50 research outputs found

    Simplification des systemes de paturage pour les vaches laitieres.

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    Simplification des systemes de paturage pour les vaches laitieres.

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    Association de betteraves fourragères à une ration mixte d'ensilages de maïs et de trèfle violet pour les vaches laitières

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    National audienceDes betteraves fourragères entières ont été distribuées (20 kg/j) en complément d’une ration mixte d’ensilages de maïs et de trèfle violet afin de mettre en évidence leurs effets sur les performances des vaches laitières. Cette association a permis d’améliorer les productions de lait (+ 2 kg/j) et de matière utile (+ 100 g/j matières grasses, + 60 g/j matières protéiques) ainsi que la composition du lait (taux butyreux : + 2 g/kg, taux protéique : + 1 g/kg). Ces effets positifs sont probablement à attribuer aux modifications d’orientations fermentaires dans le rumen concernant le taux butyreux et au meilleur niveau d’apport énergétique pour la synthèse des protéines. Dans nos conditions d’utilisation, ces betteraves apportées en quantités relativement faibles ont permis d’augmenter le niveau de production permis par la ration de base d’environ 2,5 kg de lait. Leur valorisation énergétique correspond à celle proposée par les nouvelles Tables INRA (1988)

    Association de betteraves fourragères à une ration mixte d'ensilages de maïs et de trèfle violet pour les vaches laitières

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    National audienceDes betteraves fourragères entières ont été distribuées (20 kg/j) en complément d’une ration mixte d’ensilages de maïs et de trèfle violet afin de mettre en évidence leurs effets sur les performances des vaches laitières. Cette association a permis d’améliorer les productions de lait (+ 2 kg/j) et de matière utile (+ 100 g/j matières grasses, + 60 g/j matières protéiques) ainsi que la composition du lait (taux butyreux : + 2 g/kg, taux protéique : + 1 g/kg). Ces effets positifs sont probablement à attribuer aux modifications d’orientations fermentaires dans le rumen concernant le taux butyreux et au meilleur niveau d’apport énergétique pour la synthèse des protéines. Dans nos conditions d’utilisation, ces betteraves apportées en quantités relativement faibles ont permis d’augmenter le niveau de production permis par la ration de base d’environ 2,5 kg de lait. Leur valorisation énergétique correspond à celle proposée par les nouvelles Tables INRA (1988)

    Maîtrise de la composition du lait : influence des facteurs nutritionnels sur la qualité et les taux de matières grasses et protéiques

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    National audienceThe chemical composition of milk depends on factors related to the animal and to its environment. Among the latter factors diet plays an important role. In the short term it can have different effects on fat and protein content. The protein content varies in relation to energy intake (+ 0.6 g/kg per UFL around energy requirements). It may also be improved by the addition of specific amino-acids (lysine and methionine). It is nearly always reduced by the addition of lipids (even when protected) in the diet. The fat content depends on the percentage of concentrate in the diet (and when this is high on the type of concentrate used) and also on the presentation and distribution of feed (particle size, number of distributions, mix of feed). It can be significantly increased by the use of certain dietary constituents (maize silage, beets, lactoserum) or additives (buffers, monopropylene glycol). It is thus possible to modify in opposite ways the fat and the protein contents. In the future, synthetic tools for appreciate the quality of the rations (fibrosity index) should improve regulation in variations in fat and protein contents.La composition chimique du lait dépend de facteurs liés à l’animal et au milieu. Parmi ces derniers, l’alimentation joue un rôle important : elle permet d’agir à court terme et de manière différente sur les taux de matières grasses et de protéines. Le taux protéique varie dans le même sens que les apports énergétiques (+ 0,6 g/kg par UFL supplémentaire aux alentours des recommandations). Il peut aussi être amélioré par des apports spécifiques en acides aminés (lysine et méthionine). Il est presque toujours diminué par l’adjonction de lipides, même protégés, dans la ration. Le taux butyreux dépend à la fois de la part d’aliment concentré dans la ration (et, quand celle-ci est élevée, de la nature de ces aliments concentrés), et du mode de présentation et de distribution de la ration (finesse de hachage, nombre de repas, mélange des aliments). Il peut être sensiblement augmenté par l’utilisation de certains aliments (ensilage de maïs, betteraves, lactosérum) ou additifs (substances tampons, monopropylène glycol). Il est donc possible de modifier sensiblement et dans des sens opposés le taux butyreux et le taux protéique. Dans l’avenir, des moyens synthétiques et objectifs d’appréciation de la qualité des rations (indice de fibrosité) devraient permettre d’améliorer la gestion des variations de ces taux

    Utilisation de l'ensilage de trefle violet en ration mixte par un troupeau de vaches laitieres.

