11 research outputs found

    Eradication of an outbreak of vancomycin-resistant Enterococcus (VRE): the cost of a failure in the systematic screening

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    BACKGROUND: Vancomycin-resistant enterococci (VRE) are still a concern in hospital units tending to seriously ill patients. However, the cost-effectiveness of active surveillance program to identify asymptomatically VRE colonized patient remains debatable. This work aims at evaluating the cost of a failure in the active surveillance of VRE that had resulted in an outbreak in a French University Hospital. FINDINGS: A VRE outbreak was triggered by a failure in the systematic VRE screening in a medico-surgical ward specialised in liver transplantation as a patient was not tested for VRE. This failure was likely caused by the reduction of healthcare resource. The outbreak involved 13 patients. Colonized patients were grouped in a dedicated part of the infectious diseases unit and tended by a dedicated staff. Transmission was halted within two months after discovery of the index case. The direct cost of the outbreak was assessed as the cost of staffing, disposable materials, hygiene procedures, and surveillance cultures. The loss of income from spare isolation beds was computed by difference with the same period in the preceding year. Payments were drawn from the hospital database. The direct cost of the outbreak (2008 Euros) was €60 524 and the loss of income reached €110 915. CONCLUSIONS: Despite this failure, the rapid eradication of the VRE outbreak was a consequence of the rapid isolation of colonized patient. Yet, eradicating even a limited outbreak requires substantial efforts and resources. This underlines that special attention has to be paid to strictly adhere to active surveillance program

    Use of anticoagulants and antiplatelet agents in stable outpatients with coronary artery disease and atrial fibrillation. International CLARIFY registry

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    Evaluation du potentiel de chirurgie ambulatoire de l Hôpital Bicêtre (comparaison 2000-2009)

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    PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocSudocFranceF

    La codification PMSI identifie mal les traumatismes graves

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    Background: Resource allocation to hospitals is highly dependent on appropriate case coding. For trauma victims, the major diagnosis-coding category (DCC) is multiple trauma (DCC26), which triggers higher funding. We hypothesized that DCC26 has limited capacity for appropriate identification of severe trauma victims.Methods: We studied Injury Severity Score (ISS), Trauma Related Injury Severity Score (TRISS) and in-hospital mortality using data recorded in three level 1 trauma centers over a 2-year period. Patients were divided into two groups: DCC26 and non-DCC26. For non-DCC26 patients, two subgroups were identified: patients with severe head trauma and patients with spinal trauma. Clinical endpoints were mortality, ISS > 15 and TRISS, IGS II. Use of hospital resources was estimated using funding and expenditures associated with each patient.Results: During the study period, 2570 trauma victims were included in the analysis. These patients were 39 ± 18 years old, with median ISS = 14, and observed mortality = 10 %. Group DCC26 had 811 (31 %) patients, group non-DCC26 1855 (69 %) patients. DCC26 coding identified a more severely injured group of patients. However, in the group non-DCC26, there was a high proportion of severe trauma (ISS > 15: 35 %; TRISS < 0.95: 9 %).Conclusion: DCC26 is not an appropriate coding for severe trauma patients. For these patients, expenditures will include intensive care and rare and costly resources. We propose to take into account the TRISS score to improve trauma coding.Position du problème: L’allocation budgétaire des établissements de santé dépend du codage. Pour les traumatismes, la catégorie majeure de diagnostics « traumatismes multiples graves » (CMD26), censée identifier les patients les plus graves, génère davantage de recettes. Nous avons fait l’hypothèse que la CMD26 identifiait mal les traumatismes graves et coûteux.Méthodes: Nous avons conduit une étude rétrospective d’une base de données de trois centres de traumatologie de niveau 1. L’« Injury Severity Score » (ISS) et le « Trauma Related Injury Severity Score » (TRISS) ont été calculés. Dans un premier temps, les patients ont été divisés en deux groupes : CMD26 et non-CMD26, puis parmi cette dernière catégorie, nous avons distingué les traumatisés crâniens graves et les traumatisés du rachis. Les critères de jugement de la lourdeur clinique étaient la mortalité intra-hospitalière, un ISS ≥ 15, le TRISS, l’IGS II. Les aspects financiers ont été estimés par les coûts et les ressources hospitalières mobilisées. Pour tous les patients, l’écart entre recettes et coûts a été calculé.Résultats: Pendant deux ans, 2570 patients traumatisés ont été analysés (39 ± 18 ans, ISS médian = 14, mortalité observée = 10 %). Le groupe CMD26 comportait 805 (31 %) patients, le groupe non-CMD26 1765 (69 %). La classification en CMD26 identifiait des patients plus graves. Mais dans le groupe non-CMD26, il existait une proportion importante de traumatismes graves (ISS ≥ 15 : 35 % ; TRISS < 0,95 : 24 %).Conclusion: La classification en CMD26 n’est pas adaptée à l’identification des patients traumatisés graves, consommateurs de ressources rares et coûteuses. Nous proposons l’utilisation du score TRISS pour améliorer ce codage

    Hospitalization of HIV positive patients: Significant demand affecting all hospital sectors

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    Position du problème Dans un contexte d’évolution des morbidités sévères chez les sujets vivant avec le VIH (PVVIH), l’objectif de cette étude était de décrire les motifs d’hospitalisation et les modes de prise en charge des sujets ayant recours à une hospitalisation. Méthodes Toutes les hospitalisations (≥24h) de PVVIH survenues au sein de 10 hôpitaux du sud de Paris (COREVIH Ile-de-France Sud) entre le 01/01/2011 et 31/12/2011 ont été identifiées. Les données hospitalières et la base de la file active du service référent VIH ont été croisées dans chaque hôpital. Un retour au dossier clinique individuel a été réalisé sur un échantillon aléatoire de sujets (65 % des patients hospitalisés identifiés au cours de cette année) pour recueillir des données cliniques et biologiques détaillées. Résultats Au total, 3013 hospitalisations (1489 patients) ont été enregistrées au cours de l’année 2011. Le taux estimé de patients hospitalisés sur les 10105 PVVIH régulièrement suivis dans le COREVIH Ile-de-France Sud en 2011 était d’environ 8 %. La majorité (58,5 %) de ces hospitalisations ont eu lieu hors secteur VIH. Les infections non classant SIDA représentaient la première cause d’admission (16,4 %), suivies des pathologies liées au VIH (15,6 %), des maladies hépatiques/gastro-intestinales (12,0 %) et des maladies cardiovasculaires (10,3 %). La durée médiane d’hospitalisation était de 5jours (IQR : 2–11), elle était plus longue pour les patients hospitalisés dans le service référent VIH que dans les autres services. Les patients hospitalisés avaient une infection par le VIH ancienne (>10ans) pour 61,4 % d’entre eux, souvent des comorbidités associées (co-infection VHC/VHB 40,5 %, tabac 45,8 %, hypertension artérielle 33,4 %, dyslipidémie 28,8 %, diabète 14,8 %). Les sujets âgés de plus de 60 ans représentaient 15 % des patients hospitalisés, étaient virologiquement contrôlés sous traitement antirétroviral pour la majorité d’entre eux, et les pathologies cardiovasculaires étaient leur principale raison d’admission. Conclusion Le recours à l’hospitalisation chez les PVVIH reste important, avec une grande variété de lieux et de causes d’admission mobilisant tous les secteurs de l’hôpital. Il est primordial de prévenir les comorbidités pour réduire ces recours et de conserver un lien entre le suivi devenu ambulatoire de ces patients et le recours spécialisé dans les hôpitaux
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