57 research outputs found

    Destructive pneumococcal septic arthritis in end-stage renal disease.

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    Pneumococcal arthritis generally presents as non-destructive monoarthritis, although some underlying metabolic disorders such as liver failure and diabetes have been suggested to represent a risk factor for severe joint disease. Here we report a case of destructive pneumococcal arthritis of the left hip joint in a patient suffering from chronic renal failure treated with hemodialysis for ten years. Inspite of effective anti-pneumococcal antibiotic treatment, the patient with preexisting renal osteopathy and a mild osteoarthritis continued to suffer from severe and disabling pain of the left hip. This case demonstrates that pneumococcal joint infection in patients with underlying uremic bone disease can lead to quick deterioration of the affected joint

    Computed tomographic imaging of subcutaneous gouty tophi.

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    Plantar fasciitis and Achilles tendinitis among 150 cases of seronegative spondarthritis.

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    A painful heel syndrome (plantar fasciitis and/or Achilles tendinitis) was found in 33 among 150 patients suffering from a seronegative spondarthritis. The clinical and radiological manifestations of this syndrome were similar in the nosological entities included in the seronegative spondarthritis group. HLA-B27 antigen was found in 91% of the patients, radiological sacroliitis in 64% and an asymmetric peripheral arthritis in all cases. By contrast, Achilles tendinitis was not encountered in 220 cases of rheumatoid arthritis; plantar fasciitis was exceptional in the same cases

    Polymyalgia rheumatica et maladie de Horton

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    Le diagnostic de polymyalgia rheumatica (PMR) repose sur les manifestations cliniques évocatrices, une élévation de la vitesse de sédimentation au-delà de 50 mm à la première heure et parfois sur la présence d'une artérite temporale de Horton associée. Le traitement de choix est constitué par les corticostéroïdes ; les doses Initiales ne devraient pas dépasser 10 à 15 mg de prednisone, ensuite les doses doivent être progressivement amenées à une valeur journalière de sécurité (5 à 7,5 mg). Les risques liés au traitement de corticostéroïdes sont d'ordre osseux (tassements vertébraux, fractures d'insuffisance), oculaire (glaucome, cataracte) et digestif (perforation du sigmoïde). Une administration concomitante d'AINS classiques devrait être évitée dans tous les cas, en raison des risques de toxicité au niveau gastro-duodénal

    Traitement de la fibromyalgie par la physiothérapie

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    La fibromyalgie est un syndrome rhumatismal chronique, défini sur des critères principalement anamnestiques. Comme il n'y a pas de marqueurs biologique ou radiographique, l'évolvation des thérapies peut donner l'impression de manquer de sérieux scientifique. Les techniques physio-thérapeutiques communément appliquées font appel à des mesures ergonomiques, aux massages notamment par voie subaquatique, à l'eutonie-relaxation et surtout à un programme d'exercices physiques qui devraient être progressivement augmentés et régulièrement pratiqués, celle condition paraissant indispensable à la restauration progressive d'un état indolore

    Approche thérapeutique des arthrites débutantes

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    Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) seront réservés de préférence aux patients atteints d'une spondylarthrite ankylosante ou les arthrites apparentées (spondylo-arthropathies séro-négatives) ainsi que pour les cas débutants de PR. Les AINS trouvent également une place de choix dans le traitement des arthrites microcristallines. Les corticostéroïdes ont, en revanche, une place de choix dans le traitement de la polymyalgia rheumatica et de la polyarthrite oedémateuse du sujet âgé. Une injection intraarticulaire de corticostéroïdes pourra amener un bénéfice prolongé lorsque l'indication est bien posée. Les analgésiques représentent un traitement d'appoint pouvant être associé aux AINS ou aux corticostéroïdes. Ils ne sont toutefois pas totalement dépourvus d'effets secondaires (hépatiques avec le paracétamol, neurologiques avec le tramadol)

    Acquisitions thérapeutiques 1996 : Rhumatologie

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    Les effets secondaires des AINS concernent essentiellement le tractus digestif supérieur et peuvent être évités par l'emploi concomitant de protecteurs (misoprostol, ranitidine, oméprazole). Les AINS agissant par inhibition préférentielle de la Cox-2 sont moins susceptibles d'induire des complications digestives ; le degré respectif d'efficacité de chacun d'entre eux et l'étude de leurs effets secondaires méritent d'être clarifiés dans le futur. Certaines études cliniques actuelles se concentrent sur la combinaison de thérapies de base dans la polyarthrite rhumatoïde, notamment la ciclosporine A avec le méthotrexate. Avec le recul, on pourra mieux cerner les bénéfices attendus et les risques encourus par ces «thérapies combinées». Une visco-supplémentation par injection intra-articulaire d'hylan dans l'arthrose du genou pourrait amener un bénéfice clinique qu'il y aura lieu d'évaluer ces prochaines années

    Traitement de la douleur par les médicaments

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    Les médicaments en rhumatologie font appel, pour les douleurs d'allure inflammatoire, aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou aux corticostéroïdes par voie générale. Dans les douleurs d'allure mécanique, on donnera la préférence aux analgésiques ou aux AINS à doses nettement moindres que la dose antiinflammatoire. Enfin, les douleurs d'allure chronique à connotation psycho-somatique comme on les décrit dans la fibromyalgie ou la lombalgie chronique, seront parfois influencées par une médication psychotrope. Les risques liés à la prise d'AINS intéressent la sphère digestive en premier lieu, puis rénale ou hépatique. Les stéroïdes peuvent potentialiser l'action néfaste des AINS sur le tube digestif ; à long terme, ils induisent volontiers une ostéoporose cortisonique chez la femme post-ménopausée. Les interactions médicamenteuses sont rappelées

    Acquisitions thérapeutiques 1997 : Rhumatologie

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    La tolérance digestive des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), lorsqu'ils ont une action plus sélective sur COX-2, est améliorée. Le méloxicom, à activité anti-COX-2 essentiellement, semble d'efficacité équivalente au diclofénac dans l'arthrose et la polyarthrite rhumatoïde. Le nimésulide, la nabumétone et l'étodolac, agents préférentiellement anti-COX-2, sont déjà largement utilisés. La tolérance des AINS peut être améliorée par l'adjonction de misoprostol en combinaison fixe avec le didofénac notamment. La place de la ciclosporine A et le traitement de base combiné pour la polyarthrite rhumatoïde sont abordés à la lumière de publications récentes. La place de la minocycline reste encore à déterminer. L'ostéoporose cortico-induite reste un problème majeur en rhumatologie; sa prévention peut être actuellement envisagée de façon rationnelle, notamment par l'introduction des bisphosphonates dont les indications sont passées en revue
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