16 research outputs found

    Fécondité des saumons atlantiques adultes capturés sur le bassin versant de l'Elorn (rivière de Bretagne nord) et caractéristiques de leurs pontes

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    Des géniteurs de saumon atlantique ont été capturés sur le bassin versant de I'Elorn au moment de la période de reproduction 1980. La mortalité liée à la ponte des géniteurs mis en stabulation à la pisciculture, durant un mois environ, a été différente suivant le sexe :totale chez les mâles, nulle chez les femelles. Les données relatives aux caractéristiques métriques des géniteurs et aux caractéristiques des pontes indiquent, en particulier, qu'il n'existe pasde relations entre la taille des géniteurs et la taille des oeufs, mais qu'il existe une relation inverse entre la fécondité relative et la taille de ceux-ci. La durée du développement embryonnaire est exprimée en degré-jours et est en moyenne de 220 d. jours pour le stade oeillé. de 41 0 à 450 d. jours pour I'éclosion et de 850 à 920 d. jours pour la prise d'alimentation. Elle est cependant, ainsi que la mortalité des oeufs et des alevins vésiculés, très variable et cette variation semble être reliée à la durée de stabulation des géniteurs

    Fécondité des saumons atlantiques adultes capturés sur le bassin versant de l'Elorn (rivière de Bretagne nord) et caractéristiques de leurs pontes

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    Des géniteurs de saumon atlantique ont été capturés sur le bassin versant de I'Elorn au moment de la période de reproduction 1980. La mortalité liée à la ponte des géniteurs mis en stabulation à la pisciculture, durant un mois environ, a été différente suivant le sexe :totale chez les mâles, nulle chez les femelles. Les données relatives aux caractéristiques métriques des géniteurs et aux caractéristiques des pontes indiquent, en particulier, qu'il n'existe pasde relations entre la taille des géniteurs et la taille des oeufs, mais qu'il existe une relation inverse entre la fécondité relative et la taille de ceux-ci. La durée du développement embryonnaire est exprimée en degré-jours et est en moyenne de 220 d. jours pour le stade oeillé. de 41 0 à 450 d. jours pour I'éclosion et de 850 à 920 d. jours pour la prise d'alimentation. Elle est cependant, ainsi que la mortalité des oeufs et des alevins vésiculés, très variable et cette variation semble être reliée à la durée de stabulation des géniteurs

    Influence de l'hydrodynamique des bassins sur la survie et la croissance des larves de turbot (Psetta maxima)

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    Une forte variabilité des performances larvaires est observée chez le turbot. De nombreuses causes ont été étudiées, mais peu de travaux ont été publiés sur l'influence des conditions environnementales. Dans cet article, les effets des conditions hydrodynamiques des milieux d'élevage sur la survie et la croissance de larves nourries jusqu'aux jours 7-10 et de larves non alimentées ont été étudiés. Plusieurs expérimentations ont porté sur l'importance des débits d'eau (600 et 1200 ml.mn-1, constant et progressif), des débits d'air (10 et 30 ml.mn-1) et du sens de circulation de l'eau (descendant et ascendant, avec et sans changement de sens en cours d'élevage). De plus, les interactions possibles du sens de circulation de l'eau avec les conditions d'alimentation des larves ont été étudiées (i) en différant la première distribution alimentaire (à 4 moments différents entre 52 à 76 heures après le stade 95% d'éclos) et (ii) en utilisant deux rations alimentaires (différentes d'un facteur 3). Les résultats montrent que les débits d'eau et d'air influencent fortement la mortalité : une élévation de 25% du débit d'eau et un faible débit d'air ont des effets négatifs durant la période d'alimentation mixte (jours 3-4). Le sens de circulation de l'eau influence la mortalité durant toute la période d'élevage concernée. Un courant ascendant améliore la survie. Ces résultats ont été confortés lorsque des changements de sens de circulation de l'eau ont été pratiqués en cours d'élevage. Ils modifient quasi immédiatement (dans les 8-24 heures) l'évolution des mortalités observées : le passage d'un courant ascendant à un courant descendant entraîne de fortes mortalités et le changement inverse se traduit par une diminution, voire un arrêt de la mortalité. Les conditions d'alimentation testées n'influencent pas la survie larvaire ; elles n'interagissent pas non plus avec le sens de circulation de l'eau sur la survie. Par ailleurs, ni les facteurs influençant l'hydrodynamique dans les bassins, ni le décalage de la première alimentation n'ont d'effet sur la croissance larvaire. Seule l'augmentation de la quantité de proies distribuées permet une augmentation significative de la croissance. En conclusion, l'hydrodynamique dans les bassins a une forte influence sur les survies des larves. Ceci impose, d'un point de vue pratique, un contrôle précis des débits d'eau et d'air. La disponibilité en proies et leur accessibilité pour les larves ne semblent pas devoir être liées aux effets des facteurs hydrodynamiques

    Influence de l'hydrodynamique des bassins sur la survie et la croissance des larves de turbot (Psetta maxima)

