8 research outputs found

    Malignant islet-cell tumors of the pancreas

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    Although malignant islet-cell tumors are uncommon, they are an important group of pancreatic neoplasms because appropriate treatment can often result in effective palliation even though cure is infrequent. In general, these tumors are relatively slow growing so that a combination of surgical and chemotherapeutic measures may prove very beneficial. In some patients with tumors hypersecreting insulin, gastrin, glucagon, or vasoactive intestinal polypeptide (VIP), the hormonal effects of the neoplasm can be life-threatening. Surgical treatment must, therefore, consider both the functional and malignant characteristics of the individual tumor. In many patients with functional tumors, surgical debulking of the primary tumor may be indicated even when a curative resection cannot be accomplished. Some malignancies may be cured by an appropriate pancreatic resection even when peripancreatic lymph nodes are already involved. Although a Whipple procedure is not indicated when hepatic metastases are present, this procedure may cure tumors localized to the pancreatic head and/or peripancreatic lymph nodes. Because hepatic metastases are usually multiple and involve both lobes, liver resections, other than wedge excisions of peripherally located functional metastases, are not indicated. Malignant nonfunctioning islet-cell tumors are probably best treated with systemic or regional chemotherapy when metastatic. Surgical resections or bypass procedures may be infrequently useful in those cases in which the primary tumor causes either duodenal or bile duct obstruction. The most effective methods used to control hepatic metastases are systemic and hepatic arterial chemotherapy. An alternative is selective hepatic artery embolization. Recently, an implantable hepatic arterial infusion pump has been used with encouraging results in this group of patients. The chemotherapeutic agents that have been most effective in the treatment of hepatic metastases include streptozotocin, DTIC, and fluorouracil . Les tumeurs insulaires malignes sont rares mais elles présentent un grand intérêt car si le traitement entraîne exceptionnellement leur guérison il assure une survie des malades qui en sont porteurs. Ce sont en effet des tumeurs malignes à développement lent, sensibles à l'action de l'association de la chimiothérapie et de la chirurgie. Chez certains sujets les tumeurs secrétant de l'insuline, de la gastrine, du glucagon, du V.I.P. peuvent mettre en jeu la vie du malade sous l'effet de l'hypersecrétion hormonale. Le traitement chirurgical dépend de ce fait, des caractères fonctionnels et du degré de malignité de chaque type de tumeur. En présence de lésions hypersecrétantes l'exérèse de la tumeur primitive doit être envisagée alors même que la possibilité d'obtenir une guérison définitive ne peut être escomptée. Il est aussi à noter que certaines lésions malignes ont été traitées avec succès alors que les ganglions lymphatiques correspondants étaient déjà envahis. Si l'opération est contre-indiquée en présence de métastases hépatiques la duodénopancréatectomie céphalique s'applique aux tumeurs insulaires céphaliques qu'elles s'accompagnent ou non d'un envahissement des ganglions juxta-pancréatiques. Du fait que les métastases hépatiques sont souvent multiples et qu'elles intéressent les deux lobes l'action sur le foie se limite à l'éxérèse des métastases accessibles à la résection hépatique segmentaire. Les tumeurs insulaires malignes qui ne sont pas hypersecrétantes relèvent de la chimiothérapie par voie générale ou de la chimiothérapie régionale dès lors qu'elles s'accompagnent de métastases. C'est seulement lorsque ces lésions entraînent une obstruction de la voie biliaire principale ou du duodénum que la résection ou les anastomoses de dérivation sont indiquées. La chimiothérapie par voie générale ou par la voie de l'artère hépatique ou encore l'embolisation de cette dernière représentent les meilleures méthodes de traitement des métastases hépatiques. L'emploi récent de pompes à infusion de l'artère hépatique a donné des résultats intéressants chez ces malades. Les agents chimiques les plus efficaces sont la streptozotocine, le DTIC et le Fluorouracil. Aunque los tumores malignos de células insulares del páncreas son raros, éstos constituyen un grupo importante entre las neoplasias pancreáticas por cuanto el tratamiento apropiado con frecuencia resulta en una paliación efectiva a pesar de que la curación sea poco frecuente. En general estos tumores son de crecimiento lento y la combinación de la cirugía con quimioterapia puede llegar a ser beneficiosa. En algunos pacientes con tumores que hipersecretan insulina, gastrina, glucagón o VIP (polipéptido vasoactivo intestinal), los efectos hormonales del neoplasma pueden poner en peligro la vida. Por ello el tratamiento quirúrgico debe considerar tanto las caracteristicas funcionales como las de malignidad de cada tumor en particular. En muchos pacientes con neoplasmas funcionantes, el debultamiento quirúrgico del tumor primario puede estar indicado cuando la resección curativa no es realizable. Algunas neoplasias malignas pueden ser curadas mediante una resección pancreática adecuada a pesar de que los ganglios linfáticos peripancreáticos ya se hallen afectados. Aún cuando el procedimiento de Whipple no esta indicado en presencia de metástasis hepáticas, esta operación puede curar tumores localizados en la cabeza del páncreas y/o en los ganglios linfáticos peripancreáticos. Debido a que las metástasis hepáticas generalmente son múlitples y afectan a ambos lóbulos, las resecciones hepáticas, diferentes de las resecciones en cuña para lesiones funcionantes localizadas en la periferie del higado no están indicadas. Los tumores malignos no funcionantes de células insulares probablemente deben ser tratadas con quimioterapia sistémica o regional cuando se encuentren en fase metastásica. Las resecciones quirúrgicas o los procedimientos derivativos infrecuentemente son de utilidad en aquellos casos en los cuales el tumor primario causa obstrucción duodenal o del conducto biliar. Los métodos de mayor efectividad en el control de las metéstasis hepáticas son los de quimioterapia sistémica y arterial hepática. Una alternativa es la embolización selectiva de la arteria hepática. Recientemente ha venido a ser utilizada una bomba implantable de infusión arterial heptica con resultados halagadores en este grupo de pacientes. Los agentes quimioterapéuticos que han probado ser de mayor efectividad en el tratamiento de las metástasis hepáticas incluyen la estreptozotocina, la dimetiltrizenoimidazol carboxamida (DTIC) y el Fluorouracilo.Peer Reviewedhttp://deepblue.lib.umich.edu/bitstream/2027.42/41316/1/268_2005_Article_BF01656036.pd

