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    Viande ovine bio Production économiquement rentable sous conditions : technicité, économie de charges, aides…

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    Dans le cadre du GIS Bio Massif Central, avec la participation de nombreux partenaires1, le Laboratoire d’Economie de l’Elevage de l’INRA de Clermont-Ferrand – Theix gère, depuis 2000, une base de données technico-économiques d’élevages ovins viande conduits en Agriculture Biologique (AB). Elle a fait l’objet, en 2004, d’une étude concernant les données de l’année 20022. Aujourd’hui, il semble opportun de faire le point sur les résultats obtenus dans ces élevages entre 2002 et 2004 en tentant de montrer les conséquences de la sécheresse 2003. La pérennité de ces exploitations, voire leur survie, est liée à un revenu minimum, qui justifie de s’intéresser aux facteurs de réussite économique

    EX-POST EVALUATION OF GHG EMISSIONS AND ENERGY CONSUMPTION IN ORGANIC AND CONVENTIONAL MEAT SHEEP FARMS IN FRANCE OVER 26 YEARS

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    The environmental impact of livestock is an important issue, and organic farming (OF) is particularly questioned about greenhouse gases (GHG) emissions. This study aims at comparing GHG emissions and non-renewable energy consumption in meat sheep production, in OF and conventional farming systems. These two criteria have been calculated ex-post on 1261 French year-farms monitored over 26 years. The functional unit used is the carcass weight and allocation between meat and wool is mass based. Regarding GHG emissions, the results show that organic farms emits 5% less GHG than conventional ones, with a higher proportion of methane and less indirect CO2 associated to less inputs use. Given the methodological difficulties, it is hard to argue if carbon sequestration in soil is different between OF and conventional. For non-renewable energy, there is no significant difference between OF and conventional farms, due to compensation (more mechanization and less concentrates and fertilizer purchased). Note the great variability in the results, both in OF and conventional farms. The two main explanatory factors are ewe productivity (for GHG) and forage self-sufficiency (energy consumption)

    Production de viande ovine en agriculture biologique comparée à l'élevage conventionnel : résultats technico-économiques d'exploitations de plaine et de montagne du nord du Massif central

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    Durant les cinq dernières années, l'agriculture biologique (AB) a connu, en France, un développement inégalé : entre 1997 et 2002, la superficie conduite en AB a été multipliée par trois et les effectifs de brebis par cinq. Cette croissance s'accompagne d'un important besoin de référence, en particulier technico-économiques. L'observation sur trois années de 24 exploitations ovines allaitantes en AB, comparées à 39 exploitations ovines allaitantes conventionnelles, met en évidence une certaine spécificité des élevages AB, tout en confirmant les principaux facteurs qui déterminent la marge par brebis et le revenu. Etant donné le prix des aliments concentrés en AB, 1,8 fois supérieur à celui des conventionnels, la quantité consommée est déterminante sur la marge par brebis. Elle peut être réduite en valorisant au mieux la surface fourragère. La plus-value sur la vente des agneaux en AB se réduit depuis trois ans, pour n'être plus en 2002 que de 16% en zone de montagne et nulle en zone de plaine. Le revenu hors aides CTE des éleveurs AB est de 39% inférieur en montagne et de 57% en plaine à celui des élevages conventionnels. Marge par brebis, productivité du travail et charges de structure sont déterminants sur le revenu. Dans le contexte actuel de cours favorables à l'agneau conventionnel, ne permettant que peu de plus-value sur l'agneau bio, le développement ou même simplement le maintien des élevages AB passe par des aides sur le long terme qui intégreraient les aspects environnementaux et, peut-être, la valeur santé des produits qui reste à démontrer

    Technical and economic constraints in organic suckler sheep farming in France analysis in a group of farms

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    International audienceThe structures and the technical and economic results of 12 farms practising organic farming (Org) (eight upland and four lowland) were compared with those of 25 conventional farms (Conv) (14 and 11), over three years (2002-2004). The Org farms had smaller structures, fewer workers, and lower numerical productivity, especially in uplands (-16 % on average over three years) owing to lower flock intensification and sometimes because of sanitary problems. The key questions were above all economic with (i) the high cost of concentrates, the consumption of which remained high (extra cost per kg from 40 % to 60 % in 2004), and (ii) steadily decreasing average premium on meat price; only 9 % in uplands and 2 % in lowlands in 2004. Hence the gross margin per ewe was 20 % to 23 % lower on average over three years, than that on Conv farms. The impact on earnings was marked. Income is also strongly dependent on public subsidies, which are set to diminish

    Méthodologie d'élaboration de résultats technico-économiques en élevage ovin allaitant. Illustration en France, en zone de plaine et de montagne

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    International audienceThis article provides methodological elements for the calculation of the technical and economic results of sheep for meat production systems. The presented criteria are concerning the area used, the labour productivity, the technical performances of the flock, the gross margin of the sheep unit, the structural costs, the net income with a comparative approach between exploitations, the capital and the farm cash. Moreover are calculated criteria of self-sufficiency concerning the feeding of the sheep as well as the nitrogen balance of the farms. These criteria are illustrated by the results of two groups of farms, one in mountain area, the other in disadvantaged plain area with crops.Cet article apporte des éléments méthodologiques pour le calcul des résultats techniques et économiques en élevage ovin allaitant. Les critères calculés concernent les surfaces utilisées, la main d’oeuvre, la productivité du travail, les performances techniques du troupeau, la marge de l’atelier ovin, les charges de structures, le résultat courant avec une approche comparative entre exploitations, le capital et la trésorerie des exploitations. En outre, sont calculés des critères d’autonomie concernant l’alimentation des ovins ainsi que le bilan azoté des exploitations. Le calcul de ces critères est illustré par les résultats de deux groupes d’élevages, en zones de montagne et de plaine défavorisée où les cultures sont largement présentes
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