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    Éléments protohistoriques et vestiges du Haut-Empire : Grandvillars, rue des Sillons (Territoire de Belfort)

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    Un premier secteur, antique, parait confiné à l’extrémité orientale de l’emprise. Daté du début du Haut-Empire, il intègre, dans ce même intervalle chronologique, plusieurs niveaux d’occupation partagés entre fosses, fossés, niveau de circulation/sol et possibles fondations de murs. De nombreux fragments de terre cuite architecturale se retrouvent dans et autour de ces sondages.Depuis ce secteur gallo-romain et jusqu’à l’extrémité occidentale des parcelles se trouvent régulièrement conservées de petites structures en creux, vestiges, pour la majeure partie d’entre elles, de bâtiments sur poteaux. Deux trous de poteau renfermaient chacun un tesson de l’âge du Fer. On ne peut cependant borner l’ensemble à cette seule période

    Valentigney, 20 rue des Carrières, les Tâles, en Chaseaux : fosses de l'âge du Bronze final

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    Les sondages ont dévoilé un habitat protohistorique pour partie attribuable à la phase finale de l'âge du Bronze et est caractérisé par une dizaine de fosses. Un grand nombre de tessons provient d'une couche intermédiaire de colluvions accumulés au pied du coteau qui supposent une présence protohistorique sur les hauteurs valentinoises

    Paléochenaux holocènes de la Seille : vestiges protohistoriques, historiques et données paléoenvironnementales : Bletterans, secteur des Toupes (Jura)

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    Les résultats du diagnostic archéologique intervenu sur le secteur des Toupes à Bletterans se limitent à du mobilier archéologique découvert dans des comblements argileux ou argilo-sableux de paléochenaux, essentiellement des fragments de poteries. Le mobilier était enfoui à plus de 0,5 mètre de profondeur en faibles quantité et densité, à l’exception du sondage 39.Si la presque totalité des formes céramique datent de la transition Bronze final / Hallstatt, on note quelques éléments de la fin de La Tène - période augustéenne. Deux datations par radiocarbone précisent les déterminations céramologiques en particulier pour la Protohistoire ancienne.Basée sur l’examen détaillé de deux sondages, l’étude géomorphologique décrit les mises en place successives de ces paléochenaux notant deux voire trois phases érosives. Au regard des données archéologiques et documentaires collectées lors des précédentes opérations archéologiques, les populations de la plaine de la Seille furent confrontées au cours de l’Holocène, jusqu’aux périodes les plus récentes, à des épisodes de réactivation hydrologique de la rivière qui n’ont ici favorisé ni la préservation de niveaux de sols ni celles de traces d’aménagements anciens, contrairement à d’autres secteurs de la commune de Bletteran

    L’enceinte à fossés discontinus d’Autun, Grands-Champs (Saône-et-Loire, Bourgogne)

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    International audienc

    Vestiges d'habitat de La Tène finale et/ou du Ier siècle AD et déchets métallurgiques : Bourguignon rue du Chainois (Doubs)

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    Les indices archéologiques proviennent d’un unique sondage. Il s’agit d’une fosse et de deux présumés trous de poteau entièrement fouillés.Creusés dans les alluvions grossières, ils sont recouverts par le seul horizon supérieur de l’actuel sol brun.Les comblements des trois creusements offrent une diversité de mobilier qualitativement comparable à celle d’un habitat (céramique, faune, matériaux de construction argileux) comprenant une forge (déchets métallurgiques).Si une partie de la céramique indique clairement une occupation se situant dans un intervalle La Tène finale - période augustéenne, plusieurs tessons pourraient autant dater du Moyen Âge. Par défaut, l’ensemble peut ainsi être attribué à la fin de la Protohistoire et/ou le début de l’Antiquité.Il s’avère difficile d’estimer l’étendue du site. En effet, tous les indices se trouvent regroupés dans un unique sondage et son extension. Les autres tranchées n’ont livré aucun indice même remanié dans l’horizon supérieur de l’actuel sol brun

    L’enceinte à fossés discontinus d’Autun, Grands-Champs (Saône-et-Loire, Bourgogne)

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    International audienc

    Établissement antique sur le versant de la colline du Tartre : Noidans-lès-Vesoul, Le Pertuis, rue des prés (Haute-Saône)

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    Le site antique se définit essentiellement par un bâtiment en pierre souvent conservé à hauteur de son blocage de fondation, orienté sud-ouest/nord-est, large de 20 mètres et compartimenté en un vaste espace bordé d’une galerie subdivisée. Aucun sol ne semble donc préservé à l’intérieur du bâtiment. Les tuiles disséminées dans les unités stratigraphiques sus‑jacentes l’attachent à la période antique sans précision chronologique sinon un terminus post quem (couche us 18.02, deuxième moitié du Ier siècle ap. J.-C.).Le mur us 55.01 pourrait correspondre à un second état de construction.Recoupée par le bâtiment, la couche us 18.02 accumulée au nord est plus ancienne. Elle renferme une quantité assez élevée de mobilier daté de la seconde moitié du Ier siècle de notre ère. Si le poteau us 18.05 interroge quant à une architecture mixte pour au moins un état du bâtiment en pierre, le poteau us 18.04 est déconnecté de toute structure architecturale. Ces phases antérieures au bâtiment demeurent indéfinies (état initial en bois ?)Malgré les recherches effectuées au sud du bâtiment, les deux angles méridionaux restent à découvrir et, par conséquent, les dimensions exactes du bâtiment.Au terme de ce diagnostic, on ignore son plan exact, sa date d’édification, son évolution et les activités qui s’y sont déroulées. Par ses dimensions, on peut aisément l’assimiler à un bâtiment de domaine agricole à module architecturale de base.Comparé selon ces seuls critères aux sites régionaux, il s’apparente alors à un certain nombre de constructions annexes de villæ ou, cas exceptionnel, isolées en lien avec une activité spécifique
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