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Analyse des interactions agressives dans le football Beninois : Aspects spatiaux et temporels
La présente étude procède d'une analyse des interactions agressives dans le football béninois dans ses aspects spatiaux et temporels. Elle concerne 12 équipes évoluant dans le championnat de football de première division nationale lors de 24 rencontres jouées à domicile et sur terrain adverse. Sur la base de la classification de Pfister, 2465 interactions agressives ont été enregistrées dont 59,36% lors des rencontres jouées à domicile contre 40,64% sur terrain adverse. Aussi bien à domicile qu'à l'extérieur, les résultats révèlent que c'est la zone médiane (milieu de terrain) qui enregistre le plus d'interactions agressives (46,70%) que celle de l'attaque (33,51%) qui est supposée zone sensible d'interactions agressives. En outre, ces interactions surviennent pour la majorité (60,69%) dans la 2ème mi-temps des rencontres, ce qui rejoint les résultats des travaux réalisés par Pfister, en ce qui concerne le comportement des footballeurs français de première division en matière d'interactions agressives. Les données enregistrées montrent qu'il n'existe pas de différence significative dans les comportements agressifs entre les footballeurs français et béninois.
The current study proceeds from an analysis of aggressive interactions in the Beninese football on its space and temporal aspects. It concerns 12 teams evolving in the soccer first division championship during 24 games played at home and on the adverse field. On the basis of Pfister's (1985) classification, 2465 aggressive interaction have been recorded, of which 59.36% during the games played at home versus 40.64% on the adverse field. The results show that, as well at home as outside, the middle of the field is the area where more aggressive interactions (46.70%) are recorded than that of the attack (33.55%) which is supposed to be the sensitive area of aggressive interactions. Moreover, the greatest part of those interactions (60.69%) occurs in the second half-time of matches, which goes back to the results of the researches carried out by Pfister (1986) on aggressive interactions as far as the behavior of the French football players of the first division is concerned. These relevant data show that it does not exist any significant difference on the aggressive behaviors between the French and the Beninese football players. 
Analyse des interactions agressives dans le football Beninois : Aspects spatiaux et temporels
La présente étude procède d'une analyse des interactions agressives dans le football béninois dans ses aspects spatiaux et temporels. Elle concerne 12 équipes évoluant dans le championnat de football de première division nationale lors de 24 rencontres jouées à domicile et sur terrain adverse. Sur la base de la classification de Pfister, 2465 interactions agressives ont été enregistrées dont 59,36% lors des rencontres jouées à domicile contre 40,64% sur terrain adverse. Aussi bien à domicile qu'à l'extérieur, les résultats révèlent que c'est la zone médiane (milieu de terrain) qui enregistre le plus d'interactions agressives (46,70%) que celle de l'attaque (33,51%) qui est supposée zone sensible d'interactions agressives. En outre, ces interactions surviennent pour la majorité (60,69%) dans la 2ème mi-temps des rencontres, ce qui rejoint les résultats des travaux réalisés par Pfister, en ce qui concerne le comportement des footballeurs français de première division en matière d'interactions agressives. Les données enregistrées montrent qu'il n'existe pas de différence significative dans les comportements agressifs entre les footballeurs français et béninois.
The current study proceeds from an analysis of aggressive interactions in the Beninese football on its space and temporal aspects. It concerns 12 teams evolving in the soccer first division championship during 24 games played at home and on the adverse field. On the basis of Pfister's (1985) classification, 2465 aggressive interaction have been recorded, of which 59.36% during the games played at home versus 40.64% on the adverse field. The results show that, as well at home as outside, the middle of the field is the area where more aggressive interactions (46.70%) are recorded than that of the attack (33.55%) which is supposed to be the sensitive area of aggressive interactions. Moreover, the greatest part of those interactions (60.69%) occurs in the second half-time of matches, which goes back to the results of the researches carried out by Pfister (1986) on aggressive interactions as far as the behavior of the French football players of the first division is concerned. These relevant data show that it does not exist any significant difference on the aggressive behaviors between the French and the Beninese football players.