45 research outputs found

    Quéchon, G. et Roset, J.-P. Prospection archéologique du massif de Termit (Niger).

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    Grébénart D. Quéchon, G. et Roset, J.-P. Prospection archéologique du massif de Termit (Niger).. In: Journal de la Société des Africanistes, 1975, tome 45, fascicule 1-2. p. 234

    Roset, J.-P. Contribution à la connaissance des populations néolithiques et protohistoriques du Tibesti (Nord Tchad)

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    Grébénart D. Roset, J.-P. Contribution à la connaissance des populations néolithiques et protohistoriques du Tibesti (Nord Tchad). In: Journal de la Société des Africanistes, 1975, tome 45, fascicule 1-2. pp. 234-235

    R. Vernet Le Sahara et ses marges. Paléoenvironnements et occupation humaine à l'Holocène

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    Grébénart D. R. Vernet Le Sahara et ses marges. Paléoenvironnements et occupation humaine à l'Holocène. In: Bulletin de la Société préhistorique française, tome 90, n°2, 1993. p. 126

    Lhote, H., Les gravures rupestres du Nord-Ouest de l'AĂŻr

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    Grébénart D. Lhote, H., Les gravures rupestres du Nord-Ouest de l'Aïr. In: Journal des africanistes, 1976, tome 46, fascicule 1-2. pp. 256-258

    R. Vernet Préhistoire de la Mauritanie.

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    Grébénart D. R. Vernet Préhistoire de la Mauritanie.. In: Bulletin de la Société préhistorique française, tome 90, n°6, 1993. pp. 388-389

    Bayle des Hermens, R. de, Recherches préhistoriques en République centrafricaine

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    Grébénart D. Bayle des Hermens, R. de, Recherches préhistoriques en République centrafricaine. In: Journal des africanistes, 1976, tome 46, fascicule 1-2. pp. 239-241

    La métallurgie préhistorique d'Agadez (Niger). État des recherches

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    ABSTRACT Some prehistoric copper and iron industries, since revealed as the oldest in non-Nilotic Africa, were recognised in Niger, near Agadez, during a first stage of intensive research, between 1978 and 1981. For the making of copper, two stages appeared. Copper I, the first, is a pre-metallurgy, characterised by the use of native copper and seems confirmed during the 4th millenium bp. Though the uses of all the mysterious furnaces or kilns are not yet explained, some of them are probably related to copper making. During Copper II, the next stage, a new type of metallurgy, processing ores, was set in place and developed principally during the 3rd millennium bp. The objects made are generally of small size and made by hammering. Hammering was also used for the alloys, bronze and brass, used in making jewellery. Iron mettallurgy, during its earliest phase, Iron I, seems to have been practised since the last centuries of the 3rd millennium bp. It could be more than a thousand years older if the latest series of dates obtained really concerns iron-making. A southern or Sudanese origin for Copper I and Iron I seems reasonable, while Copper II, also present in Mauritania, seems to originate in the northern Saharan or Mediterranean regions. The very small amount of metal produced dit not modify the lives of the population which used it. They continued to use stone tools and to practise a neolithic way of life at the turn of the 2nd-3rd millenia bp.RÉSUMÉ Des industries préhistoriques du cuivre et du fer, qui se sont révélées être les plus anciennes de l'Afrique non nilotiques, ont été reconnues au Niger, près d'Agadez, principalement au cours d'une première étape de recherches intensives, entre 1973 et 1981. Pour la fabrication du cuivre, deux phases sont apparues. La première, le Cuivre I, une pré-métallurgie, caractérisée par l'utilisation du cuivre natif, semble être confirmée au cours du 4e millénaire BP. Bien que l'usage de tous les énigmatiques fours ne soit pas encore expliqué, certains ne sont pas à écarter de la fabrication du cuivre. Lors de la phase suivante, le Cuivre II, développée principalement pendant le 3e millénaire BP, se met en place une métallurgie véritable traitant des minerais. Les objets ouvrés sont surtout de petite taille et fabriqués par martelage. Cette même technique est appliquée aux alliages, bronze et laiton, utilisés pour la confection de bijoux. La sidérurgie, qui lors de sa phase la plus ancienne, le Fer I, paraissait pratiquée à partir des derniers siècles du 3e millénaire BP, pourrait avoir plus d'un millénaire d'ancienneté si la dernière série de datations réalisées s'applique effectivement à la fabrication du fer. Une origine africaine, méridionale et soudanaise du Cuivre I et du Fer I paraît vraisemblable, alors que le Cuivre II, également présent en Mauritanie, semble issu du nord saharien et méditerranéen. Les très faibles quantités de métal produit ne modifient pas la vie des populations utilisatrices, qui continuent d'employer un outillage li- thique et de pratiquer un mode de vie néolithique, à la charnière des 2e ei 3e millénaires BP.Grébénart Danilo. La métallurgie préhistorique d'Agadez (Niger). État des recherches. In: Bulletin de la Société préhistorique française, tome 92, n°3, 1995. pp. 399-409

    Lhote, H., Les gravures rupestres du Nord-Ouest de l'AĂŻr

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    Grébénart D. Lhote, H., Les gravures rupestres du Nord-Ouest de l'Aïr. In: Journal des africanistes, 1976, tome 46, fascicule 1-2. pp. 256-258

    Le tombeau d'Abalessa (Hoggar, Algérie). [Contribution à l'étude du mobilier funéraire]

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    Associated with the legend of Tin-Hinan, ancestor of the Hoggar Tuareg, the tomb of Abalessa is a construction where mediterranean, saharan and Sudanese cultural influences meet. It is a monument built on the model of the big Berber mausoleum, with multiple chambers containing one personage, quite surely a male one, the inhumation of whom was both dated by the 14C and the presence of a coin-print with the figure of the Roman Emperor Constantine the Great, issued between 308 and 324 A.D.. The body was adorned of numerous jewels among which 15 gold and silver bracelets. The goal of this article is to show the affinities of these bracelets with those made of copper alloys made more in the South around Agades, at the beginning of the Christian Era. The legend of Tin-Hinan is a recent creation, about 200-300 years, required by circunstances, created by the Kel Rela Tuareg for some reasons of political nature, in order to keep the power and the supremacy on all the Kel Ahaggar people. It is therefore totally alien to the tomb and the personage who is in it.Associé à la légende de Tin-Hinan, ancêtre des Touaregs du Hoggar, le tombeau d'Abalessa est une construction où se rejoignent des influences culturelles méditerranéenne, saharienne et soudanaise. C'est un monument bâti sur le modèle des grands mausolées berbères à chambres multiples renfermant un personnage, très certainement de sexe masculin, dont l'inhumation est à la fois datée par le 14 C et par une empreinte de monnaie à l'effigie de l'empereur romain Constantin le Grand, émise entre 308 et 324 ap. J.-C. Le corps était paré de nombreux bijoux dont 15 bracelets en or et en argent. Le but de cet article est de montrer les affinités de ces bracelets avec ceux en alliages cuivreux fabriqués plus au sud autour d'Agadés, au début de l'ère chrétienne. La légende de Tin-Hinan est une création récente, 200 à 300 ans, conjoncturelle, créée par les Touaregs Kel Rela pour des raisons d'ordre politique, afin de conserver le pouvoir et leur suprématie sur tous les Kel Ahaggar. Elle est donc totalement étrangère au tombeau et au personnage qu'il contenait.Grébénart Danilo. Le tombeau d'Abalessa (Hoggar, Algérie). [Contribution à l'étude du mobilier funéraire]. In: Antiquités africaines, 30,1994. pp. 261-270
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