253 research outputs found

    « Remarks on some not well-known Sogdian fragmentary wall-paintings ». The Study of Art History, 8, 2005, Hangzhou (Chine), pp. 199-212.

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    Discussion de plusieurs peintures sogdiennes sommairement publiĂ©es dans des revues en russe trĂšs peu accessibles, et dont le lieu de conservation actuel n’est que rarement connu : peintures « naĂŻves » d’Afrasiab figurant le motif probablement symbolique de l’amphore Ă  fleurs (un parallĂšle a Ă©tĂ© depuis trouvĂ© Ă  Pendjikent : B. I. MarĆĄak, V. I. Raspopova, OtÄĂ«t o paskopkax drevnego Pendx̆ikenta v 2005 godu, pl. 17) ; peintures de Paykand (dont l’une de style sassanide) ; peintures du chĂąteau de..

    « Astral characters of kingship in the Sasanian and Byzantine worlds ». La Persia e Bisanzio. Atti dei convegni Lincei (Roma), 201, 2004, pp. 555-594.

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    A la faveur d’une approche comparĂ©e des symboliques sassanides et byzantine de la royautĂ©, dont les correspondances diplomatiques montrent que les deux parties percevaient trĂšs bien la profonde analogie, A. Panaino revisite certaines notions fondamentales du vocabulaire sassanide. Bay est Ă  prendre au sens de « seigneur », avec une rĂ©manence du sens Ă©tymologique « extraordinary giver » ; la traduction grecque theos est Ă  prendre comme « the middle point between bay and divus », mais les Sassa..

    Religions du monde iranien ancien

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    Les calendriers zoroastriens Sur le plan technique, la question a reçu assez rĂ©cemment une clarification qu’on peut tenir pour dĂ©cisive, grĂące Ă  un article de François de Blois qui a dĂ©barrassĂ© la recherche d’hypothĂšses dont elle Ă©tait encombrĂ©e depuis ses dĂ©buts au xviiie s. (dĂ©jĂ  avec Thomas Hyde) : les supposĂ©s mois intercalaires, la supposĂ©e distinction entre un calendrier civil et un calendrier religieux, etc. Le calendrier zoroastrien est encore en usage aujourd’hui dans les communautĂ©s..

    Die Religion Zarathushtras. Geschichte – Gegenwart – Rituale. Bd. 3, Stuttgart, Kohlhammer, 2004, xvi-606 p., 2 CD-ROM.

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    Avec ce troisiĂšme tome consacrĂ© aux rituels s’achĂšve la somme de Michael Stausberg, qui va ĂȘtre appelĂ©e Ă  rester pour longtemps le rĂ©pertoire de rĂ©fĂ©rence des Ă©tudes zoroastriennes (pour les deux premiers tomes voir Abs. Ir. 25, c.r. n°221). Sous le titre de « Rituels » est dĂ©crite la totalitĂ© des manifestations de la vie religieuse, toujours Ă  partir de l’observation contemporaine, mais avec rĂ©fĂ©rence aux textes anciens : principes ordonnant la vie rituelle, clergĂ©, temples du feu, initiatio..

    « Les grands Feux de l’empire sassanide : quelques tĂ©moignages sigillographiques », in : C. G. Cereti, M. Maggi and E. Provasi, eds., Religious themes and texts in pre-Islamic Iran and Central Asia. Studies in honour of Professor Gherardo Gnoli on the occasion of his 65th birthday on 6th December 2002. Wiesbaden, Dr. Ludwig Reichert Verlag, 2003, pp. 131-138 et pl. 4. (BeitrĂ€ge zur Iranistik, 24).

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    AprĂšs avoir dĂ©gagĂ© les principes qui permettent de rĂ©partir l’emploi du mot ādur comme dĂ©signation d’un Feu ou comme simple Ă©lĂ©ment de nom personnel, l’article rassemble les tĂ©moignages relatifs Ă  ceux des Feux qui sont nommĂ©s, Ă  savoir les trois grands Feux fonctionnels (Ādur GuĆĄnasp, Ādur Farnbag et Ādur Burzēn-Mihr), auxquels pourrait s’ajouter le Feu de Karkƍy au Sistān dont on propose de lire le nom sur un exemplaire unique. Un sceau invoquant l’Ādur Burzēn-Mihr porte l’image de deux che..

    La gĂ©ographie d’IdrĂźsĂź. Un atlas du monde au XIIe siĂšcle. A. Nef et E. de la VaissiĂšre trad., Paris, BibliothĂšque nationale de France, 2000, CD-Rom.

