82 research outputs found

    ILARA1_10

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    École thématiqueCe diaporama est le 10ème support de mon enseignement en niveau 1 de maya classique assuré à l’ILARA (Institut des langues rares, École Pratique des Hautes Études), sur le calendrier

    La notion de planification dans l’urbanisme maya classique

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    The notion of planification in classical maya urbanism. Maya urban areas differ from the usual definition of town by the absence of a dense settlement with running across streets : they present a rather loose juxtaposition of quadrangular sets forming squares or courtyards around monumental religious complexes. The presence of raised stone causeways, the sacbeob, and of vast water tanks can be also noticed. The analysis of two large sites of the recent classical period (600-900) — Tikal and Copan — and of three minor sites — Altar de Sacrificios, Baking Pot and Tonina —Hoppan Jean-Michel. La notion de planification dans l’urbanisme maya classique. In: Histoire de l'art, N°9-10, 1990. La maison, la ville. pp. 21-32

    Questions de saillance et épigraphie maya

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    Malgré l'exceptionnel corpus d'écrits antérieurs à l'arrivée des Européens que les Mayas ont laissé, les occasions d'y aborder le thème de la saillance restent très limitées. D'une façon qui reste toute relative, les classificateurs numériques sont parmi ce qui fournit les données les plus propices. Depuis quelques années, on est en effet parvenu à identifier dans les inscriptions certains de ces morphèmes grammaticaux, dont il semblerait que la fonction fondamentale n'ait pas tant été de classer mais plutôt de marquer l'individuation permettant de rendre comptable ce qui est conceptuellement continu. Les paradigmes de la flexion verbale sont également susceptibles de fournir des indications précieuses. Des variations dans l'emploi de diverses formes, par exemple ergatives ou bien nominalisées, sembleraient avoir exprimé divers types de focalisation induisant des changements sémantiques

    Catalogue "Binoche et Giquello, mardi 20 mars 2018", notices de Jean-Michel Hoppan sur sept antiquités mayas de l'ancienne collection Ziff

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    Catalogue de l'Hôtel des ventes Drouot. 9, rue Drouot - Paris IXeLe 20 mars 2018, la maison de vente d’antiquités Binoche et Giquello a mis aux enchères, à l’hôtel Drouot (à Paris), une partie de l’ancienne collection Ziff, une des plus importantes collections d’antiquités américaines au monde, constituée à New York par l’amateur d’art précolombien éponyme. Cette première vente proposait sept objets mayas datant de l’époque classique et portant des inscriptions glyphiques ou de l’imagerie analogue, Il s’agissait d’un glyphe en stuc au nom d’une dame de Palenque et de six pièces de céramique : une urne sacrificielle du Classique ancien à l’effigie gravée du "dieu GI de la Triade de Palenque", une boîte à couvercle peinte du VIe siècle et provenant vraisemblablement de Tikal, un grand plat tripode polychrome du début du Classique récent (provenant de la même région) et trois vases du Classique récent précédemment publiés et désignés sous les noms de K732, K3026 et MBD71

