10 research outputs found

    Significance of feminist analysis in north-south relations : exploring the links among organizational principles, international partnerships and program results; final report

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    With an interest in unearthing the links between feminist analysis and methodology, and results yielded by previous work, Inter Pares embarked on a two-year participatory research project to better understand how Inter Pares integrates its feminist analysis into practice. This report describes the implementation of activities, and the achievement of objectives over the entire project period. Methodology and research findings are presented in annexes and accompanying documents. Inter Pares has generated opportunities for knowledge-creation and learning – necessary elements in building alliances that have political agency

    Mind the gap? Civil society policy engagement and the pursuit of gender justice: critical discourse analysis of the implementation of the Beijing Declaration and Platform for Action in Africa 2003–2015

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    This article presents critical discourse analysis of state and civil society organisations’ efforts to implement the gender mainstreaming goals set out in the United Nations’ Beijing Declaration. It is argued that the latter represents a generational opportunity to apply a Feminist Political Economic Framework to development in Africa. However, the research findings show how current practice falls short of the sought-after participative democratic model of mainstreaming. Instead, analysis reveals significant differences in state and civil society organisations’ policy framing, issues over conceptual clarity and a disjuncture in state and civil society prioritisation of key gendered issues such as poverty, economic inequality and conflict resolution. This matters because it indicates that the capacity of the civil sphere to act as a political arena from which NGOs may challenge the traditionally male-dominated power structures is being undermined by a ‘disconnect’ between state and civil society as they pursue contrasting agendas

    Fronteras de la pertenencia : reflexiones sobre las políticas de migración entrando al siglo XXI

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    Versión en inglés disponible en la Biblioteca Digital del IDRC: Boundaries of belonging : reflections on migration policies into the 21st centuryVersión en francés disponible en la Biblioteca Digital del IDRC: Frontières de l'appartenance : réflexions sur les politiques migratoires en ce début de XXIe siècl

    Frontières de l'appartenance : réflexions sur les politiques migratoires en ce début de XXIe siècle

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    Version espagnole disponible dans la Bibliothèque numérique du CRDI : Fronteras de la pertenencia : reflexiones sobre las políticas de migración entrando al siglo XXIVersion anglaise disponible dans la Bibliothèque numérique du CRDI : Boundaries of belonging : reflections on migration policies into the 21st centur

    Boundaries of belonging : reflections on migration policies into the 21st century

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    French version available in IDRC Digital Library: Frontières de l'appartenance : réflexions sur les politiques migratoires en ce début de XXIe siècleSpanish version available in IDRC Digital Library: Fronteras de la pertenencia : reflexiones sobre las políticas de migración entrando al siglo XX

    Table ronde multipartite : la souveraineté alimentaire et ses implications pour les politiques de développement du Canada

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    This roundtable was organized by the Working Group on Canadian Science and Technology Policy, which is comprised of international development, church, and farmers organizations, including: Development and Peace; Erosion, Technology and Concentration (ETC) Group; Inter Pares; National Farmers Union; Partnership Africa Canada; The Ram’s Horn; and the Unitarian Service Committee (USC) Canada. The report provides an informal synopsis of speaker topics on food sovereignty, agricultural production and sustainability. It also includes brief notes on discussions that took place during the workshop

    Étude participative sur les acquisitions massives de terres agricoles en Afrique de l'Ouest et leur impact sur l'agriculture familiale et la sécurité alimentaire des populations locales : rapport technique final

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    Publié conjointement avec COPAGEN, et le REDTACCe projet de recherche contribue à une meilleure compréhension de l’ampleur des acquisitions de terres en Afrique de l’Ouest (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo), ainsi que de son impact sur la sécurité alimentaire et les moyens d’existence des populations locales. Une démarche participative de recherche a associé des représentants des communautés locales comme co-chercheurs. La recherche a recensé 2 313 411 hectares de terres acquises dans la région d’étude par des étrangers mais aussi par des nationaux. Des études approfondies menées en Côte d’Ivoire, Guinée et Guinée-Bissau démontrent que les impacts des acquisitions massives des terres se sont avérés négatifs, tant sur le plan de l’accès à la terre pour la production de subsistance, que de la disponibilité des aliments sur les marchés locaux, conséquence d’une production orientée plutôt vers l’exportation par les acquéreurs des terres. Les études d’impact révèlent aussi la complicité des entreprises avec l’État et souvent des autorités locales dans ces transactions, sans consultation préalable avec les populations locales, directement concernées par les acquisitions. La mise en place de comités de veilles alliés à des réseaux nationaux et régionaux s’avère une piste prometteuse pour prévenir les accaparements des terres

    Touche pas à ma terre, c’est ma vie !

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    Ce document est complété par un film documentaire intitulé « La Fièvre verte » que vous pouvez visionner sur Internet en copiant le lien ci-dessous : https://interpares.ca/fr/resource/documentaire-la-fi%C3%A8vre-verteNous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants1. Cette conception de la relation de l’Homme à la terre est encore plus prégnante dans les traditions africaines où « la terre appartient à une grande famille, dont beaucoup de membres sont morts, quelques-uns sont vivants et dont le plus grand nombre est encore à naître»2. Dans la culture africaine, en effet, la terre constitue le ciment de la spiritualité des peuples. Elle est le gage de leur existence. Elle fait partie du patrimoine incessible et inaliénable des communautés. Elle est intrinsèquement liée à leurs modes de vie, à leurs pratiques séculaires et à leur histoire. Elle porte en elle la promesse de leur avenir. Ainsi, la terre ne se vend pas. La terre est sacrée. Les représentations multidimensionnelles que les sociétés traditionnelles se font de la terre ont conduit à une certaine sublimation de ce bien précieux. La terre, et la nature elle-même, sont restées depuis la nuit des temps, l’objet de tous les soins possibles pour le bonheur de ces sociétés. Elles ont d’ailleurs développé une somme incommensurable de savoirs et de savoir-faire reconnus aujourd’hui par la communauté scientifique. Le phénomène d’acquisition massive des terres a pris, ces dernières années, une ampleur effrayante. La gravité du phénomène a également contribué à aviver le débat sur les enjeux du foncier, tant au niveau international que national. Il aura ainsi suscité une abondante littérature3. D’ailleurs, les chiffres mis en évidence par ces études diffèrent d’une institution à une autre. Dans l’espace francophone, les études menées jusqu’ici sont parcellaires. C’est pour apporter un complément de réponse aux préoccupations sur l’ampleur et l’impact du phénomène, et sur le jeu des acteurs et les mécanismes que sous-tendent le phénomène dans l’espace francophone et lusophone ouest-africain, que la (COPAGEN), avec ses partenaires Inter Pares et le REDTAC, ont entrepris cette recherche participative dont les résultats sont publiés dans ce document
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