3 research outputs found

    Retours aux voix perdues de l’origine

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    La voix et ses diverses manifestations - de la parole au chant en passant par le murmure, le chuchotement et le cri -, se présentent comme des éléments fondamentaux de la culture orale toujours existante au Maghreb. Dans les romans de la littérature francophone maghrébine et en particulier écrite par les femmes, les narrateurs agissent souvent de manière comparable dans l’objectif de sauvegarder la voix de l’oubli par sa mise en écriture. Nous pouvons observer quelques constants lors du passa..

    De la culture orale à la production écrite : littératures africaines

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    On parle assez souvent de Littérature africaine sans que ce terme ait reçu une définition précise. Que faut–il entendre par littérature(s) africaine(s) ? Ne faut-il voir dans cette notion que les productions écrites des auteurs africains et africanistes ? Ou faut-il prendre en compte la littérature orale, et si oui comment la définir ? La littérature africaine n’est-elle pas plutôt la somme des productions à la fois orales et écrites, envisagées comme formes d’expression d’une culture orale qui a subi l’influence des autres cultures?Cet ancrage double de la littérature africaine moderne incite le chercheur à effectuer un mouvement de va et vient constant entre ce qu’on peut qualifier de sources d’inspiration et les productions littéraires écrites. C’est à ce niveau qu’intervient la notion d’entre-deux ou d’hétéroglossie qui présuppose la prise en compte de la dimension esthétique de l’interlangue.Le champ de réflexion ainsi défini n’implique pas seulement le texte littéraire, il englobe aussi la pluralité des discours dans leur confrontation. Réunissant quatorze contributions, Semen 18 vous propose une étude approfondie de toutes les questions se rapportant au mode l’expression d’une culture et de ses représentations. En abordant la problématique des littératures africaines, cette étude, menée par de grands spécialistes en ce domaine, apporte des réponses qui permettent de saisir à la fois la dimension sociale, idéologique et poétique des discours littéraires africains

    De la culture orale à la production écrite : littératures africaines

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    On parle assez souvent de Littérature africaine sans que ce terme ait reçu une définition précise. Que faut–il entendre par littérature(s) africaine(s) ? Ne faut-il voir dans cette notion que les productions écrites des auteurs africains et africanistes ? Ou faut-il prendre en compte la littérature orale, et si oui comment la définir ? La littérature africaine n’est-elle pas plutôt la somme des productions à la fois orales et écrites, envisagées comme formes d’expression d’une culture orale qui a subi l’influence des autres cultures?Cet ancrage double de la littérature africaine moderne incite le chercheur à effectuer un mouvement de va et vient constant entre ce qu’on peut qualifier de sources d’inspiration et les productions littéraires écrites. C’est à ce niveau qu’intervient la notion d’entre-deux ou d’hétéroglossie qui présuppose la prise en compte de la dimension esthétique de l’interlangue.Le champ de réflexion ainsi défini n’implique pas seulement le texte littéraire, il englobe aussi la pluralité des discours dans leur confrontation. Réunissant quatorze contributions, Semen 18 vous propose une étude approfondie de toutes les questions se rapportant au mode l’expression d’une culture et de ses représentations. En abordant la problématique des littératures africaines, cette étude, menée par de grands spécialistes en ce domaine, apporte des réponses qui permettent de saisir à la fois la dimension sociale, idéologique et poétique des discours littéraires africains
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