41 research outputs found

    La réinvention des genres littéraires à l’ère du numérique. <br>: Entretien patrimonial dans le cadre du programme AAR avec Alexandre Gefen (CNRS, France) réalisé par Neli Dobreva (ESCoM-AAR, FMSH, Paris)

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    Fonds audiovisuel du programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche. Paris, France, 2000 - 2016).L'entretien porte sur un récit de construction d'une carrière de chercheur à partir de le science littéraire. Entre des questionnements internes sur la fin de la fiction, le chercheur et professeur Alexandre Gefen nous mène au cœur des humanités numériques

    Entretien avec Sonia Maluf, anthropologue, professeure associée à l’Universidade Federal de Santa Catarina (UFSC), Brésil. <br>: Entretien patrimonial réalisé par Neli Dobreva (ESCoM-AAR) dans le cadre du programme AAR.

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    Fonds audiovisuel du programme ESCoM-AAR (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2001 - 2016).Cet entretien révèle la carrière d’une militante citoyenne pendant la dictature au Brésil. D'abord journaliste, puis, et toujours, anthropologue engagée sur le terrain, Sonia MALUF, par le biais de ses interrogations sur les récits de sorcellerie, nous fait traverser l'expérience du Sujet. Mais qu'est-ce que le sujet ? La femme est-elle un Sujet de l’expérience, ou bien juste une entité biologique qui doit se justifier constamment ? Le concept de « biolégitimité », emprunté à Didier Fassin, est alors développé par Sonia MALUF dans une démarche de dénonciation de la condition féminine au Brésil. En effet, elle révoque la médicalisation de la femme comme condition de reconnaissance sociale. Sonia MALUF fait alors trois propositions majeures : reconnaître la femme comme Sujet politique ; assurer la présence des femmes dans les débats et l’élaboration des projets politiques ; aborder le Sujet, non pas de façon statistique, mais qualitative, ce qui revient à valoriser et à entendre la volonté du Sujet. A travers divers exemples d’expériences portées par les femmes au Brésil, elle démontre que cela est tout à fait possible. L’entretien se termine avec une anecdote portant sur une expérience de terrain étrange qui aurait pu être funeste pour la chercheuse. Titulaire d’un Doctorat en Anthropologie Sociale et Ethnologie de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris, France en 1996, Sônia MALUF est actuellement Professeure Associée à l’Universidade Federal de Santa Catarina (UFSC) au Brésil (http://www.ant.cfh.ufsc.br/ - http://ppgas.posgrad.ufsc.br/). Vice-directrice du Centre de Philosophie et Sciences Humaines de l´UFSC, elle est également directrice de l’Institut National de Science et Technologie Brasil Plural (INCT/CNPq), du Groupe de l´Anthropologie du Contemporain (TRANSES /UFSC) et du Musée d´Archéologie et Ethnologie de l´UFSC. Elle coordonne la Collection « Brasil Plural » des Editions de l´Université Fédérale de Santa Catarina. <br

    Entretien avec Laura Pisano (Università degli Studi di Cagliari) <br>: Entretien patrimonial réalisé par Neli Dobreva (ESCoM-AAR) dans le cadre du programme AAR.

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    Fonds audiovisuel du programme ESCoM-AAR (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2001 - 2016).L'entretien remonte aux débuts de la carrière de Mme Laura Pisano et développe plus particulièrement ses engagements pédagogiques ainsi que ses activités de metteur en scène

    Entretien avec Barkahoum Ferhati, directrice de recherche au Centre National de Recherche Préhistorique, Anthropologique et Historique (CNRPAH, Alger, Algérie). <br>: Entretien patrimonial réalisé par Neli Dobreva (ESCoM-AAR) dans le cadre du programme AAR.

