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Learning From Experience With Performance Assessment Frameworks for General Budget Support
This report provides the findings of a study financed by SECO and undertaken under the auspices of the OECD-DAC multi-country evaluation of General Budget Support (GBS). The overall objective was to gather preliminary lessons on what could be good international practice in the development\ud
of Performance Assessment Frameworks (PAFs) for GBS. The study is based on the experience of three countries which have adopted harmonised PAFs â namely Ghana, Mozambique, and Tanzania, and two which are moving in this direction â Benin and Nicaragua. In order to assess the effectiveness of these PAFs, the study employed a simplified, standard framework reflecting the OECD-DAC guiding principles for the provision of budget support.\u
Lâendettement des pays en dĂ©veloppement : consĂ©quences et implications pour la confĂ©dĂ©ration suisse
Lâaugmentation vertigineuse de lâendettement, le rĂŽle croissant du crĂ©dit bancaire et la hausse des taux dâintĂ©rĂȘts ont considĂ©rablement alourdi les charges financiĂšres des pays en dĂ©veloppement. Les cas dâinsolvabilitĂ© se multiplient. Les populations les plus pauvres, qui nâont pas bĂ©nĂ©ficiĂ© de lâexpansion du commerce international, sont souvent les premiĂšres victimes des mesures dâassainissement financier. Celles-ci nâamĂ©liorent cependant pas la structure des Ă©changes Nord-Sud. Aussi lâendettement des pays en dĂ©veloppement sâaggrave-t-il toujours plus. Les crĂ©anciers ne pourront pas refuser indĂ©finiment lâallĂ©gement du fardeau de certains dĂ©biteurs.Ayant ainsi analysĂ© la situation internationale, R. Gerster examine les implications pour la Suisse. Il constate dâimportants conflits dâobjectifs entre la politique de dĂ©veloppement et les buts traditionnels de la politique Ă©conomique extĂ©rieure. Il se pose Ă©galement un problĂšme de rĂ©partition des coĂ»ts entre les secteurs public et privĂ©. AprĂšs avoir exposĂ© cette problĂ©matique, lâauteur Ă©tudie quelques instruments de la politique Ă©conomique.Dans le cadre de la garantie des risques Ă lâexportation, les critĂšres commerciaux et financiers jouent un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant. Les objectifs de la politique de dĂ©veloppement, qui visent lâamĂ©lioration des conditions de vie des populations les plus pauvres, sont nĂ©gligĂ©s. La garantie devrait ĂȘtre refusĂ©e pour des livraisons de marchandises qui gĂȘnent la poursuite de ces objectifs.Le cas de la Turquie montre bien les nombreux problĂšmes qui se posent dans le cadre des opĂ©rations internationales de consolidation de dettes. Le Conseil fĂ©dĂ©ral souhaite lâouverture dâun crĂ©dit de programme qui permettra de garantir des prĂȘts bancaires et dâaccorder des bonifications dâintĂ©rĂȘts. R. Gerster estime que de telles mesures sont seulement acceptables Ă deux conditions : le dĂ©liement des crĂ©dits (par rapport Ă lâachat de marchandises suisses) et la participation du secteur privĂ© aux coĂ»ts
Die Verschuldung der EntwicklungslĂ€nder : Folgen und Folgerungen fĂŒr die schweizerische Eidgenossenschaft
Lâaugmentation vertigineuse de lâendettement, le rĂŽle croissant du crĂ©dit bancaire et la hausse des taux dâintĂ©rĂȘts ont considĂ©rablement alourdi les charges financiĂšres des pays en dĂ©veloppement. Les cas dâinsolvabilitĂ© se multiplient. Les populations les plus pauvres, qui nâont pas bĂ©nĂ©ficiĂ© de lâexpansion du commerce international, sont souvent les premiĂšres victimes des mesures dâassainissement financier. Celles-ci nâamĂ©liorent cependant pas la structure des Ă©changes Nord-Sud. Aussi lâendettement des pays en dĂ©veloppement sâaggrave-t-il toujours plus. Les crĂ©anciers ne pourront pas refuser indĂ©finiment lâallĂ©gement du fardeau de certains dĂ©biteurs.Ayant ainsi analysĂ© la situation internationale, R. Gerster examine les implications pour la Suisse. Il constate dâimportants