Gender and family background as predictors of entrepreneurial drive in France

This study analyses the role played by gender and personal environment in the definition ans establishment of professional values and vision of entrepreneurship amongst Higher Education students in Francegender ; entrepreneurship ; personal environment

Strategic activities in support of young French SMEs

In this paper we closely study young French Small and Medium Enteprises (SMEs). We highlight the structure of this target firms and we build a typology of corresponding business models. The business models stemming from this typology are typical (to the greatest extent possible) and actionable. We are particularly intersted in indentifying groups of SMEs where gouvernement assistance would be particularly effective and strategically valuable for the national economy. One of our conclusins is that the typology is not based on a classical growth model that reflects progressive phases of developement in the life of a young firm. Furthermore, it is ineffective and wasteful to focus governement assistance efforts on firms based on their age. We identify groups of business models where assistance would be more effecient and strategically more effective.SME ; growth ; growth model ; typology

Comparaison des intentions entrepreneuriales des étudiants : France –Pays arabes

A partir d'une grille de lecture dérivée du modèle psychosocial du comportement planifié d'Ajzen, nous étudions les déterminons des intentions entrepreneuriales affichées par les étudiants en France et dans trois pays arabes, Algérie, Liban et Tunisie. Nous observons que les niveaux mesurés de ces intentions sont très différents d'un pays à l'autre et nous essayons d'expliquer ces divergences à partir des éléments qui, selon le modèle retenu, sont à la base de ces intentions : attitude envers la création d'entreprises, normes sociales et contrôle comportemental perçu. Pour ce faire, nous proposons, en utilisant des techniques d'analyse des données, quatre facteurs (perception de la gestion du temps dans la vision de l'entrepreneuriat ; projection dans le future professionnel ; goût du risque dans la vie professionnel ; capacité perçue) qui structurent les intentions entrepreneuriales des étudiants, ainsi qu'une typologie qui montre des comportements quant aux intentions entrepreneuriales bien caractérisées et distinctes, entre d'une part, la France, et d'autre part, les autres pays.intentions entrepreneuriales ; étudiants ; France ; Pays arabes

Formation et esprit d'entreprendre chez les étudiants

Cette contribution s'attache à étudier entre esprit d'entreprendre et domaine d'études chez les étudiants français. L'esprit d'entreprendre est le substrat dans lequel peut germer l'intention qui pourra donner lieu à une création d'entreprise. Nous choisissons de l'appréhender à partir d'une grille de lecture dérivée du modèle psychosocial du comportement planifié d'Ajzen, enrichie par des variables reflétant l'implication dans la vie associative et les opinions sur les formations à la création d'entreprise.esprit d'entreprendre ; domaine d'étude ; étudiants français

Diversité des contextes de gouvernement des entreprises de biotechnologie

L'industrie des biotechnologies peut être représentée par différentes activités et différentes stratégies de croissance de l'entreprise. Ces stratégies auront un impact sur la structure de propriété et la qualité des apporteurs de capitaux à mobiliser, donc sur les mécanismes de gouvernement d'entreprise à mettre en place. On passe d'un système de gouvernement lié à des entreprises entrepreneuriales avec des informations classiques, à un système de gouvernement dynamique (anticipation de la séquentialité des différentes phases de la recherche) dans lequel la firme est dépendante des financements, à chaque étape. Les informations qualitatives, notamment en matière de recherche et développement, sont alors déterminantes. Les nombreuses entreprises de biotechnologie, sans chiffre d'affaires et avec moins de cinquante salariés, relèvent de la moyenne entreprise au regard d'un processus de séparation des droits de contrôle et de gestion d'une ouverture du capital favorisant la transférabilité des droits

[Structure de participation et financement de programmes de R et D dans le cas des entreprises de biotechnologies : une analyse des signaux]

National audienceDans le cadre des analyses sur la nouvelle économie, et en particulier sur les entreprises de haute technologie, deux secteurs sont particulièrement cités : les technologies de l'information et les biotechnologies. Alors que les entreprises de biotechnologies sont décrites, en général, comme un secteur d'activité, elles font en réalité référence à de nombreuses activités différenciées (pharmacie, agroalimentaire, etc.). De même, alors que l'on présente ces entreprises comme des entreprises de haute technologie à forte potentialité de croissance, on peut trouver différents types d'organisations industrielles dont les objectifs de croissance sont variables. C'est pourquoi dans la continuité de ces derniers résultats, les auteurs étudient 60 PME de biotechnologies en France, à partir d'entretiens avec leurs dirigeants. Deux grandes dimensions ont été retenues pour cette analyse : les structures de propriété afférentes et les signaux incitatifs émis pour le financement de projets innovants. La première section présente la littérature théorique sur le financement des opérations d'investissement à long terme. Dans une seconde section, les auteurs présentent la méthodologie retenue pour l'enquête et pour le choix des entreprises. Enfin, dans une troisième section, la démonstration est faite de pratiques de signaux différenciés selon les structures de propriété. Les signaux traditionnels s'avèrent peu adaptés. De nouveaux signaux émergent pour assurer les financements des entreprises à fort potentiel de croissance. A partir de ces signaux émis, il ressort des pratiques différenciées de gouvernement de ces entreprises