    Sources mayas glyphiques de type épigraphique

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    Les écrits glyphiques réalisés sur support dur par les Mayas comprennent des inscriptions gravées, modelées ou peintes sur les monuments de leurs anciennes cités, ainsi que sur des productions de type mobile. Au nombre de plusieurs milliers de spécimens actuellement mis au jour, les inscriptions les plus longues que l’on connaisse sont celles des monuments, qui constituent le plus important type de sources d’écrits mayas préhispaniques. Ces inscriptions sont attestées depuis le début du Préclassique récent, au ive siècle av. J.‑C., mais la plus grande quantité date de l’époque classique, entre les iiie et xe siècles. Le type le plus représentatif en est les textes qui furent gravés sur les mégalithes de type stèle, et les autels de pierre qui leurs étaient associés. Mais, outre de nombreux autres types de supports monumentaux, l’épigraphie maya est aussi riche d’un nombre à peu près comparable d’inscriptions, quoique globalement plus courtes, sur des céramiques. La datation de ce type de sources est là aussi essentiellement classique et, de la même façon que sur les monuments, les glyphes peuvent y être gravés, incisés ou modelés ou bien encore peints. De nombreux petits textes glyphiques sur support mobile existent en outre sur des artefacts en pierre polie, en os ou en coquille. En ce qui concerne leur contenu, les sources épigraphiques de type mobilier sont caractérisées par la prédominance d’inscriptions à caractère dédicatoire, quoique la céramique montre également de fort nombreuses « légendes iconographiques », dont la fonction était de commenter les représentations mythologiques peintes ou gravées sur ces objets de valeur. Pour ce qui est des monuments, le contenu de leurs textes était essentiellement de nature (mythico‑) historique, ces textes ayant été destinés à assurer la propagande des rois divins qui gouvernaient les cités mayas.Glyphic texts produced by Mayas on hard material include inscriptions engraved, modeled or painted on the monuments of their ancient cities, as well as on portable objects (ceramics). Based on several thousands of specimens currently uncovered, the longest inscriptions that are known to us come from monuments, which constitute the most important type of pre‑Hispanic Maya written sources. These inscriptions have been made since the beginning of the late pre-Classical period, in the 4th century BC, but the greatest part of the corpus dates back to the Classical period, between the third and the tenth centuries. The texts engraved on megaliths such as stelae, and on the stone altars usually associated with them, are the most representative. Moreover, with numerous other kinds of monumental materials, Maya epigraphy also accounts for an approximately comparable number of inscriptions on ceramics, although they are generally shorter. Dating these kinds of sources also matches with the Classic period and, as it can be seen on monuments, the glyphs may be engraved, incised, modeled or even painted. Numerous little glyphic texts on mobile supports do also exist on polished stone, bone or shell artifacts. Regarding their content, epigraphic sources on small objects are characterized by a predominance of dedicatory inscriptions, although ceramics also show quite numerous "iconographical captions" whose function was to comment the mythological representations that were painted or engraved on these worthy objects. As for monuments, the content of their texts was essentially (mythico‑) historical in nature; these texts were intended to reinforce the propaganda of the divine kings who ruled the Mayan cities.Los escritos glíficos realizados en soportes duros por los mayas incluyen inscripciones grabadas, modeladas o pintadas en los monumentos de sus antiguas ciudades, asi como en producciones de tipo móvil. Con miles de ejemplos que actualmente se han hallado, las inscripciones más largas que se conocen son las de los monumentos, que constituyen el tipo de fuentes de escritos mayas prehispánicos más importante. Existen testimonios de esas inscripciones desde principios del Preclásico tardío, en el siglo iv antes de Cristo, pero la cantidad más grande se fecha de la época clásica, entre los siglos iii y x. Los textos que fueron grabados en los megálitos tipo estela, y los altares de piedra que les estaban asociados constituyen el tipo más representativo. Sin embargo, además de numerosos otros tipos de soportes monumentales, la epigrafía maya también cuenta con un número más o menos comparable de inscripciones en las cerámicas, a pesar de que estas estén globalmente más cortas. La datación de este tipo de fuentes es en este caso también sobre todo clásica, y de la misma manera que en los monumentos, los glifos pueden ahí estar grabados, incisados, modelados o aún igualmente pintados. Numerosos pequeños textos glíficos en soportes móviles existen además en artefactos de piedra pulida, hueso y concha. En cuanto a su contenido, las fuentes epigráficas de tipo móvil estan caracterizadas por la predominancia de inscripciones de carácter dedicatorio, aunque la cerámica también muestre algunas numerosas "leyendas iconográficas", cuya función era comentar las representaciones mitológicas pintadas o grabadas en esos objetos de valor. Por lo que se trata de los monumentos, el contenido de sus textos era sobre todo de naturaleza (mítico‑) histórica, ya que esos textos fueron destinados a presentar la propaganda de los reyes divinos que gobernaban las ciudades mayas

    ILARA1_4

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    École thématiqueCe diaporama est le 4ème support de mon enseignement en niveau 1 de maya classique assuré à l’ILARA (Institut des langues rares, École Pratique des Hautes Études), présentant les principes de composition des glyphes et la liste des principaux glyphes syllabiques dont on ne connaît actuellement pas de strict équivalent logographique

    Miradas epigráficas sobre la vivienda maya

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    International audienceLes avancées de l'épigraphie ont permis de montrer que nombre d'éléments relatifs à l'habitat maya traditionnel sont relativement stables à travers le temps comme dans l'espace. Un des aspects les plus notables en est la continuité linguistique, sur plus d'un millénaire, de plusieurs termes liés à l'espace domestique. Au niveau conceptuel, il est également intéressant de souligner la continuité des représentations associées

    L'arc-en-ciel chez les Mayas préhispaniques

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    Cet article est une ressource mise en ligne en 2022 dans la rubrique "Epigraphie maya" du site web d'archives numériques du SeDyL. Il aborde le thème peu étudié de l’arc-en-ciel chez les anciens Mayas, faisant notamment le point sur ce que l’on sait de la déesse lunaire associée à ce phénomène météorologique et proposant que -étant considéré comme une apparition dangereuse- ses représentations sont restées rares. Elles sont en outre relativement tardives, datant surtout de la période postclassique, et probablement liées à une influence de la culture nahuatl sur la maya
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