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    Une forte variabilité des performances larvaires est observée chez le turbot. De nombreuses causes ont été étudiées, mais peu de travaux ont été publiés sur l'influence des conditions environnementales. Dans cet article, les effets des conditions hydrodynamiques des milieux d'élevage sur la survie et la croissance de larves nourries jusqu'aux jours 7-10 et de larves non alimentées ont été étudiés. Plusieurs expérimentations ont porté sur l'importance des débits d'eau (600 et 1200 ml.mn-1, constant et progressif), des débits d'air (10 et 30 ml.mn-1) et du sens de circulation de l'eau (descendant et ascendant, avec et sans changement de sens en cours d'élevage). De plus, les interactions possibles du sens de circulation de l'eau avec les conditions d'alimentation des larves ont été étudiées (i) en différant la première distribution alimentaire (à 4 moments différents entre 52 à 76 heures après le stade 95% d'éclos) et (ii) en utilisant deux rations alimentaires (différentes d'un facteur 3). Les résultats montrent que les débits d'eau et d'air influencent fortement la mortalité : une élévation de 25% du débit d'eau et un faible débit d'air ont des effets négatifs durant la période d'alimentation mixte (jours 3-4). Le sens de circulation de l'eau influence la mortalité durant toute la période d'élevage concernée. Un courant ascendant améliore la survie. Ces résultats ont été confortés lorsque des changements de sens de circulation de l'eau ont été pratiqués en cours d'élevage. Ils modifient quasi immédiatement (dans les 8-24 heures) l'évolution des mortalités observées : le passage d'un courant ascendant à un courant descendant entraîne de fortes mortalités et le changement inverse se traduit par une diminution, voire un arrêt de la mortalité. Les conditions d'alimentation testées n'influencent pas la survie larvaire ; elles n'interagissent pas non plus avec le sens de circulation de l'eau sur la survie. Par ailleurs, ni les facteurs influençant l'hydrodynamique dans les bassins, ni le décalage de la première alimentation n'ont d'effet sur la croissance larvaire. Seule l'augmentation de la quantité de proies distribuées permet une augmentation significative de la croissance. En conclusion, l'hydrodynamique dans les bassins a une forte influence sur les survies des larves. Ceci impose, d'un point de vue pratique, un contrôle précis des débits d'eau et d'air. La disponibilité en proies et leur accessibilité pour les larves ne semblent pas devoir être liées aux effets des facteurs hydrodynamiques

    Effets de la diminution de la photopériode sur la smoltification précoce obtenue en environnement contrôlé chez le saumon atlantique (Salmo salar)

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    Des régimes artificiels de photopériode et de température permettent d'obtenir une smoltification précoce (dès l'automne), déphasée par rapport aux conditions naturelles prévalant lors du transfert en mer. On étudie ici l'effet de brusques diminutions de la photopériode associées au changement de spectre lumineux. En régime de photopériode et lumière artificielle (fournie par une ampoule à incandescence), après une augmentation de la photopériode sur 80 jours (soit le 18 août, J200 après la première prise d'aliment), un premier passage direct en situation de lumière naturelle en photopériode décroissante a été réalisé ; deux autres ont été effectués 11 jours et 35 jours plus tard. Afin de dissocier l'effet de la photopériode de celui du spectre lumineux, des lots de poissons ont été maintenus, d'une part, sous lumière du jour artificielle ("true lite") et régime de photopériode artificielle et, d'autre part, après transfert en photopériode naturelle décroissante, sous lumière jaune. On conclut que le type de spectre de lumière artificielle n'a pas d'effet sur la croissance, mais en a sur la smoltification ; qu'une diminution de la photophase à la suite d'une courte augmentation de photopériode telle que nous l'avons pratiquée ne permet pas, contrairement à une photophase constante, l'augmentation de la (Na+-K+)-ATPase

    Effets de la diminution de la photopériode sur la smoltification précoce obtenue en environnement contrôlé chez le saumon atlantique (Salmo salar)

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    Des régimes artificiels de photopériode et de température permettent d'obtenir une smoltification précoce (dès l'automne), déphasée par rapport aux conditions naturelles prévalant lors du transfert en mer. On étudie ici l'effet de brusques diminutions de la photopériode associées au changement de spectre lumineux. En régime de photopériode et lumière artificielle (fournie par une ampoule à incandescence), après une augmentation de la photopériode sur 80 jours (soit le 18 août, J200 après la première prise d'aliment), un premier passage direct en situation de lumière naturelle en photopériode décroissante a été réalisé ; deux autres ont été effectués 11 jours et 35 jours plus tard. Afin de dissocier l'effet de la photopériode de celui du spectre lumineux, des lots de poissons ont été maintenus, d'une part, sous lumière du jour artificielle ("true lite") et régime de photopériode artificielle et, d'autre part, après transfert en photopériode naturelle décroissante, sous lumière jaune. On conclut que le type de spectre de lumière artificielle n'a pas d'effet sur la croissance, mais en a sur la smoltification ; qu'une diminution de la photophase à la suite d'une courte augmentation de photopériode telle que nous l'avons pratiquée ne permet pas, contrairement à une photophase constante, l'augmentation de la (Na+-K+)-ATPase

    Influence de la taille des particules alimentaires sur la croissance du saumon atlantique lors de la prise d'alimentation

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    Les taux de croissance enregistrés sur des saumons atlantiques en période de première alimentation ont permis de montrer que la formule établie pour des parrs par WANKOWSKI : taille des particules à distribuer = taille du saumon x 0,024 est vérifiée pour des alevins de plus de 250 mg pour différents aliments. Pour des alevins de taille inférieure à 250 mg, les résultats dépendent de l'aliment, une taille d'aliment de 400 - 630 μ permet en général des performances satisfaisantes. Pratiquement on détermine une correspondance entre taille d'aliment à distribuer et le poids de l'alevin pour la période d'alevinage
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