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    *Vaches laitieres INRA Rennes Diffusion du document : Vaches laitieres INRA RennesNational audienc

    Pois protéagineux comme concentré unique pour vaches laitières

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    National audienceTwo “complete” balanced diets, one based on maize silage, providing the energetic content of a classic control concentrate feed (1 UFL/kg dry matter and 115 PDIE/UFL) and an experimental concentrate based on pulses, were given in limited quantities and compared. Nutritive values (UFLPDI) were predetermined in order to satisfy (without excess) the requirements of the animals. According to an experimental scheme consisting of two 7 week periods, a total of 21 lactating cows (80 % first lactation) divided into two groups received one or the other of these diets. For an average content of 5.4 kg dry matter of control concentrate or of 4.6 kg dry matter of pulses, the total dry matter intake were identical (3.08 kg dry matter per 100 kg live weight). The energetic contents were comparable (15.6 UFL/day) and those of PDI were rather less for the pulse diet. The energy balance was slightly in surplus, especially for the experimental treatment (+ 0.7 UFL). Conversely the PDI balances were deficient, in particular for the pulse diet (- 130 g as compared to - 55 g for the control). For both treatments, milk production, fat output and protein output were comparable and on average : 23.5 kg, 948 g and 692 g/day respectively. Milk composition was also identical but protein contents were low with respect to the fat content (30 as compared to 41 g/kg respectively). However, the most productive cows had a decrease in milk 4 % production (P < 0.07, fat output (P < 0.02) and fat content (P < 0.02) when they received the pulse diet. In conclusion, it is possible to valorize large quantities of pulses up to production levels of 25 to 30 kg of milk per day. To achieve an increase in production, it is necessary to supplement the diet with quality protein.Deux rations complètes équilibrées à base d’ensilage de maïs comportant des apports iso-énergétiques d’aliments concentrés témoin classique (1 UFL/kg MS et 115 PDIE/UFL) ou expérimental (pois protéagineux) offertes en quantités limitées ont été comparées. Les apports nutritifs (UFL - PDI) ont été prédéterminés de façon à satisfaire sans excès les besoins des animaux. Selon un schéma expérimental en inversion comportant 2 périodes de 7 semaines, un total de 21 vaches en milieu de lactation (80 % primipares) réparties en 2 lots a reçu l’une ou l’autre de ces rations. Pour des apports moyens de 5,4 kg MS de concentré témoin ou de 4,6 kg MS de pois protéagineux, les quantités ingérées totales ont été identiques (3,08 kg MS % kg de poids vif). Les apports énergétiques ont été comparables (15,6 UFL/j) et ceux de PDI ont été sensiblement plus faibles pour la ration comportant le pois protéagineux. Les bilans énergétiques ont été légèrement excédentaires, surtout pour le traitement expérimental (+ 0,7 UFL). Les bilans PDI sont à l’opposé déficitaires, en particulier pour la ration comportant le pois protéagineux (-130 g contre - 55 g pour le témoin). Pour les 2 traitements, les productions de lait, de matières grasses et de protéines ont été comparables et en moyenne de 23,5 kg, 948 g et 692 g par jour respectivement. La composition du lait a aussi été identique mais les taux protéiques ont été faibles par rapport aux taux butyreux (30 vs 41 g/kg respectivement). Les vaches les plus fortes productrices ont cependant diminué plus fortement leur production de lait 4 % (P < 0,07), de matières grasses (P < 0,02) et le taux butyreux (P < 0,02) lorsqu’elles ont reçu le pois protéagineux. En conclusion, il est possible de valoriser des quantités importantes de pois protéagineux jusqu’à des niveaux de production de 25 à 30 kg de lait par jour. Pour les productions supérieures, il sera nécessaire d’apporter simultanément des protéines de qualité
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