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    Si al-IdrÄ«sÄ« constitue pour la gĂ©ographie et l’histoire de l’Europe et du Proche-Orient une source prĂ©cieuse, il a en revanche la rĂ©putation d’ĂȘtre peu utile pour l’histoire et la gĂ©ogra­phie du monde iranien car il reprend pour cette rĂ©gion la tradition al-Istaáž«rī - Ibn កawqal. Pourtant al-IdrÄ«sÄ« se rĂ©vĂšle important pour les marges turco-sogdiennes du monde musul­man, pour lesquelles il utilise les informations d’un prince Kimak, ainsi que celles d’al-JayhānÄ«. Cette caractĂ©ristique, dĂ©jĂ  sig..

    « Three inscribed Buddhist monastic utensils from Gandhāra ». ZDMG, 156, 2006, pp. 393-412.

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    Parmi les objets (tous dans des collections privĂ©es) publiĂ©s ici, le premier (un plateau de bronze trouvĂ© au Bunēr) a une importance toute particuliĂšre puisque l’inscription est datĂ©e de l’an 9 du souverain « indo-scythe » AzĂšs, donc de son vivant, en 48 av. n.Ăš., ce qui en fait la plus ancienne attestation de cette Ăšre. Le dĂ©dicant est un mahākáčŁatrapa local nommĂ© Vasa-AbdagasĂšs, fils de Mahāpāla-Suƛpala, que son onomastique rattache d’une part Ă  la dynastie de VononĂšs qui dans la rĂ©gion a pr..

    « Koj-Krylgan-kala kak istočnik somnenij ». Istorija Material’noj Kul’tury Uzbekistana (Samarkand), 34, 2004, pp. 109-130. [en russe] [Koj-Krylgan-kala, source de doutes]

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    Il Ă©tait temps de s’apercevoir, et de dĂ©montrer, que les publications du grand monument chorasmien de Koj-Krylgan-kala (IVe s. av. n.Ăš. selon les fouilleurs, IIe s. selon d’autres), culminant avec la monographie Koj-Krylgan-kala, eds. S. P. Tolstov et B. I. Vajnberg, Moskva, 1967, prĂ©sentent un caractĂšre extrĂȘmement surinterprĂ©tĂ©, et mĂȘme, il faut le dire, partiellement dĂ©lirant pour certaines contributions (notamment celles de Ju. A. Rapoport). Personne jusqu’à prĂ©sent n’avait Ă©chappĂ© Ă  l’ar..

    « The arrangement of buildings in the quarters of a Sogdian city », in : J. Cribb, G. Herrmann, eds., After Alexander. Central Asia before Islam. Oxford, Oxford University Press, 2007, pp. 213-223. (Proceedings of the British Academy, 133)

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    Nouvelles donnĂ©es sur la plan d’urbanisme de Paykend, chef-lieu d’une principautĂ© situĂ©e dans la partie SO de l’oasis de Bukhara et dont la durĂ©e d’existence s’étend du Ve au XIe siĂšcles. La ville comprend une citadelle remontant Ă  la pĂ©riode grecque, une ville basse entourĂ©e d’un rempart (shahristan 1) plus tard dotĂ©e d’une extension Ă©galement fortifiĂ©e (shahristan 2), un faubourg avec des caravansĂ©rails. Les fouilles menĂ©es sur les rues existantes confirment la stabilitĂ© de leur implantatio..

    « Le cocher de Mithra », in : C. G. Cereti, M. Maggi and E. Provasi, eds., Religious themes and texts in pre-Islamic Iran and Central Asia. Studies in honour of Professor Gherardo Gnoli on the occasion of his 65th birthday on 6th December 2002. Wiesbaden, Dr. Ludwig Reichert Verlag, 2003, pp. 429-434. (BeitrÀge zur Iranistik, 24).

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    Nouvelle traduction proposĂ©e pour Yt. 10.136 : « Nous sacrifions Ă  Mithra, pour qui deux paires de chevaux blancs, attelĂ©s au char Ă  roue unique, dorĂ© et pourvu de toutes lueurs quant Ă  ses pierres, seront conduits si (le prĂȘtre lui) porte les libations jusqu’à sa demeure ». L’analyse montre que le sujet rĂ©el de anjaiiāáč‡te « seront conduits » est sous-entendu et ne peut ĂȘtre Mithra lui-mĂȘme. Les parallĂšles vĂ©diques orientent vers le prĂȘtre sacrifiant. Mais pourquoi ne pas envisager aussi la ..
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