[Structure de participation et financement de programmes de R et D dans le cas des entreprises de biotechnologies : une analyse des signaux]

Document de travail INRA-ESR Grenoble ; 2001-24 Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales Université Pierre Mendès France BP 47 38040 Grenoble Cedex 9 (FRA)National audienceDans le cadre des analyses sur la nouvelle économie, et en particulier sur les entreprises de haute technologie, deux secteurs sont particulièrement cités : les technologies de l'information et les biotechnologies. Alors que les entreprises de biotechnologies sont décrites, en général, comme un secteur d'activité, elles font en réalité référence à de nombreuses activités différenciées (pharmacie, agroalimentaire, etc.). De même, alors que l'on présente ces entreprises comme des entreprises de haute technologie à forte potentialité de croissance, on peut trouver différents types d'organisations industrielles dont les objectifs de croissance sont variables. C'est pourquoi dans la continuité de ces derniers résultats, les auteurs étudient 60 PME de biotechnologies en France, à partir d'entretiens avec leurs dirigeants. Deux grandes dimensions ont été retenues pour cette analyse : les structures de propriété afférentes et les signaux incitatifs émis pour le financement de projets innovants. La première section présente la littérature théorique sur le financement des opérations d'investissement à long terme. Dans une seconde section, les auteurs présentent la méthodologie retenue pour l'enquête et pour le choix des entreprises. Enfin, dans une troisième section, la démonstration est faite de pratiques de signaux différenciés selon les structures de propriété. Les signaux traditionnels s'avèrent peu adaptés. De nouveaux signaux émergent pour assurer les financements des entreprises à fort potentiel de croissance. A partir de ces signaux émis, il ressort des pratiques différenciées de gouvernement de ces entreprises

Stratégies de croissance et contexte de gouvernement des entreprises de biotechnologies

National audienceL'industrie des biotechnologies peut être représentée par différentes activités et différentes stratégies de croissance de l'entreprise. Ces stratégies auront un impact sur la structure de propriété et la qualité des apporteurs de capitaux à mobiliser, donc sur les mécanismes de gouvernement d'entreprise à mettre en place. On passe d'un système de gouvernement lié à des entreprises entrepreneuriales, avec des informations classiques, à un système de gouvernement dynamique (anticipation de la séquentialité des différentes phases de la recherche) dans lequel la firme est dépendante des financements, à chaque étape de sa croissance. Les informations qualitatives, notamment en matière de RD, sont alors déterminantes. Les nombreuses entreprises de biotechnologies, sans chiffre d'affaires et avec moins de 50 salariés, relèvent de la moyenne entreprise au regard d'un processus de séparation des droits de contrôle et de gestion et d'une ouverture du capital favorisant la transférabilité des droits

Stratégies de croissance et contexte de gouvernement des entreprises de biotechnologies

National audienceL'industrie des biotechnologies peut être représentée par différentes activités et différentes stratégies de croissance de l'entreprise. Ces stratégies auront un impact sur la structure de propriété et la qualité des apporteurs de capitaux à mobiliser, donc sur les mécanismes de gouvernement d'entreprise à mettre en place. On passe d'un système de gouvernement lié à des entreprises entrepreneuriales, avec des informations classiques, à un système de gouvernement dynamique (anticipation de la séquentialité des différentes phases de la recherche) dans lequel la firme est dépendante des financements, à chaque étape de sa croissance. Les informations qualitatives, notamment en matière de RD, sont alors déterminantes. Les nombreuses entreprises de biotechnologies, sans chiffre d'affaires et avec moins de 50 salariés, relèvent de la moyenne entreprise au regard d'un processus de séparation des droits de contrôle et de gestion et d'une ouverture du capital favorisant la transférabilité des droits

[Structure de participation et financement de programmes de R et D de biotechnologie : une analyse des signaux]

Document de travail INRA-ESR Grenoble ; 2002-05 Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales Université Pierre Mendès France BP 47 38040 Grenoble Cedex 9 (FRA)International audienceDans le cadre des analyses sur la nouvelle économie, et en particulier sur les entreprises de haute technologie, deux secteurs sont particulièrement cités : les technologies de l'information et les biotechnologies. Alors que l'on présente les entreprises de biotechnologie comme des entreprises de haute technologie avec une forte potentialité de croissance, on peut trouver, dans ces entreprises, divers types d'organisation industrielle dont les objectifs de croissance sont variables. C'est pourquoi dans la continuité de ces derniers résultats, les auteurs étudient 60 PME de biotechnologie en France. Deux grandes dimensions ont été maintenues pour cette analyse : structures de la propriété et signaux émis pour recevoir des financements sur des projets innovants. La première section présente la littérature théorique sur le financement de l'investissement à long terme. Dans une deuxième section les auteurs présentent la méthodologie utilisée pour l'étude et le choix des entreprises. Pour finir, dans une troisième section, la démonstration est faite : les signaux émis par des sociétés sont différenciés selon les structures de propriété de la société ; les signaux traditionnels ne sont pas adaptés. Les nouveaux signaux émergent pour assurer le financement des entreprises avec un fort potentiel de croissance