25 research outputs found

    La végétation aquatique du lac Tchad

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    La mangrove à Madagascar : une richesse naturelle à ménager

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    Dans le cadre d'une coopération entre l'Orstom et le Centre National de Recherches sur l'Environnement (CNRE), basé à Antananarivo, une étude intégrée de l'écosystème de mangrove dans l'Ouest malgache a été entreprise en 1991. La mangrove malgache couvre environ 325 000 hectares mais sa répartition est extrêmement tranchée : 98% des formations se situent au bord du Canal de Mozambique, le reste dans le nord-est et en quelques points de la côte orientale. (Résumé d'auteur

    Crues et inondations

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    Pression sur les ressources et raretés

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    Journées ORSTOM à l'Académie malgache : 50ème anniversaire de l'ORSTOM

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    La mangrove est la formation de palétuviers établie dans la zone de balancement des marées de tous les littoraux tropicaux. A Madagascar, cette formation couvre environ 320 000 hectares, essentiellement sur la côte ouest (98 % de la superficie totale). On dénombre huit espèces de palétuviers, identiques à celles de la côte de l'Afrique de l'Est. Les mangroves les plus étendues sont celles des estuaires des grands fleuves, dont elles occupent les rives et les bancs de vase (Betsiboka, Mahajamba, Mahavavy, Tsiribihina, Mangoky). L'intérêt écologique de ces milieux est considérable : ils constituent le lieu de reproduction d'un grand nombre de poissons et de crustacés d'intérêt commercial, et en même temps, un dispositif de protection contre l'érosion fluviale et marine. Entre la mangrove et la terre ferme, apparaît généralement un sol à efflorescences et croûtes salines, moins fréquemment submergé que la mangrove. Ce sol, en grande partie dénudé, est appelé internationalement tanne et localement sirasira ; il occupe une superficie totale d'environ 100 000 hectares. Ces terrains, voués jusqu'alors à l'exploitation saline, attirent à présent l'attention de sociétés désireuses d'implanter des fermes d'élevage de crevettes de mer. (Résumé d'auteur

    Eau et aménagement dans les régions inter-topicales

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    En l'absence de mesures de protection, l'extraction à ciel ouvert du minerai de nikel en Nouvelle Calédonie perturbe considérablement l'environnement. Au cours des vingt dernières années, des pluies de très forte intensité ont déclenché l'érosion des décharges minières et de multiples effets secondaires, à la fois géomorphologiques et écologiques. On observe entre autres une augmentation sensible de la charge solide des lits fluviaux, qui entraîne des perturbations de l'écoulement en période d'étiage, ainsi qu'une dégradation des écosystèmes littoraux. L'article fait le bilan des mesures adoptées petit à petit à partir des années 1970 pour limiter les effets de cette pollution et réhabiliter certains espaces dégradés. Différents travaux ont été réalisés : stabilisation des décharges, rétention des matériaux entraînés dans le réseau hydrographique, aménagement des pistes d'accès aux carrières. Autour des gisements en cours d'exploitation, le milieu naturel paraît à présent préservé, tandis que bon an, mal an, le minerai calédonien reste compétitif, en dépit du coût relativement élevé des travaux... Mais si le marché venait à se détériorer, sous l'influence par exemple de la concurrence accrue de nouveaux alliages, l'environnement pourrait pâtir un jour d'un relâchement de l'entretien des ouvrages. (Résumé d'auteur

    Milieux insulaires et capacité de charge

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    Une cinquantaine de grands marais à mangrove jalonne le domaine côtier de l'Ouest malgache. La precison humaine et économique sur cet écosystème a considérablement augmenté depuis la fin des années 1980. Elle se mesure à l'aune des besoins croissants en terres cultivables, en bois et en charbon de bois des populations riveraines, mais aussi aux confortables revenus de l'exploitation industrielle des ressources naturelles. Avec le risque de cumul et d'interaction des impacts, la contrepartie écologique du phénomène commence à être préoccupante, notamment autour de certains centres urbains. La montée des enjeux écologiques, mais également socio-économiques et fonciers, fait, à présent, ressortir le besoin d'actions mieux coordonnées entre pouvoirs publics, communautés locales et opérateurs économiques. (Résumé d'auteur

    La mine élément de la controverse écologique dans le Pacifique Sud

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    L'île de Nauru, la Grande Terre de Nouvelle-Calédonie et Bougainville, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, disposent d'exploitations minières à ciel ouvert parmi les plus intensives dans le monde, respectivement de phosphate, de nickel et de cuivre. Les extractions ont engendré des perturbations majeures du milieu naturel et du cadre de vie des populations riveraines. Dans deux cas sur trois, ces perturbations tirent leur origine, à la fin des années 1960 et au début des années 1970, d'une insuffisante prise en compte des facteurs environnementaux, naturels et humains. Deux décennies plus tard - laps de temps qui, pure coïncidence (?), équivaut à la durée de la controverse sur les essais nucléaires dans la région - des déséquilibres écologiques persistent. Mais les compagnies minières et les pouvoirs publics ont commencé à tirer la leçon des dévastations, que, par ailleurs, les populations dénoncent de manière toujours plus vive. Des techniques d'extraction de minerai, de traitement et de stockage des résidus ménageant l'environnement ont été mises en oeuvre. La concertation avec l'ensemble des parties concernées s'est également développée. (Résumé d'auteur

    Milieux insulaires et capacité de charge

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    Une cinquantaine de grands marais à mangrove jalonne le domaine côtier de l'Ouest malgache. La precison humaine et économique sur cet écosystème a considérablement augmenté depuis la fin des années 1980. Elle se mesure à l'aune des besoins croissants en terres cultivables, en bois et en charbon de bois des populations riveraines, mais aussi aux confortables revenus de l'exploitation industrielle des ressources naturelles. Avec le risque de cumul et d'interaction des impacts, la contrepartie écologique du phénomène commence à être préoccupante, notamment autour de certains centres urbains. La montée des enjeux écologiques, mais également socio-économiques et fonciers, fait, à présent, ressortir le besoin d'actions mieux coordonnées entre pouvoirs publics, communautés locales et opérateurs économiques. (Résumé d'auteur
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