90 research outputs found

    Préface

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    Après avoir apporté dans un premier tome toute la documentation sur les événements et les hommes qui ont été les contemporains et les acteurs des fouilles du site de la basilique d’Uppenna au début du XXe siècle, puis fourni dans le CDRom joint au présent volume la monographie tirée de ses propres recherches de terrain, Dominique Raynal nous livre dans les pages qui suivent tous les éléments nécessaires à la compréhension de l’histoire du monument. La finesse de son analyse lui permet de mett..

    Les inscriptions funéraires chrétiennes de la basilique dite de Sainte-Monique à Carthage

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    , . Les inscriptions funéraires chrétiennes de la basilique dite de Sainte-Monique à Carthage. Préface de Noël Duval. Rome : École Française de Rome, 1975. 420 p. (Publications de l'École française de Rome, 25

    Sauvegarde ou sauvetage d'un site?

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    Ennabli Abdelmajid. Sauvegarde ou sauvetage d'un site?. In: Lixus. Actes du colloque de Larache (8-11 novembre 1989) Rome : École Française de Rome, 1992. pp. 393-394. (Publications de l'École française de Rome, 166

    La basilique de Carthagenna et le locus des sept moines de Gafsa. Nouveaux édifices chrétiens de Carthage

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    The Carthagenna Basilica and the monastery of Bigua were part of the monumental urban landscape in which Christians from Carthage lived from the end of the ivth century until the Arab Conquest. What makes their study so fascinating is the fact that they were discovered inside the walls of the city. Former discoveries were mainly located outside the city. The Carthagenna Basilica is of prime importance to understand the life of the Christians of Carthage and their settlement. It enables us to follow the evolution of a building with a religious purpose from the end of the ivth century to the middle of the vnth century. This Christian meeting place, converted into a church at the end of the ivth century, was destroyed or closed and abandonned during the Vandal period. Rebuilt in a luxurious manner in the Byzantine time, it was then a large basilica with two apses, a baptistery annexes and an adjoining chapel in use until the middle of the vnth century. Tellus' house built in the first century went through numerous alterations during the first five centuries A.D. An inscription on a mosaic tells us that in this place laid the remains of the Seven Monks from Gafsa, who had been martyred during the reign of the Vandal kingHuneric in 483, and that Locus of the Seven Monks had been doubled with a memoria, a place of worship for the Seven Brothers Maccabees at the beginning of the vnth century. The connection between this discovery and the end of the Passion of the seven monks, attributed to Victor de Vita, suggests that a group of monks settled during the vth century in the formerly Roman house which then became the monastery of Bigua. Once the Vandal persecution was over, during the second quarter of the vith century, a xenodochium occupied part of the monastic house, serving most likely as a welcome place for the pilgrims who had come to worship the remains of the martyrs of the Vandal persecution. Its characteristic plan with a "salle a auges " (throughs room) makes it one of the most oriental as well as one of the most recent monument of this kind. This book will constitute a very useful and essential reference especially when a new International campaign is scheduled in Carthage.La basilique de Carthagenna et le monastère de Bigua faisaient partie du paysage monumental urbain dans lequel ont évolué les chrétiens de Carthage depuis la fin du IVe siècle jusqu'à la conquête arabe. Ce qui rend leur découverte et leur étude très intéressantes vient de leur situation intra muros. Les découvertes antérieures sont principalement situées hors les murs. L'importance de la basilique de Carthagenna est capitale pour l'histoire de l'implantation et de la vie des chrétiens de Carthage. Elle permet de suivre les transformations d'un bâtiment à destination religieuse du IVe siècle jusqu'au milieu du VIIe siècle. Ce lieu de réunion chrétien transformé en église à la fin du IVe siècle fut détruit, ou fermé, et laissé à l'abandon pendant la période vandale. Rebâti de façon somptueuse à la période byzantine, c'est alors une grande basilique à deux absides, baptistère, salles annexes et chapelle attenante qui fonctionna jusqu'au milieu du VIIe siècle. La maison de Tellus, construite au 1er siècle, a subi au cours des cinq premiers siècles de notre ère différents aménagements. Une inscription sur mosaïque nous donne l'indication que, à la fin du Ve siècle, ce lieu a abrité les restes de sept moines de Gafsa martyrisés sous le règne du roi vandale Hunéric, en 483, et que ce locus des sept moines a été doublé d'une memoria, lieu de vénération des sept frères Macchabées, au début du VIIe siècle. Le rapprochement de cette découverte avec la fin du texte de la Passion des sept moines, attribué à Victor de Vita, permet de considérer qu'un groupe de moines s'installa au Ve siècle dans l'ancienne maison romaine qui prit alors le nom de monastère de Bigua. Après la fin de la persécution vandale, dans le courant du deuxième quart du vie siècle, dans une partie de la maison conventuelle, prit place un xenodochium, servant sans doute de lieu d'accueil des pèlerins venus vénérer les reliques des martyrs de la persécution vandale. Son plan caractéristique avec une salle à auges en fait le monument de ce type le plus oriental ainsi qu'un des plus tardifs. L'ouvrage de Liliane Ennabli constitue un outil indispensable à l'heure de la reprise des fouilles dans le cadre de la campagne internationale de sauvegarde de Carthage.Ennabli Liliane. La basilique de Carthagenna et le locus des sept moines de Gafsa. Nouveaux édifices chrétiens de Carthage. Paris : Éditions du Centre National de la Recherche Scientifique, 2000. 152 p. (Études d'antiquités africaines

    Sauvegarde ou sauvetage d'un site?