conflits dâobjectifs entre la politique de dĂ©veloppement et les buts traditionnels de la politique Ă©conomique extĂ©rieure. Il se pose Ă©galement un problĂšme de rĂ©partition des coĂ»ts entre les secteurs public et privĂ©. AprĂšs avoir exposĂ© cette problĂ©matique, lâauteur Ă©tudie quelques instruments de la politique Ă©conomique.Dans le cadre de la garantie des risques Ă lâexportation, les critĂšres commerciaux et financiers jouent un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant. Les objectifs de la politique de dĂ©veloppement, qui visent lâamĂ©lioration des conditions de vie des populations les plus pauvres, sont nĂ©gligĂ©s. La garantie devrait ĂȘtre refusĂ©e pour des livraisons de marchandises qui gĂȘnent la poursuite de ces objectifs.Le cas de la Turquie montre bien les nombreux problĂšmes qui se posent dans le cadre des opĂ©rations internationales de consolidation de dettes. Le Conseil fĂ©dĂ©ral souhaite lâouverture dâun crĂ©dit de programme qui permettra de garantir des prĂȘts bancaires et dâaccorder des bonifications dâintĂ©rĂȘts. R. Gerster estime que de telles mesures sont seulement acceptables Ă deux conditions : le dĂ©liement des crĂ©dits (par rapport Ă lâachat de marchandises suisses) et la participation du secteur privĂ© aux coĂ»ts
La Suisse et le Fonds monĂ©taire international : les intĂ©rĂȘts en prĂ©sence et le options politiques
Dans cet article, lâauteur analyse les relations actuelles de la Suisse avec le Fonds monĂ©taire international, relations que J. Witteveen, ancien directeur gĂ©nĂ©ral du FMI, qualifia un jour de « non participation constructive ». Aujourdâhui, alors que la question de lâadhĂ©sion de la Suisse Ă cette institution est intensĂ©ment discutĂ©e, lâarticle Ă©nonce les arguments en faveur dâune adhĂ©sion, et ceux qui sây opposent, pour finalement conclure que, du point de vue de la politique de coopĂ©ration au dĂ©veloppement, lâadhĂ©sion serait recommandable Ă trois conditions :â la Suisse devrait sâengager Ă Ćuvrer Ă modifier les conditions auxquelles sont accordĂ©es les facilitĂ©s du Fonds monĂ©taire international dans un sens qui tienne compte des besoins fondamentaux de la population et qui nâentraine pas de rĂ©pression politique ;â toute augmentation du quota de la Suisse au sein du Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumise Ă la ratification du Parlement ;â tout accord Ă©ventuel de âstand-byâ entre la Suisse et le Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumis au Parlement.Sans devenir membre du Fonds monĂ©taire international, la Suisse pourrait aussi Ćuvrer dans le mĂȘme sens en modifiant la loi sur la Banque nationale de façon Ă ce que les mesures de politique monĂ©taire ne soient pas en contradiction avec la loi fĂ©dĂ©rale sur la coopĂ©ration au dĂ©veloppement et lâaide humanitaire internationales
Die Schweiz und der internationale WÀhrungsfonds : Interessenlage und Entwicklungspolitische optionen
Dans cet article, lâauteur analyse les relations actuelles de la Suisse avec le Fonds monĂ©taire international, relations que J. Witteveen, ancien directeur gĂ©nĂ©ral du FMI, qualifia un jour de « non participation constructive ». Aujourdâhui, alors que la question de lâadhĂ©sion de la Suisse Ă cette institution est intensĂ©ment discutĂ©e, lâarticle Ă©nonce les arguments en faveur dâune adhĂ©sion, et ceux qui sây opposent, pour finalement conclure que, du point de vue de la politique de coopĂ©ration au dĂ©veloppement, lâadhĂ©sion serait recommandable Ă trois conditions :â la Suisse devrait sâengager Ă Ćuvrer Ă modifier les conditions auxquelles sont accordĂ©es les facilitĂ©s du Fonds monĂ©taire international dans un sens qui tienne compte des besoins fondamentaux de la population et qui nâentraine pas de rĂ©pression politique ;â toute augmentation du quota de la Suisse au sein du Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumise Ă la ratification du Parlement ;â tout accord Ă©ventuel de âstand-byâ entre la Suisse et le Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumis au Parlement.Sans devenir membre du Fonds monĂ©taire international, la Suisse pourrait aussi Ćuvrer dans le mĂȘme sens en modifiant la loi sur la Banque nationale de façon Ă ce que les mesures de politique monĂ©taire ne soient pas en contradiction avec la loi fĂ©dĂ©rale sur la coopĂ©ration au dĂ©veloppement et lâaide humanitaire internationales
