10 research outputs found

    Capturer l’essaim

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    Image 1. Cette photographie prise à Kano (Nigeria) en décembre 1999 est emblématique des séries de portraits collectifs de travailleurs que j’ai construites par la suite en France ou en Afrique. Contrairement au dispositif habituel pour ce travail, il n’y a pas eu de repérage. Le Chef du personnel (en blanc au centre) avait jugé que ce n’était pas nécessaire, m’indiquant le moment du changement des équipes à la mi-journée comme étant le seul possible. Lorsque je suis revenu à l’usine au rend..

    Les vertus et les défauts du système que faut-il changer ?

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    Hersant Guy. Les vertus et les défauts du système que faut-il changer ? . In: Droit et Ville, tome 45, 1998. Colloque : Le commissaire enquêteur est-il majeur ? (Toulouse 30 Mars 1998) pp. 203-206

    Quand les groupes professionnels se mettent en images

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    L’histoire des groupes professionnels est jalonnée d’images matérielles, planes ou en relief, fixes ou animées, qui témoignent de la manière dont ils se voient eux-mêmes ou souhaitent être vus. Ces images sont nombreuses, quelquefois très anciennes et présentent des finalités et des formes diversifiées : sculptures, vitraux, peintures, gravures, photographies, films, dessins, bandes dessinées, documents numériques... Le matériau est très abondant, il peut paraître écrasant, il est en fait rarement abordé sous cet angle. Que disent les images des groupes professionnels ? Dans quels contextes et avec quelles intentions sont-elles produites ? Que révèlent-elles de la place occupée par les métiers dans le monde social dont ils font partie, de leur position dans la division du travail et dans les échelles de revenu, de pouvoir ou de prestige ? Comment montrent-elles les activités de travail et les pratiques professionnelles ? Le premier numéro de la revue Images du travail, travail des images est consacré aux diverses formes de présentation de soi réalisées ou commanditées soit par des professionnels seuls, soit par des groupements de gens de métier. Dans cette mise en scène, les professionnels se donnent à voir comme les personnages centraux du «drame social du travail », selon la formule de Hughes. Ils sont engagés dans leur rôle, avec leur tenue, leur gestuelle, leurs outils-accessoires et leurs attributs… Ils produisent ainsi une image qui renvoie à des intentions diverses, que ce soit la valorisation des techniques maîtrisées, la mise en avant des savoirs détenus ou encore l’affirmation de compétences spécifiques… Pourquoi les groupes professionnels s’intéressent-ils de longue date à la production des images physiques les représentant ? Dans quels objectifs ? Avec quels effets ? Ce dossier thématique vise à apporter des éléments de réponses à ces questions en croisant les points de vue historique et sociologique

    Le Pouvoir et ses écritures

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    Dans la réflexion sur les relations entre l’art et la réalité, la question des écritures du pouvoir se situe à un point de croisement fécond. C’est du pouvoir politique qu’il s’agit principalement dans ce volume, dans l’appréciation des œuvres qu’il suscite. Apparaissent des hommes qui exercent le pouvoir et qui prennent la plume, décrivent leur situation, leur condition, leurs fonctions. Certains sont des créateurs avant d’avoir eu une situation politique. Quelle relation leur œuvre entretient-elle avec leur action ? Viennent aussi et surtout les hommes de l’art qui s’intéressent au pouvoir. Comment représentent-ils cette position dominante de personnages de premier plan, voire de personnages collectifs, de groupes au pouvoir ou de masses ? Comment la création rend-elle compte, non pas seulement de la figure du grand homme, mais de la forme du pouvoir, de la configuration de son exercice ? Quelle est la nature de l’engagement de l’artiste, si tant est que l’écriture en suppose un ? D’une position à l’autre, de celle de l’homme politique à celle de l’artiste, et inversement, se révèlent en effet des interactions, s’illustrent des fonctions particulières de la littérature et des arts, des corollaires nécessaires à l’exercice du pouvoir ou une part même de cet exercice. Pour approcher de ces interférences, le champ d’investigation qu’adopte ce volume est large, de l’Antiquité à l’époque contemporaine, sans limitation géographique, avec un croisement des approches disciplinaires, ce qui permet de relativiser, de percevoir des continuités sur la longue durée, d’établir de fécondes comparaisons. Le fil qui est suivi est celui qui transversalement infléchit une certaine idée du pouvoir. D’abord, les visions et les positions euphorisées, idéalisation du prince dans le conseil ou dans son éducation, célébrations du pouvoir, pour atteindre à ces situations stables ou moins stables de l’écriture dans l’exercice du pouvoir. Puis, les visions contrastées ou même ambiguës du pouvoir, et, plus appuyées, les critiques et les contestations, avant que n’arrive l’oscillation ou le choix clair entre l’emprise et la déprise. De là, enfin, des contre-pouvoirs ou d’autres pouvoirs peuvent surgir sur des horizons de fuite

    Annuaire 2000-2001

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    Annuaire 2001-2002

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    Annuaire 2004-2005

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    Annuaire 2003-2004

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    Annuaire 2002-2003

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