35 research outputs found

    Effects of concrete non-homogeneity on Rayleigh waves dispersion

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    Peer reviewed: YesNRC publication: Ye

    Résistance au cisaillement sous faible consolidation et structuration des argiles marines

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    La mesure de la résistance au cisaillement d'argiles intactes en place ou en laboratoire est parfois impossible, que ce soit à cause des limitations des équipements disponibles ou de la difficulté d’accéder au dépôt (fonds marins...). Il est encore important d'examiner si, à partir d échantillons remaniés de ces mêmes dépôts, il est possible de recueillir des données propres au dépôt. Il est proposé ici une méthode d'analyse en laboratoire à partir d'échantillons remaniés. Ainsi, des dépôts d'argile marine, mers de Tyrrell et de Champlain (Québec), maintenant émergés mais relativement jeunes (6 000 à 12 000 ans) ont été étudiés sur le terrain puis en laboratoire avec des échantillons non remaniés. Puis les échantillons furent totalement remaniés et consolidés en laboratoire sous de faibles contraintes (7 à 150 kPa) ; ces échantillons furent ensuite soumis à des essais de pénétration au cône suédois. On a observé que l'évolution de cu (résistance au cisaillement non drainée) en fonction de σ'v (contrainte effective de consolidation) se décompose en trois zones distinctes analogues aux zones observées sur les dépôts d'échantillons intacts ou sur le chantier. Ces résultats montrent que, au moins pour le cas des argiles de l'Est du Canada, caractérisées par une faible dégradation de la minéralogie de la roche mère, il est possible de prévoir le comportement des dépôts d'argile en place à partir d'essais de laboratoire sur des échantillons remaniés

    Damages to Residential Buildings Related to Pyritic Rockfills: Field Results of an Investigation on the South Shore of Montréal, Québec, Canada

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    Numerous cases of garage and basement concrete slab distress at various levels of heaving and deterioration were noticed early after construction in the Montreal south-shore area (Canada). The use of clayey sedimentary rock containing pyrite as aggregates for granular subbase is responsible for most of the observed distress. The heaving of the slabs is related to the oxidation process of the pyrite, followed by sulphate crystallization causing the swelling of the compacted granular subbase. A first inspection survey was carried out in the summer of 1999 in an attempt to assess the extent and magnitude of the damage caused by pyritic rockfills. More than 200 houses showing distress associated with pyrite were investigated in three localities. Damage of the garage floor slab seems to occur earlier after construction and to be more severe likely due to the subbase thickness and to the lower quality of the rockfill. Five houses at various stages of reaction process were monitored. The results suggest that the rockfill swelling is quite fast and continuous. The heaving rate of some garage slabs might be as high as 1.2 mm/month.Key words: pyrite, shales, swelling rockfill, oxidation, sulphate attack, damage. </jats:p

    Évaluation de la cohésion apparente d'une discontinuité rocheuse non liée : application aux fondations des barrages-poids

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    International audienceTo assess the shear strength at the rock-concrete contact inside a gravity dam foundation, many theoretical criteria have been developed that consider the joint surface conditions such as roughness and a potential value for the cohesion. In practice, most of guidelines are still suggesting to use the Mohr-Coulomb (M-C) friction criterion that relies on a friction angle and a cohesion values determined from lab tests, literature or engineer experience. For unbounded joints, no true cohesion can be considered since walls are not physically linked. Yet, a value of apparent cohesion, resulting from joint roughness and interlocking conditions is authorized to be used with M-C. However, no consensus exists to set or evaluate the apparent cohesion to consider. That is why a direct-shear test experimental program based rough joints replicas was developed to investigate the roughness effect on apparent cohesion. For a joint submitted to low normal stress range conditions (0.1 to 1MPa), results show that higher Barton's JRC is and more the apparent cohesion value associated is high: a joint with a JRC of 8.3 shows an apparent cohesion value of 92 kPa versus 421 kPa for a rougher joint (JRC=18.7). Results also showed the interlocking of the joint a role on the apparent cohesion: in comparison to the peak, the residual state indicated no apparent cohesion. The effects of normal load was also investigated and results showed that a higher normal load interval lead to higher values of apparent cohesion, suggesting better interlocking conditions of the joint.Pour estimer la résistance au cisaillement de discontinuités telles que l'interface roc-béton à la fondation d'un barrage-poids, de nombreux modèles de résistance au cisaillement ont été développés, prenant en considération l'état de surface de la discontinuité et l'existence ou non d'une valeur de cohésion. Or, en pratique, les règlements ou guides professionnels proposent d'utiliser le modèle de Mohr-Coulomb (M-C) en s'appuyant sur des valeurs de cohésion et d'angle de frottement issus d'essais expérimentaux, de la littérature ou de l'expérience de l'ingénieur. Pour les discontinuités non liées, aucune valeur de cohésion réelle ne peut être utilisée puisque les épontes du joint ne sont pas physiquement liées entre elles. Mais une valeur de cohésion apparente, issue de la rugosité de la discontinuité, des conditions d'emboîtement et de la contrainte normale est autorisée avec le critère de M-C. Cependant à l'heure actuelle, aucun consensus n'existe pour choisir et évaluer la valeur de cohésion apparente à prendre en compte. Un programme expérimental d'essais de cisaillement direct sur des répliques de discontinuités rugueuses a été développé pour évaluer l'effet de la rugosité sur la cohésion apparente. Pour une discontinuité soumise à de faibles contraintes normales (0,1 à 1 MPa), les résultats montrent que plus le JRC de Barton est élevé et plus la cohésion apparente associée l'est : une discontinuité présentant un JRC de 8,3 résulte ainsi en une cohésion apparente de 92 kPa contre près de 421 kPa pour une discontinuité de JRC 18,7. Les résultats ont également montré le rôle de l'imbrication : en cisaillement résiduel, aucune cohésion apparente n'a été obtenue. La contrainte normale pour laquelle la cohésion apparente est estimée influence également sa valeur : une gamme de contraintes normales plus élevées tend à augmenter la valeur de cohésion apparente pour une discontinuité
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