66 research outputs found

    Learning From Experience With Performance Assessment Frameworks for General Budget Support

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    This report provides the findings of a study financed by SECO and undertaken under the auspices of the OECD-DAC multi-country evaluation of General Budget Support (GBS). The overall objective was to gather preliminary lessons on what could be good international practice in the development\ud of Performance Assessment Frameworks (PAFs) for GBS. The study is based on the experience of three countries which have adopted harmonised PAFs – namely Ghana, Mozambique, and Tanzania, and two which are moving in this direction – Benin and Nicaragua. In order to assess the effectiveness of these PAFs, the study employed a simplified, standard framework reflecting the OECD-DAC guiding principles for the provision of budget support.\u

    L’endettement des pays en dĂ©veloppement : consĂ©quences et implications pour la confĂ©dĂ©ration suisse

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    L’augmentation vertigineuse de l’endettement, le rĂŽle croissant du crĂ©dit bancaire et la hausse des taux d’intĂ©rĂȘts ont considĂ©rablement alourdi les charges financiĂšres des pays en dĂ©veloppement. Les cas d’insolvabilitĂ© se multiplient. Les populations les plus pauvres, qui n’ont pas bĂ©nĂ©ficiĂ© de l’expansion du commerce international, sont souvent les premiĂšres victimes des mesures d’assainissement financier. Celles-ci n’amĂ©liorent cependant pas la structure des Ă©changes Nord-Sud. Aussi l’endettement des pays en dĂ©veloppement s’aggrave-t-il toujours plus. Les crĂ©anciers ne pourront pas refuser indĂ©finiment l’allĂ©gement du fardeau de certains dĂ©biteurs.Ayant ainsi analysĂ© la situation internationale, R. Gerster examine les implications pour la Suisse. Il constate d’importants conflits d’objectifs entre la politique de dĂ©veloppement et les buts traditionnels de la politique Ă©conomique extĂ©rieure. Il se pose Ă©galement un problĂšme de rĂ©partition des coĂ»ts entre les secteurs public et privĂ©. AprĂšs avoir exposĂ© cette problĂ©matique, l’auteur Ă©tudie quelques instruments de la politique Ă©conomique.Dans le cadre de la garantie des risques Ă  l’exportation, les critĂšres commerciaux et financiers jouent un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant. Les objectifs de la politique de dĂ©veloppement, qui visent l’amĂ©lioration des conditions de vie des populations les plus pauvres, sont nĂ©gligĂ©s. La garantie devrait ĂȘtre refusĂ©e pour des livraisons de marchandises qui gĂȘnent la poursuite de ces objectifs.Le cas de la Turquie montre bien les nombreux problĂšmes qui se posent dans le cadre des opĂ©rations internationales de consolidation de dettes. Le Conseil fĂ©dĂ©ral souhaite l’ouverture d’un crĂ©dit de programme qui permettra de garantir des prĂȘts bancaires et d’accorder des bonifications d’intĂ©rĂȘts. R. Gerster estime que de telles mesures sont seulement acceptables Ă  deux conditions : le dĂ©liement des crĂ©dits (par rapport Ă  l’achat de marchandises suisses) et la participation du secteur privĂ© aux coĂ»ts

    Die Verschuldung der EntwicklungslĂ€nder : Folgen und Folgerungen fĂŒr die schweizerische Eidgenossenschaft

