33 research outputs found

    Sneath, David, Changing Inner Mongolia. Pastoral Mongolian Society and the Chinese State

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    Inclus dĂšs 1949 dans la rĂ©publique populaire de Chine, les Mongols de Chine ont Ă©tĂ©, dans les dĂ©cennies qui ont suivi, tenus Ă  l’écart du reste du monde par le gouvernement communiste, comme les autres populations de ce vaste ensemble issu des conquĂȘtes mandchoues — et comme les Han eux-mĂȘmes. Les diverses politiques menĂ©es alors par le rĂ©gime chinois ont profondĂ©ment modifiĂ© leur environnement politique, social, Ă©conomique et culturel. Depuis les annĂ©es 1980, Ă  la suite des rĂ©formes entrepri..

    Normes d’égalitĂ© des sexes versus valeurs traditionnelles de genre en Mongolie communiste

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    Les normes religieuses des Mongols s’ancraient dans le culte des ancĂȘtres patrilinĂ©aires, qui accordait une valeur supĂ©rieure au masculin, et assignaient aux individus des statuts et des rĂŽles sexuĂ©s, rĂ©servant en particulier aux hommes la sphĂšre socio-politique. Elles ont orientĂ© par la suite les pratiques bouddhiques des Mongols. Le rĂ©gime rĂ©volutionnaire instaurĂ© en 1924 sur le modĂšle soviĂ©tique leur a substituĂ© jusqu’à 1990 un nouveau modĂšle normatif neutralisant les diffĂ©rences sexuĂ©es entre citoyens, imposant l’égalitĂ© des droits politiques, promouvant l’accĂšs des femmes Ă  l’éducation et Ă  une activitĂ© sociale et professionnelle extĂ©rieure. L’urbanisation et l’industrialisation ont participĂ© Ă  la mutation du cadre socio-Ă©conomique et des relations de parentĂ© et affaibli l’emprise de la tradition sur les individus. Pourtant la valence diffĂ©rentielle des sexes n’a pas Ă©tĂ© aussi profondĂ©ment remise en question qu’il y paraĂźt, en particulier dans l’action politique, comme en tĂ©moigne a posteriori la sociĂ©tĂ© postcommuniste oĂč la question de la subordination du fĂ©minin dans ce domaine reste d’actualitĂ©.Mongolian religious norms were rooted in the worship of patrilineal ancestors which placed a higher value on the masculine. They assigned gender status and roles to individuals, notably by confining access to the socio-political sphere to men. These norms have subsequently oriented Buddhist practices in Mongolia. The Soviet-style revolutionary regime established in 1924 substituted a new normative model: until 1990, it suppressed gender differentiation among citizens, imposed equal political rights, and promoted women’s access to education, public activity and work outside the home. Urbanization and industrialization played a significant role in changing the socio-economical context and kinship relations, weakening the hold of tradition on individuals. However, the differential valency of gender was not as challenged as it might seem, especially in politics. This is evidenced in post-communist Mongolia, where the subordinate role of women in politics remains an issue

    Sneath, David, Changing Inner Mongolia. Pastoral Mongolian Society and the Chinese State

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    Inclus dĂšs 1949 dans la rĂ©publique populaire de Chine, les Mongols de Chine ont Ă©tĂ©, dans les dĂ©cennies qui ont suivi, tenus Ă  l’écart du reste du monde par le gouvernement communiste, comme les autres populations de ce vaste ensemble issu des conquĂȘtes mandchoues — et comme les Han eux-mĂȘmes. Les diverses politiques menĂ©es alors par le rĂ©gime chinois ont profondĂ©ment modifiĂ© leur environnement politique, social, Ă©conomique et culturel. Depuis les annĂ©es 1980, Ă  la suite des rĂ©formes entrepri..

    Lubsangdorji Jugderiin, Jaroslav Vacek, Colloquial Mongolian. An Introductory Intensive Course

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    J. Lubsangdorji, qui fit autrefois bĂ©nĂ©ficier de ses remarquables talents de pĂ©dagogue le dĂ©partement de langue mongole pour Ă©trangers de l’universitĂ© d’État de Mongolie, et le professeur Jaroslav Vacek qui, en collaboration avec le prĂ©cĂ©dent, fonda le SĂ©minaire d’études mongoles de l’universitĂ© Charles Ă  Prague, livrent ici une nouvelle version, en anglais cette fois, de leur excellent Učebnice mongolĆĄtiny. HovorovĂœ styl de 1979. RĂ©visĂ© et augmentĂ©, ce manuel reste axĂ© sur l’apprentissage de..

    Spirituality versus Ritual ? On Modern Tibetan Buddhism in Post-Communist Mongolia

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    The recovery of religious freedom since the democratic transition in 1990 has been followed by a strong religious and especially Buddhist revival. Yet behind the apparent continuity of tradition, religious resurgence appears to involve a transformation in the way people and specialist alike address religion and practice it. Mongolian Buddhist institutions are contrived to adapt to the urbanite new generations of Mongols and are also challenged by modern Tibetan Buddhism and its Western representatives who focus on the spiritual development of individuals and are at odds with the ritualistic approach of local Buddhists

    Mongolie : un paysage religieux en mouvement

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    Novembre 2009 Une diversitĂ© initiale Les Mongols, de tradition chamaniste, ont connu tĂŽt, par le biais des contacts avec leurs voisins nomades et sĂ©dentaires, diverses religions : bouddhisme, christianisme nestorien, islam, taoĂŻsme, sans parler des influences du zoroastrisme et du manichĂ©isme prĂ©sentes dans d’anciens royaumes des steppes. Gengis Khan et ses successeurs, conscients des bĂ©nĂ©fices spirituels et politiques que le soutien de grandes religions pouvait leur apporter dans les territo..

    Un manuscrit mongol du sƫtra en huit mille strophes

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    La bibliothĂšque des Ă©tudes chinoises possĂšde un manuscrit mongol composĂ© de 443 feuillets rectangulaires (67 cm x 23 cm) enserrĂ©s entre deux ais en bois, calligraphiĂ©s Ă  l’encre et au cinabre sur un papier chargĂ© Ă  fibres longues. Traduction mongole du texte de la Prajñāpāramitā en 8 000 strophes. Photo par Marie Messager La partie supĂ©rieure des deux ais a rĂ©vĂ©lĂ©, aprĂšs restauration, une dĂ©coration peinte en rouge et or reprĂ©sentant des Ă©lĂ©phants et plusieurs autres symboles du bouddhisme..

    Mongolia’s moving religious landscape

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    November 2009 An initial religious diversity Through contacts with neighbouring nomadic and sedentary populations, the shamanist Mongols were exposed early on to various religions such as Buddhism, Nestorian Christianism, Islam or Taoism, not to mention influences of Zoroastrism and Manicheism in the former steppe kingdoms. Chinggis Khan and his successors were interested in the spiritual and political benefits which could be gained from supportive mainstream religions in their dominions and ..

    Mongol

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    Le datif en mongol (khalkha)

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    International audienc
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