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    Fonds audiovisuel du programme ESCoM-AAR (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2001 - 2016).Dans cet entretien, Barkahoum FERHATI dévoile les débuts de sa carrière et se livre ainsi à un récit très personnel reliant événements historiques et destins individuels. Architecte de formation, enseignante à l'Ecole des Beaux-Arts et à l'Ecole de l'architecture d’Alger, elle est à la fois acteur et témoin des grands tournants de l’histoire politique et culturelle de l’Algérie : le décès de Houari Bomédiène en 1978, le surgissement des crises et le Printemps berbère de 1980, l’avènement du mouvement islamiste et la création du Front national. Au milieu de tous ces événements, elle développe son élan pour la recherche. Saisie d’interrogations, elle construit une pensée autour de la condition féminine, les lieux de la mémoire, la tradition. Barkahoum Ferhati nous révèle les sources de ses inspirations : sa ville natale de Bou-Saâda, le Musée Etienne Dinnet à Bou-Saâda, dont elle sera la restauratrice et la protectrice de front jusqu’à son incendie en 1995, l’histoire de la prostitution à l’époque coloniale. Elle retrace ensuite le cheminement de sa recherche entre la France et l’Algérie, l’Egypte et le Soudan. Son intérêt pour l’histoire de la tradition l’amène à s’intéresser au port du voile et aux rituels d’excision dans une recherche comparatiste entre l’Algérie et le Soudan. En guise d'anecdote de fin d'entretien, elle nous révèle un secret de sa recherche qui lie l’intime et l’histoire du colonialisme dans ses faits. Barkahoum FERHATI est historienne et anthropologue. Actuellement directrice de recherche au Centre nationale de recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques d’Alger, CNRPAH (Ex-CRAPE) ; chargée du groupe de recherche "Les femmes et les pouvoirs". Elle est également professeure associée à l'Ecole supérieure des Beaux Arts d’Alger et chercheure associée au Centre d’histoire sociale de l’Islam méditerranéen / EHESS, Paris (France). En 2013, elle a été nommée membre de la commission nationale d’évaluation des chercheurs au sein du Ministère de l’enseignement supérieure et de la recherche à Alger. Ses centres d’intérêt portent sur les questions des femmes et du genre. Elle a publié plusieurs articles autour de la pratique de la prostitution, de la sainteté des femmes algériennes, du voyage des femmes artistes - peintres en quête d’orientalisme. Dans le cadre d’une mission auprès d’une ONG au Soudan, Enfants du Monde-Médecins du Monde, pour enquêter sur les pratiques de l’excision, Barkahoum FERHATI a réalisé une étude comparative entre la condition féminine des femmes d’Algérie et celles du Soudan. Depuis peu, elle se consacre à l'étude des communautés chrétiennes, des femmes chrétiennes, en Algérie au sein du Centre d'études diocésain : Les Glycines. Parmi ses principaux ouvrages, on compte : - Islam et révolutions médicales : le labyrinthe du corps, Paris, Karthala, 2013 (Sous la direction de Anne Marie Moulin) - Le costume féminin de Bou-Saâda, Inventaire analytique et évolutions, Alger, Editions Mille Feuilles, 2009 - De la « Tolérance » en Algérie. Des enjeux en soubassement, 1830-1962, Alger, Dar El Othmaniya, 2007 - Le musée national Nasr ed Dine Etienne Dinet de Bou-Saâda. Genèse, (1930-1993), INAS Editions et le Musée de Bou-Saâda, Alger, 2004 <br

    Session 2 : Production culturelle. Débat sous la direction d'Edgardo Manero (CNRS/EHESS). : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une collaboration entre le CRBC et le programme ESCoM-AAR.L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Session 3 : Résistance et droits de l'homme. Débat sous la direction de Jean Hébrard (EHESS) : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une collaboration entre le CRBC et le programme ESCoM-AAR.L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Session 3 : Résistance et droits de l'homme. Débat sous la direction de Jean Hébrard (EHESS) : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une collaboration entre le CRBC et le programme ESCoM-AAR.L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Session 2 : Production culturelle. Débat sous la direction d'Edgardo Manero (CNRS/EHESS). : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une collaboration entre le CRBC et le programme ESCoM-AAR.L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Le Brésil, pays émergé. : Séminaire de Mônica SCHPUN : "Midis de la revue Brésil(s)" (EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une coopération entre Mônica Raisa Schpun (EHESS) et le programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2007 - 2016).Le CRBC et l’UMR Mondes Américains présentent leur nouvelle revue électronique "Brésil(s) – Sciences humaines et sociales". Éditée par le Centre de Recherches sur le Brésil Colonial et Contemporain (CRBC-Mondes Américains/EHESS), elle est publiée par les Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme. Elle prend la suite des Cahiers du Brésil Contemporain fondés en 1987 par Ignacy Sachs et dirigés jusqu'en 2010 par Marion Aubrée. Cette publication semestrielle, ouverte à toutes les disciplines, a pour objectif de faire connaître une pluralité de thèmes et d’approches, notamment dans une visée comparatiste. Il s’agit de (re)placer le Brésil, son histoire, sa société, ses espaces dans des perspectives plus larges issues de débats théoriques et de recherches empiriques capables d’en renouveler l’analyse et la perception. Chaque numéro comporte un dossier thématique et un Varia composés, l’un et l’autre, d’articles inédits. Objectifs scientifiques: Le rôle que tient le Brésil dans le monde contemporain n’est plus à démontrer. Cette économie dite « émergente », confrontée à l’un des plus importants défis écologiques de la planète, est aussi un riche laboratoire politique de la démocratie, des luttes contre la pauvreté et contre la discrimination raciale, même si les disparités sociales et les violences qu’elles engendrent restent une part de son quotidien. Mieux connaître ce territoire exceptionnel et les multiples ensembles internationaux dans lesquels il s’insère est, plus que jamais, une nécessité : de nombreux paradigmes de la modernité et de la postmodernité s’y sont forgés. C’est à cette tâche que la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales se consacre. De plus, la revue se veut une plateforme de la recherche brésilianiste internationale et souhaite multiplier les mises en perspectives, les commentaires croisés, les confrontations. Une série d’événements, liés à son calendrier éditorial, renforcent ces échanges. La parution de chaque nouveau numéro est l’occasion d’une rencontre internationale (atelier, journée d’étude, colloque) et, une fois par mois, un « Midi de Brésil(s) » offre à un brésilianiste reconnu l’occasion de dialoguer avec un public d’autant plus large que la conférence est mise en ligne sur le site des Archives audiovisuelles de la recherche (Fondation Maison des sciences de l’Homme)

    Session 4 : Mémoire, héritage et perspectives comparées. Débat sous la direction de Mônica Raisa Schpun (EHESS). : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une coopération entre Mônica Raisa Schpun (EHESS) et le programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2007 - 2016).L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées
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