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    L’augmentation vertigineuse de l’endettement, le rĂŽle croissant du crĂ©dit bancaire et la hausse des taux d’intĂ©rĂȘts ont considĂ©rablement alourdi les charges financiĂšres des pays en dĂ©veloppement. Les cas d’insolvabilitĂ© se multiplient. Les populations les plus pauvres, qui n’ont pas bĂ©nĂ©ficiĂ© de l’expansion du commerce international, sont souvent les premiĂšres victimes des mesures d’assainissement financier. Celles-ci n’amĂ©liorent cependant pas la structure des Ă©changes Nord-Sud. Aussi l’endettement des pays en dĂ©veloppement s’aggrave-t-il toujours plus. Les crĂ©anciers ne pourront pas refuser indĂ©finiment l’allĂ©gement du fardeau de certains dĂ©biteurs.Ayant ainsi analysĂ© la situation internationale, R. Gerster examine les implications pour la Suisse. Il constate d’importants conflits d’objectifs entre la politique de dĂ©veloppement et les buts traditionnels de la politique Ă©conomique extĂ©rieure. Il se pose Ă©galement un problĂšme de rĂ©partition des coĂ»ts entre les secteurs public et privĂ©. AprĂšs avoir exposĂ© cette problĂ©matique, l’auteur Ă©tudie quelques instruments de la politique Ă©conomique.Dans le cadre de la garantie des risques Ă  l’exportation, les critĂšres commerciaux et financiers jouent un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant. Les objectifs de la politique de dĂ©veloppement, qui visent l’amĂ©lioration des conditions de vie des populations les plus pauvres, sont nĂ©gligĂ©s. La garantie devrait ĂȘtre refusĂ©e pour des livraisons de marchandises qui gĂȘnent la poursuite de ces objectifs.Le cas de la Turquie montre bien les nombreux problĂšmes qui se posent dans le cadre des opĂ©rations internationales de consolidation de dettes. Le Conseil fĂ©dĂ©ral souhaite l’ouverture d’un crĂ©dit de programme qui permettra de garantir des prĂȘts bancaires et d’accorder des bonifications d’intĂ©rĂȘts. R. Gerster estime que de telles mesures sont seulement acceptables Ă  deux conditions : le dĂ©liement des crĂ©dits (par rapport Ă  l’achat de marchandises suisses) et la participation du secteur privĂ© aux coĂ»ts

    La Suisse et le Fonds monĂ©taire international : les intĂ©rĂȘts en prĂ©sence et le options politiques

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    Dans cet article, l’auteur analyse les relations actuelles de la Suisse avec le Fonds monĂ©taire international, relations que J. Witteveen, ancien directeur gĂ©nĂ©ral du FMI, qualifia un jour de « non participation constructive ». Aujourd’hui, alors que la question de l’adhĂ©sion de la Suisse Ă  cette institution est intensĂ©ment discutĂ©e, l’article Ă©nonce les arguments en faveur d’une adhĂ©sion, et ceux qui s’y opposent, pour finalement conclure que, du point de vue de la politique de coopĂ©ration au dĂ©veloppement, l’adhĂ©sion serait recommandable Ă  trois conditions :– la Suisse devrait s’engager Ă  Ɠuvrer Ă  modifier les conditions auxquelles sont accordĂ©es les facilitĂ©s du Fonds monĂ©taire international dans un sens qui tienne compte des besoins fondamentaux de la population et qui n’entraine pas de rĂ©pression politique ;– toute augmentation du quota de la Suisse au sein du Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumise Ă  la ratification du Parlement ;– tout accord Ă©ventuel de “stand-by” entre la Suisse et le Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumis au Parlement.Sans devenir membre du Fonds monĂ©taire international, la Suisse pourrait aussi Ɠuvrer dans le mĂȘme sens en modifiant la loi sur la Banque nationale de façon Ă  ce que les mesures de politique monĂ©taire ne soient pas en contradiction avec la loi fĂ©dĂ©rale sur la coopĂ©ration au dĂ©veloppement et l’aide humanitaire internationales

    Les perspectives pour le développement de la coopération suisse

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    Die Schweiz und der internationale WÀhrungsfonds : Interessenlage und Entwicklungspolitische optionen

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    Dans cet article, l’auteur analyse les relations actuelles de la Suisse avec le Fonds monĂ©taire international, relations que J. Witteveen, ancien directeur gĂ©nĂ©ral du FMI, qualifia un jour de « non participation constructive ». Aujourd’hui, alors que la question de l’adhĂ©sion de la Suisse Ă  cette institution est intensĂ©ment discutĂ©e, l’article Ă©nonce les arguments en faveur d’une adhĂ©sion, et ceux qui s’y opposent, pour finalement conclure que, du point de vue de la politique de coopĂ©ration au dĂ©veloppement, l’adhĂ©sion serait recommandable Ă  trois conditions :– la Suisse devrait s’engager Ă  Ɠuvrer Ă  modifier les conditions auxquelles sont accordĂ©es les facilitĂ©s du Fonds monĂ©taire international dans un sens qui tienne compte des besoins fondamentaux de la population et qui n’entraine pas de rĂ©pression politique ;– toute augmentation du quota de la Suisse au sein du Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumise Ă  la ratification du Parlement ;– tout accord Ă©ventuel de “stand-by” entre la Suisse et le Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumis au Parlement.Sans devenir membre du Fonds monĂ©taire international, la Suisse pourrait aussi Ɠuvrer dans le mĂȘme sens en modifiant la loi sur la Banque nationale de façon Ă  ce que les mesures de politique monĂ©taire ne soient pas en contradiction avec la loi fĂ©dĂ©rale sur la coopĂ©ration au dĂ©veloppement et l’aide humanitaire internationales