Die Entwicklungspolitik der Arbeitsgemeinschaft Swissaid / Fastenopfer / Brot fĂŒr brĂŒder / Helvetas
Les flux financiers mineurs provenant des organisations non-gouvernementales de dĂ©veloppement, par rapport aux investissements privĂ©s et Ă lâAPD, ne doivent pas tromper sur lâimportance et la qualitĂ© des activitĂ©s de telles organisations, qui se dĂ©ploient dans quatre domaines : la rĂ©alisation de projets de dĂ©veloppement, tendant principalement vers la « Self-Reliance » ; le travail dâinformation auprĂšs de la jeunesse et des Ă©coles ; lâinformation et la conscientisation du public et la participation Ă lâĂ©laboration de la politique suisse du dĂ©veloppement.Les ONG suisses se veulent le porte-parole des couches dĂ©favorisĂ©es des PVD auprĂšs des organes de la politique extĂ©rieure commerciale suisse et de la politique de coopĂ©ration au dĂ©veloppement. Les ONG suisses rassemblent ainsi nombre de ceux qui, mĂ©contents des relations entre la Suisse et le Tiers Monde, cherchent une possibilitĂ© de sâexprimer publiquement.La communautĂ© de travail, fondĂ©e en 1969, a dĂ©bouchĂ© sur la constitution de trois organismes communs : le Service Information Tiers Monde (I3M), le Service Ecole Tiers Monde (E3M), et le poste de coordinateur de la politique de dĂ©veloppement.â I3M, fondĂ© en 1971, est reprĂ©sentĂ© Ă Berne et Ă Â Lausanne ; ses buts sont lâinformation de la presse et du public au moyen de bulletins et de dossiers, et lâoffre dâune documentation sur les problĂšmes gĂ©nĂ©raux du dĂ©veloppement.â E3M, fondĂ© en 1975 Ă Berne et en 1979 Ă Â Lausanne, sâadresse aux autoritĂ©s scolaires et aux enseignants qui dĂ©sirent ĂȘtre conseillĂ©s et formĂ©s dans le domaine du dĂ©veloppement.â La communautĂ© de travail est reprĂ©sentĂ©e Ă la Commission consultative pour la coopĂ©ration au dĂ©veloppement. Le poste de coordinateur, crĂ©Ă© en 1981, permettra dâĂȘtre encore plus actif dans la formation de lâopinion en matiĂšre de politique du dĂ©veloppement
La Suisse et le Fonds monĂ©taire international : les intĂ©rĂȘts en prĂ©sence et le options politiques
Dans cet article, lâauteur analyse les relations actuelles de la Suisse avec le Fonds monĂ©taire international, relations que J. Witteveen, ancien directeur gĂ©nĂ©ral du FMI, qualifia un jour de « non participation constructive ». Aujourdâhui, alors que la question de lâadhĂ©sion de la Suisse Ă cette institution est intensĂ©ment discutĂ©e, lâarticle Ă©nonce les arguments en faveur dâune adhĂ©sion, et ceux qui sây opposent, pour finalement conclure que, du point de vue de la politique de coopĂ©ration au dĂ©veloppement, lâadhĂ©sion serait recommandable Ă trois conditions :â la Suisse devrait sâengager Ă Ćuvrer Ă modifier les conditions auxquelles sont accordĂ©es les facilitĂ©s du Fonds monĂ©taire international dans un sens qui tienne compte des besoins fondamentaux de la population et qui nâentraine pas de rĂ©pression politique ;â toute augmentation du quota de la Suisse au sein du Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumise Ă la ratification du Parlement ;â tout accord Ă©ventuel de âstand-byâ entre la Suisse et le Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumis au Parlement.Sans devenir membre du Fonds monĂ©taire international, la Suisse pourrait aussi Ćuvrer dans le mĂȘme sens en modifiant la loi sur la Banque nationale de façon Ă ce que les mesures de politique monĂ©taire ne soient pas en contradiction avec la loi fĂ©dĂ©rale sur la coopĂ©ration au dĂ©veloppement et lâaide humanitaire internationales
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