Potential of legume-based grassland - livestock systems in Europe: a review

European grassland-based livestock production systems face the challenge of producing more meat and milk to meet increasing world demands and to achieve this using fewer resources. Legumes offer great potential for achieving these objectives. They have numerous features that can act together at different stages in the soil-plant-animal-atmosphere system, and these are most effective in mixed swards with a legume proportion of 30-50%. The resulting benefits include reduced dependence on fossil energy and industrial N-fertilizer, lower quantities of harmful emissions to the environment (greenhouse gases and nitrate), lower production costs, higher productivity and increased protein self-sufficiency. Some legume species offer opportunities for improving animal health with less medication, due to the presence of bioactive secondary metabolites. In addition, legumes may offer an adaptation option to rising atmospheric CO2 concentrations and climate change. Legumes generate these benefits at the level of the managed land-area unit and also at the level of the final product unit. However, legumes suffer from some limitations, and suggestions are made for future research to exploit more fully the opportunities that legumes can offer. In conclusion, the development of legume-based grassland-livestock systems undoubtedly constitutes one of the pillars for more sustainable and competitive ruminant production systems, and it can be expected that forage legumes will become more important in the future

Caractérisation des pratiques de conseil auprès des éleveurs de bovins viande en Creuse

National audienceL'organisation du modèle de développement agricole français mis en place dans le cadre de la loi sur l'élevage correspondait à un objectif précis : accroître les quantités produites via des gains de productivité. Actuellement, dans un contexte de l'élevage en mutations (reconnaissance de la multifonctionnalité de l'agriculture, réformes de la PAC, crises bovines ) les éleveurs doivent adapter en permanence leur système de production à de nouvelles exigences émanant de la réglementation, de la société et de leur propre projet de vie. La présente étude vise à caractériser les pratiques actuelles de conseil pour conduire le changement en élevage bovin allaitant. L'évaluation de l'adéquation entre l'offre et la demande de conseil a permis d'identifier des manques et de dégager des pistes de recommandations pour renouveler les démarches. La phase d'interaction et de formulation du problème avec l'éleveur fait partie intégrante de l'activité de conseil, bien avant l'élaboration de solutions à envisager. Ce constat est valable quels que soient le type de conseiller, le type d'éleveur et la situation de conseil considérée. Ces résultats méritent d'être confirmés compte tenu des spécificités de la zone d'étude et des faibles effectifs de notre échantillon. Les futures démarches de conseil doivent avant tout être des supports de discussion, permettant d'engager et de fidéliser la relation conseiller/éleveur, pour être à même d'identifier le problème de l'éleveur et les solutions envisageables. Ce travail se poursuit par une thèse (2004-2007) dans le cadre d'un partenariat entre l'INRA et l'Institut de l'Elevage. L'objectif est de repositionner le conseil technique (contenu et forme d'intervention) dans la conduite des systèmes d'élevage bovin viande

Objectifs 1990/1993

Reedition du document de 1988SIGLEAvailable at INIST (FR), Document Supply Service, under shelf-number : RP 10956 / INIST-CNRS - Institut de l'Information Scientifique et TechniqueFRFranc

PhénoFinLait, programme national de génotypage et phénotypage des composants fins du lait : Bilan et premières valorisations de la phase de collecte des données ovines laitières

Diplôme : Diplôme d'Ingénieu

Orientations pour l'ITEB

Reedition du document de 1988SIGLEAvailable at INIST (FR), Document Supply Service, under shelf-number : RP 10955 / INIST-CNRS - Institut de l'Information Scientifique et TechniqueFRFranc

Impact microéconomique de la BST

La production laitière liée a de fortes marges, reste le meilleur choix pour un bon nombre de petites et moyennes exploitations. Jusqu'en 1984, l'accroissement de la production laitière entrainait un mieux être de l'exploitation. La mise en place des quotas a bouleverse ce système dans la mesure où il accroit les marges sur les surfaces maintenues en production laitière et fait chuter les marges sur les surfaces qui y sont retirées. Nous avons ainsi plus d'un cote et moins de l'autre. Que devient donc l'utilisation de la somatotropine face a ces nouvelles données ? Nous avons tente de répondre à cette interrogation en construisant des modèles de systèmes de production, et en mesurant la modification des résultats économiques consécutive a l'emploi de la somatotropine (BST)

Elevage bovin allaitant biologique du Massif Central : analyse des résultats technico-économiques

National audienceEn 2005, 1,6 % des vaches allaitantes françaises sont certifiées AB, le Massif Central détenant plus de 20 % de ces vaches (Agence Bio, 2006). Dans le cadre du plan Bio Massif Central, un réseau de fermes de références bovin allaitant en AB, s’appuyant sur les dispositifs existants (réseaux d’élevage IE/CA et INRA) a été mis en place. En 2004, 22 exploitations ont ainsi été suivies ; 13 le sont depuis 2001 (Bécherel et Charroin 2002, Bécherel 2004, Glouton 2006). Nous analyserons les résultats technico-économiques de l’année 2004 et moyens sur 4 ans de ces exploitations (dites AB) en les situant par rapport aux 400 exploitations conventionnelles du socle national des réseaux d’élevage (dites conv.)

Identification des cycles des abattages bovins et des prix en France

La production et les prix de la viande bovine suivent des évolutions cycliques dans plusieurs pays. L'objet de ce travail est d'identifier les cycles des abattages bovins et de prix en France et d'en déterminer les caractéristiques : longueur, périodicité. Les abattages de veaux ont suivi des cycles d'une durée proche de 6 ans de 1953 à 1972, puis d'une durée d'environ 9 ans jusqu'en 1989. Depuis 1990, l'évolution des abattages de veaux n'est plus cyclique. En revanche, sur l'ensemble de la période 1953-1998, les abattages de gros bovins suivent huit cycles d'une durée comprise entre 5 et 7 ans, sauf celui de 1964 à 1973. Contrairement aux abattages, les prix à la production des gros bovins et des veaux ne connaissent pas d'évolution cyclique avant le milieu des années 80. Enfin, l'amplitude des cycles des abattages de veaux et de gros bovins est influencée par les anticipations sur les variations des prix réalisées par les producteurs

Représenter l'organisation de la conduite d'un troupeau bovin laitier : l'exemple du troupeau de l'INRA de Mirecourt

National audienceNous présentons un cadre de représentation de l'organisation de la reproduction en élevage laitier, sur la base de l'analyse du fonctionnement d'un troupeau particulier, celui de l'INRA de Mirecour

Elevage bovin et environnement Prevenir les risques de nuisance et de pollution

Available from INIST (FR), Document Supply Service, under shelf-number : RP 185 (4171) / INIST-CNRS - Institut de l'Information Scientifique et TechniqueSIGLEMinistere de l'Environnement, 75 - Paris (France). Service de l'Environnement Industriel (SEI)FRFranc