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    Etude du comportement d'inhibiteurs organiques vis-Ă -vis de la corrosion de l'acier par le CO2 Ă  l'aide des spectroscopes vibrationnelles

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    Ce travail concerne l'étude spectroscopique du comportement d'inhibiteurs organiques vis-à-vis de la corrosion de l'acier par le dioxyde de carbone. La première partie, bibliographique, est consacrée à la description du phénomène de corrosion des aciers au carbone par le CO2 et à la présentation de l'inhibition de la corrosion par des composés organiques. Dans la deuxième partie, nous présentons les méthodes spectroscopiques mises en oeuvre pour suivre in situ la réactivité moléculaire des surfaces d'acier au cours du processus de corrosion et de formation des films inhibiteurs. Dans la troisième parie, la Spectroscopie InfraRouge par Modulation de Polarisation (PM-IRRAS) et la microscopie Raman confocale sont utilisées conjointement pour étudier la corrosion de l'acier par le CO2 en phase gazeuse et en milieu aqueux. Les résultats observés montrent des mécanismes de corrosion différents suivant la nature de l'interface : acier/phase aqueuse et acier/phase gazeuse saturée en eau. La quatrième partie est consacrée à l'étude par spectroscopie PM-IRRAS de l'adsorption de différentes molécules organiques inhibitrices à la surface de l'acier : un inhibiteur en phase vapeur, la méthoxypropylamine, des molécules simples de type amine et des molécules plus complexes, les imidazolines. L'analyse spectrale de ces films ultraminces montre l'affinité de la méthoxypropylamine pour la surface, son adsorption via le groupe amine et sa capacité à s'orienter perpendiculairement à la surface. L'éthanolamine et la n-décylamine ont également tendance à se fixer par l'intermédiaire du groupe amine en adoptant une orientation préférentielle à la surgace. Les deux imidazolines, de par leurs structures différentes, présentent des modes d'adsorption différents. Les formulations contiennent une proportion importante de forme amide, qui, dans certaines conditions, constitue la forme efficace d'inhibition...BORDEAUX1-BU Sciences-Talence (335222101) / SudocSudocFranceF

    Effets thermiques de la capture de co2 par des adsorbants solides : quelques approches par traitement d'images IR

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    Nous étudions par thermographie infrarouge les mécanismes de capture de CO2 (la capture par l’adsorption de CO2 gazeux sur divers types de substrats poreux) afin de mieux cerner les mécanismes physico-chimiques qui pilotent l’interaction CO2-surface. Pour pouvoir, dans l’avenir, mettre au point un procédé efficace de captage de CO2 en post-combustion, il est nécessaire de quantifier l’énergie d’adsorption d’un gaz sur un solide ( processus exothermique). La chaleur dégagée (chaleur d’adsorption) est un paramètre clé pour le choix des matériaux et pour la conception des procédés de captage. La thermographie infrarouge est utilisée pour détecter le champ de température de la surface du substrat au cours de l’adsorption de CO2, tout d’abord en couche mince. Des modèles analytiques de transfert de chaleur ont été développés afin d’évaluer la chaleur dégagée et d’estimer à l’aide d’une technique inverse la chaleur d’adsorption. La principale originalité de notre méthode est d’estimer les pertes de chaleur directement à partir de la chaleur dissipée pendant le processus d’adsorption. Ceci est possible grâce à un calcul de corrélation entre la température expérimentale et sa dérivée temporelle dans la zone de données expérimentales où aucun terme source lié au dégagement de chaleur n’intervient. Les pertes de chaleur ainsi estimées permettent ensuite de calculer à posteriori le flux de chaleur dégagé pour finalement estimer la chaleur d’adsorption. L’intérêt de la thermographie IR est aussi de pouvoir changer rapidement de configuration et de pouvoir passer de la couche mince au lit de solide adsorbant. Nous présenterons des premiers résultats tentants de relier les données en couche mince à la vitesse de propagation d’un front d’adsorption dans un lit adsorbant aussi observé par thermographie

    Functionalisation of TiO2 nanoparticles with a fluorescent organosilane: A synergy enabling their visualisation in biological cells and an enhanced photocatalytic activity

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    Nanoparticles, such as TiO2 particles, have a great potential for biomedical applications due to their ultra-small size and large specific surface area. However, their detection within cells is to date more than challenging. Thus, implementing fluorescence properties to nanoparticles via their controlled functionalisation with an organic chromophore is an original and efficient strategy to enable their visualization. In this work, a silylated coupling agent bearing a luminescent rhodamine B group was synthesised and grafted on the surface of anatase nanoparticles. The successful functionalisation was demonstrated via zeta potential, dynamic light scattering and diffuse reflectance infrared Fourier transform analyses. Remarkably, the obtained luminescent TiO2 particles showed an improved photocatalytic activity compared to the pristine nanoparticles. Both, as-synthesised and functionalised TiO2 nanoparticles samples appear to be non-toxic towards malignant and non-malignant cells. Moreover, the detection of the functionalised particles within cultured cells was proven to be easy and efficient via confocal fluorescence microscopy
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