    Die Entwicklungspolitik der Arbeitsgemeinschaft Swissaid / Fastenopfer / Brot fĂŒr brĂŒder / Helvetas

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    Les flux financiers mineurs provenant des organisations non-gouvernementales de dĂ©veloppement, par rapport aux investissements privĂ©s et Ă  l’APD, ne doivent pas tromper sur l’importance et la qualitĂ© des activitĂ©s de telles organisations, qui se dĂ©ploient dans quatre domaines : la rĂ©alisation de projets de dĂ©veloppement, tendant principalement vers la « Self-Reliance » ; le travail d’information auprĂšs de la jeunesse et des Ă©coles ; l’information et la conscientisation du public et la participation Ă  l’élaboration de la politique suisse du dĂ©veloppement.Les ONG suisses se veulent le porte-parole des couches dĂ©favorisĂ©es des PVD auprĂšs des organes de la politique extĂ©rieure commerciale suisse et de la politique de coopĂ©ration au dĂ©veloppement. Les ONG suisses rassemblent ainsi nombre de ceux qui, mĂ©contents des relations entre la Suisse et le Tiers Monde, cherchent une possibilitĂ© de s’exprimer publiquement.La communautĂ© de travail, fondĂ©e en 1969, a dĂ©bouchĂ© sur la constitution de trois organismes communs : le Service Information Tiers Monde (I3M), le Service Ecole Tiers Monde (E3M), et le poste de coordinateur de la politique de dĂ©veloppement.– I3M, fondĂ© en 1971, est reprĂ©sentĂ© Ă  Berne et à Lausanne ; ses buts sont l’information de la presse et du public au moyen de bulletins et de dossiers, et l’offre d’une documentation sur les problĂšmes gĂ©nĂ©raux du dĂ©veloppement.– E3M, fondĂ© en 1975 Ă  Berne et en 1979 à Lausanne, s’adresse aux autoritĂ©s scolaires et aux enseignants qui dĂ©sirent ĂȘtre conseillĂ©s et formĂ©s dans le domaine du dĂ©veloppement.– La communautĂ© de travail est reprĂ©sentĂ©e Ă  la Commission consultative pour la coopĂ©ration au dĂ©veloppement. Le poste de coordinateur, crĂ©Ă© en 1981, permettra d’ĂȘtre encore plus actif dans la formation de l’opinion en matiĂšre de politique du dĂ©veloppement

    La Suisse et le Fonds monĂ©taire international : les intĂ©rĂȘts en prĂ©sence et le options politiques

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    Dans cet article, l’auteur analyse les relations actuelles de la Suisse avec le Fonds monĂ©taire international, relations que J. Witteveen, ancien directeur gĂ©nĂ©ral du FMI, qualifia un jour de « non participation constructive ». Aujourd’hui, alors que la question de l’adhĂ©sion de la Suisse Ă  cette institution est intensĂ©ment discutĂ©e, l’article Ă©nonce les arguments en faveur d’une adhĂ©sion, et ceux qui s’y opposent, pour finalement conclure que, du point de vue de la politique de coopĂ©ration au dĂ©veloppement, l’adhĂ©sion serait recommandable Ă  trois conditions :– la Suisse devrait s’engager Ă  Ɠuvrer Ă  modifier les conditions auxquelles sont accordĂ©es les facilitĂ©s du Fonds monĂ©taire international dans un sens qui tienne compte des besoins fondamentaux de la population et qui n’entraine pas de rĂ©pression politique ;– toute augmentation du quota de la Suisse au sein du Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumise Ă  la ratification du Parlement ;– tout accord Ă©ventuel de “stand-by” entre la Suisse et le Fonds monĂ©taire international devrait ĂȘtre soumis au Parlement.Sans devenir membre du Fonds monĂ©taire international, la Suisse pourrait aussi Ɠuvrer dans le mĂȘme sens en modifiant la loi sur la Banque nationale de façon Ă  ce que les mesures de politique monĂ©taire ne soient pas en contradiction avec la loi fĂ©dĂ©rale sur la coopĂ©ration au dĂ©veloppement et l’aide humanitaire internationales
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