    Plasma gut hormone levels in 37 patients with pheochromocytomas

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    Pheochromocytomas are usually recognized by the effects of overproduction of catecholamines, but there are clinical features that cannot be ascribed to catecholamine excess that may be due to vasoactive peptides. We, therefore, measured blood levels of vasoactive intestinal peptides (VIP), substance P, somatostatin (SS), and motilin in 50 instances in 37 patients with pheochromocytomas-21 malignant, 10 benign intra-adrenal, and 6 ectopic (5 paracardial and 1 perirenal). Hormone levels were considered raised if the level was more than 3 S.D. above the mean value found in 52 healthy subjects. Of the 37 patients, 20 (54%) had an abnormality in 1 or more gut hormone levels. The most common abnormality was a raised SS in 9/37 (24%). In addition to these, however, 3 (8%) others had raised VIP, 5 (13.5%) raised motilin, and 3 (8%) raised substance P. Patients with benign adrenal adenomas had raised levels of SS and substance P. Ectopic pheochromocytomas produced only SS in addition to catecholamines, but malignant pheochromocytomas could secrete all 4 peptides, and more than 1 in the same patient. We conclude that pheochromocytomas may secrete multiple vasoactive peptides, and they are more likely to do so if malignant. Somatostatin is the most commonly secreted peptide and is found with benign adrenal and ectopic (paracardiac) tumors. If the level of more than 1 peptide is elevated, the likelihood of malignancy is significantly increased . Les phéochromocytomes sont généralement déceléspar les effets dûs à la surproduction de catécholamines, mais certains troubles ne peuvent être attribués à ce phénomène et relèvent peut être de l'action de peptides vasoactifs. Les auteurs se sont donc attachés à doser dans le sang le VIP, la substance P, la somatostatine (SS), et la motiline. Ces dosages furent pratiqués 50 fois chez 37 malades porteurs de phéochromocytomes: 21 malins, 10 bénins et 6 ectopiques (5 paracardiaque et 1 péri-rénal). Les taux des hormones furent considérés comme élevés lorsque leur niveau fut supérieur à plus de 3 fois le taux de 52 sujets sains. Sur les 37 malades 20 (54%) présentaient un excès d'une ou de plusieurs hormones digestives. L'anomalie constatée la plus fréquente fut l'élévation de la SS (9 fois sur 37 soit 24%). Ajoutée à ce fait fut l'élévation de la VIP chez 3 sujets (8%), de la motiline chez 5 (13.5%) et de la substance P chez 3 (8%). Les phéochromocytomes bénins surrénaliens présentaient à la fois une élévation du taux de la SS et de la substance P. Les phéochromocytomes ectopiques en revanche présentaient seulement une élévation de la SS. Les phéochromocytomes malins pouvaient sécréter les 4 peptides ou plus d'un chez le même malade. En conclusion les phéochromocytomes peuvent secréter de multiples peptides vasoactifs et plus particulièrement lorsqu'ils sont malins. La SS est la substance qui est la plus souvent secrétée et elle est trouvée dans les tumeurs bénignes surrénaliennes ou ectopiques. Si plus d'une de ces substances est produite en excès les risques de malignité de la tumeur sont significativement plus importants. Los feocromocitomas generalmente son diagnosticados por los efectos del exceso de producción de catecolaminas pero hay características clínicas que no pueden ser atribuidas al exceso de catecolaminas y que pueden ser más bien manifestación de péptidos vasoactivos. Hemos establecido los niveles sanguíneos del péptido intestinal vasoactivo (VIP), de la sustancia P, de la somatostatina (SS), y de la motilina en 50 determinaciones en 37 pacientes con feocromocitomas; 21 malignos, 10 benignos intra-adrenales, y 6 ectópicos (5 paracardiales y 1 perirrenal). Se consideró que los niveles hormonales estaban elevados cuando el nivel era de más de 3 de desviación estandar sobre el valor promedio en 52 individuos normales. De 37 pacientes, 20 (54%) presentaron un valor anormal en 1 o más determinaciones del nivel de hormonas intestinales. La anormalidad más común fue la elevación de la SS en 9/37 (24%). Además de esto, sinembargo, otros 3 (8%) presentaban elevación de VIP, 5 (13.5%) elevación de sustancia P. Los adenomas suprarrenales benignos exhibieron niveles elevados de SS y de sustancia P. Los feocromocitomas ectópicos demostraron producción sólo de SS además de catecolaminas, pero los feocromocitomas malignos demostraron ser capaces de secretar todos los 4 péptidos, y más de 1 en el mismo paciente. Hemos llegado a la conclusión de que los feocromocitomas pueden secretar múltiples peptidos vasoactivos y que ésto tiende a ocurrir cuando son malignos. La SS es el péptido más frecuentemente secretado y se lo encuentra en los tumores suprarrenales benigno y ectópico (paracardiacos). Si se encuentran niveles elevados de más de 1 péptido, la posibilidad de malignidad aparece significativamente aumentada.Peer Reviewedhttp://deepblue.lib.umich.edu/bitstream/2027.42/41274/1/268_2005_Article_BF01655534.pd

    Verner-Morrison-Syndrome

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