15 research outputs found

    Nyon / Colonia Iulia Equestris - Nouiodunum (Suisse)

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    Frei-Stolba Regula. Nyon / Colonia Iulia Equestris - Nouiodunum (Suisse). In: Capitales éphémères. Des Capitales de cités perdent leur statut dans l’Antiquité tardive, Actes du colloque Tours 6-8 mars 2003. Tours : Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, 2004. pp. 463-466. (Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 25

    Un acte magique à Avenches

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    Femmes et funérailles publiques dans l'Antiquité gréco-romaine

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    A travers l'examen des honneurs funèbres rendus aux femmes dans l'Antiquité réco-romaine et à travers la comparaison avec les honneurs funèbres rendus aux hommes, cette étude cherche à définir la position de la femme dans les sociétés concernées. Les documents analysés s’échelonnent entre le IIe siècle av. J.-C. et le IIIe siècle ap. J.-C. et proviennent de Grèce, d'Asie Mineure et d'Italie du Sud. Il ressort de cette étude que dans les inscriptions grecques, si les femmes bénéficiaires d’honneurs funèbres à la période hellénistique l’ont été essentiellement en fonction de leurs activités personnelles, les femmes d’époque impériale ont été honorées surtout par égard envers leur famille. Les inscriptions latines, en général plus succintes, datent de l'empire romain puisque la femme sous la République n’était pas honorée par des funérailles publiques. Les textes nous laissent entrevoir l'importance des relations familiales car la défunte est souvent honorée en fonction du prestige des hommes de sa famille (mari, père, fils). En outre, elle fait ressortir la position éminente de la prêtresse du culte impérial ou - en Italie du Sud notamment - du culte de la cité, puisque ce sont précisément ces femmes-prêtresses, dont l’activité était publique, qui ont été honorées par un funus publicum

    Les flaminiques du culte impérial : contribution au rôle de la femme sous l'Empire romain

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    Conçu en deux parties distinctes, cet article tend à montrer en quoi les prêtresses du culte impérial peuvent éclairer notre perception des femmes dans la société romaine antique puisqu'elles sont titulaires d'une charge publique honorifique et qu'elles échappent ainsi à la condition féminine traditionnelle; il souligne en même temps les aspects encore mal connus de cette charge
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