise de la fraction fibreuse. Les fibres représentent une famille hétérogène de composés aux caractéristiques biochimiques et physicochimiques variées. Plusieurs méthodes permettent de les dosersélectivement mais celle de van Soest et la cellulose brute (CB) sous‐estiment la fraction soluble au contraire de la méthode de Prosky (TDF) alors même que cette fraction est recherchée pour ses effets sur la fonction digestive et la santé. La méthode TDF est, cependant, peu pratiquée en alimentation animale. L’objectif de ce travail est de proposer des équations de prédiction des teneurs en fibres totales solubles et insolubles selon la méthode TDF en fonction de la composition chimique de la MP. A partir de 69 échantillons de MP, les teneurs en MS, MM, MAT, amidon, sucres totaux, MG et les teneurs en fibres selon différentes méthodes (Weende (CB), van Soest, Carré et Prosky (TDF)) ont été déterminées afin de calculer les équations de prédiction des fibres totales, solubles et insolubles par régression linéaire progressive, puis validées avec 25 autres MP. Les meilleures équations de prédiction des fibres totales et insolubles, proposées pour les principales catégories de MP, prennent en compte l’ensemble des constituants autres que les fibres (résidu) ou l’amidon et les protéines. Pour toutes les équations, les ETR sont généralement inférieurs à 3%.Les teneurs en fibres solubles ne peuvent, quant à elles, pas être prédites
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