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    Rituximab Efficacy during a Refractory Polyarteritis Nodosa Flare

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    Polyarteritis nodosa (PAN) is a systemic vasculitis whose severe forms are treated with glucocorticoids and cyclophosphamide. Refractory patients are exposed to many complications, notably accelerated atherosclerosis. We report a case report of 71-year-old man followed for polyarteritis nodosa refractory to glucocorticoids and cyclosphosphamide. Systemic vasculitis relapses are followed to accelerated atherosclerosis: severe ischemic lesions led to amputation of lower limbs. Remission of refractory PAN is obtained with rituximab. Disappearance of biological inflammatory is allowed to regression of ischemic lesions in upper limbs. In this situation, we recommend a systematic vascular work-up for patients suffered from refractory vasculitis. On the other hand, therapeutic trials are needed to determine the real efficacy and place of rituximab in the treatment of polyarteritis nodosa

    Intoxications médicamenteuses aux carbamates et cardiotropes en réanimation médicale et soins intensifs cardiologiques sur le CHU de Bordeaux

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    Les intoxications médicamenteuses aux carbamates et cardiotropes sont à l'origine d'une morbidité et d'une mortalité plus fréquente que les autres intoxications médicamenteuses admises en réanimation médicale. Les innovations thérapeutiques récentes pour le traitement des chocs toxiques réfractaires par assistance circulatoire ont permis de modifier la stratégie de prise en charge de ces patients. L'objectif de notre étude était de décrire les caractéristiques et la prise en charge des intoxications aux carbamates et cardiotropes au Centre Hospitalo-universitaire de Bordeaux. Du 01 mai au 31 octobre 2008, une étude rétrospective a été réalisée dans trois unités de réanimation médicale et une unité de soins intensifs cardiologiques au centre hospitalier universitaire de Bordeaux. Les patients admis pour intoxication médicamenteuse aux carbamates et cardiotropes ont fait l'objet d'un recueil des caractéristiques sociodémographiques et médicales. Nous avons ensuite comparé la prise en charge proposée aux patients aux recommandations d'experts sur la prise en charge des intoxications. Au cours des six mois d'étude, 172 patients ont été admis pour intoxication médicamenteuse, dont 98 % d'intoxications volontaires. Cinquante et un patients (30 %) avaient ingéré des carbamates (60 % du méprobamate) et/ou des cardiotropes avec ou sans effet stabilisant de membrane (40 % des intoxications, essentiellement des bêtabloquants). Dans 59 % des cas, l'intoxication était polymédicamenteuse. Dans 20 % des cas, les patients avaient une pathologie cardiovasculaire sous-jacente. Dans 56 % de cas, les patients ont présenté une défaillance hémodynamique (cardiogénique ou vasoplégique) pré-hospitalière ou hospitalière, dans quatre cas les patients étaient en arrêt cardiorespiratoire à domicile. Des amines vasoactives ont été prescrites dans 21 cas sur une durée moyenne de 3,2 jours (écart type 2,9). La dobutamine était l'amine la plus utilisée (32 % des cas). Vingt-six patients (53 %) ont été intubés, la durée moyenne de ventilation mécanique était de 4,8 jours (écart type 11,8).Quatre patients ont présenté un choc réfractaire malgré un traitement optimal tel que recommandé dans la conférence d'experts. Dans tous ces cas la dose supposée ingérée était supérieure à la dose toxique. Dans 8 cas, les patients avaient ingéré une dose inférieure à la dose toxique mais ont présenté un choc probablement du fait de pathologies cardiovasculaires sous jacentes. Deux patients (4 % sont décédés en réanimation. Les intoxications médicamenteuses aux carbamates et cardiotropes représentaient 30 % des admissions de l'ensemble des intoxications médicamenteuses. Les patients étaient pris en charge tel que le recommandent les experts. Dans quatre cas, une orientation plus précoce vers la cardiologie aurait peut-être diminué la mortalité chez les patients en choc réfractaire.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Effets indésirables médicamenteux graves à l'admission en réanimation médicale (étude prospective à propos de 405 patients)

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    BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Qualité de la communication entre médecins généralistes et hospitaliers à propos des traitements médicamenteux, lors de l'hospitalisation d'un patient

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    CONTESTE : L'hospitalisation crée une discontinuité des soins et les échanges lors de l'admission à l'hôpital puis de la sortie sont capitaux, notamment au sujet des traitements médicamenteux. Une communication efficace évite les pertes d'information préjudiciables pour le patient. L'objectif de notre travail était d'évaluer la qualité des échanges concernant les médicaments entre les médecins généralistes et leurs confrères hospitaliers, lors d'une hospitalisation. METHODES : Ont été inclus dans l'étude les patients hospitalisés en service de médecine après avoir été adressés aux urgences par un médecin généraliste. Pour chacun d'eux, nous avons évalué les informations sur les traitements médicamenteux disponibles dans les lettres d'admission rédigées par les médecins généralistes, et les courriers de sortie d'hospitalisation. Puis les médecins généralistes ont été contactés deux mois après la période d'inclusion, le but étant de savoir s'ils avaient eu à leur disposition les informations lorsqu'ils ont revu leur patient suite à l'hospitalisation (courrier d'hospitalisation, ou ordonnance de sortie). Une grille de notation a été réalisée pour évaluer la qualité des informations concernant les traitements et de leur transmission. RESULTATS : Nous avons inclus 93 patients dans cette étude. Suivant notre grille d'évaluation la communication des traitements est pauvre dans les courriers d'admission (note moyenne de 5.13/10). Elle s'améliore dans les lettres de sortie (9.15), mais les explications sur les changements de thérapeutique sont souvent manquantes (6.94). L'identité du rédacteur du courrier (pour l'admission comme pour la sortie) n'influe pas sur les résultats. La qualité des courriers de sortie reste la même que le patient soit connu du service où a eu lieu l'hospitalisation ou non, ou qu'il ait été en hébergement. CONCLUSION : La communication sur les traitements médicamenteux reste insuffisante lors d'une hospitalisation, tant à l'admission qu'à la sortie.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Les Formes du politique

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    Les manières dont le politique informe l’œuvre, lui donne sa structure, lui confère sa densité, sont analysées ici en une suite d’études qui montrent aussi comme l’homme de pouvoir qu’est l’auteur sait jouer et faire jouer la littérature à son service : parler de politique, n’est-ce pas bien souvent parler du pouvoir que l’écrivain exerce sur son lecteur, de l’autorité de son verbe ou des fictions qu’il élabore ? Les actes du séminaire réunis ici donnent à voir la variété des formes du politique - l’éloquence, le genre du roman politique, les discours philosophiques et théoriques - ainsi que les postures des écrivains à une époque où se pose nécessairement la question de leur engagement
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