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    Ennabli Abdelmajid. Sauvegarde ou sauvetage d'un site?. In: Lixus. Actes du colloque de Larache (8-11 novembre 1989) Rome : École Française de Rome, 1992. pp. 393-394. (Publications de l'École française de Rome, 166

    Inscriptions chrétiennes de Carthage

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    These five Christian inscriptions, four previously unpublished, show great variety : a Christian aphorism, a doxology, and two epitaphs which provide new examples of religious titles. The last inscription introduces a family drama due, it seems, more to private or local circumstances than a specific conflict which could be identified, since this is the second epitaph known from Carthage with a consular date, in this case, A.D. 382.Ces cinq inscriptions chrétiennes, dont quatre étaient jusqu'ici inédites, présentent une grande diversité de genres : sentence édifiante, doxologie, épitaphes apportant de nouvelles occurrences de titres religieux, et la connaissance, pour la dernière d'entre elles, d'un drame familial dû, semble-t-il, plus à des circonstances privées ou locales qu'à un conflit général qui aurait pu être identifié puisque l'année de la déposition est indiquée, 382. Cette dalle nous offre en effet, pour Carthage, la deuxième épitaphe chrétienne datée par les consuls.Ennabli Liliane. Inscriptions chrétiennes de Carthage. In: Antiquités africaines, 33,1997. pp. 191-196

    La basilique de Carthagenna et le locus des sept moines de Gafsa. Nouveaux édifices chrétiens de Carthage

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    The Carthagenna Basilica and the monastery of Bigua were part of the monumental urban landscape in which Christians from Carthage lived from the end of the ivth century until the Arab Conquest. What makes their study so fascinating is the fact that they were discovered inside the walls of the city. Former discoveries were mainly located outside the city. The Carthagenna Basilica is of prime importance to understand the life of the Christians of Carthage and their settlement. It enables us to follow the evolution of a building with a religious purpose from the end of the ivth century to the middle of the vnth century. This Christian meeting place, converted into a church at the end of the ivth century, was destroyed or closed and abandonned during the Vandal period. Rebuilt in a luxurious manner in the Byzantine time, it was then a large basilica with two apses, a baptistery annexes and an adjoining chapel in use until the middle of the vnth century. Tellus' house built in the first century went through numerous alterations during the first five centuries A.D. An inscription on a mosaic tells us that in this place laid the remains of the Seven Monks from Gafsa, who had been martyred during the reign of the Vandal kingHuneric in 483, and that Locus of the Seven Monks had been doubled with a memoria, a place of worship for the Seven Brothers Maccabees at the beginning of the vnth century. The connection between this discovery and the end of the Passion of the seven monks, attributed to Victor de Vita, suggests that a group of monks settled during the vth century in the formerly Roman house which then became the monastery of Bigua. Once the Vandal persecution was over, during the second quarter of the vith century, a xenodochium occupied part of the monastic house, serving most likely as a welcome place for the pilgrims who had come to worship the remains of the martyrs of the Vandal persecution. Its characteristic plan with a "salle a auges " (throughs room) makes it one of the most oriental as well as one of the most recent monument of this kind. This book will constitute a very useful and essential reference especially when a new International campaign is scheduled in Carthage.La basilique de Carthagenna et le monastère de Bigua faisaient partie du paysage monumental urbain dans lequel ont évolué les chrétiens de Carthage depuis la fin du IVe siècle jusqu'à la conquête arabe. Ce qui rend leur découverte et leur étude très intéressantes vient de leur situation intra muros. Les découvertes antérieures sont principalement situées hors les murs. L'importance de la basilique de Carthagenna est capitale pour l'histoire de l'implantation et de la vie des chrétiens de Carthage. Elle permet de suivre les transformations d'un bâtiment à destination religieuse du IVe siècle jusqu'au milieu du VIIe siècle. Ce lieu de réunion chrétien transformé en église à la fin du IVe siècle fut détruit, ou fermé, et laissé à l'abandon pendant la période vandale. Rebâti de façon somptueuse à la période byzantine, c'est alors une grande basilique à deux absides, baptistère, salles annexes et chapelle attenante qui fonctionna jusqu'au milieu du VIIe siècle. La maison de Tellus, construite au 1er siècle, a subi au cours des cinq premiers siècles de notre ère différents aménagements. Une inscription sur mosaïque nous donne l'indication que, à la fin du Ve siècle, ce lieu a abrité les restes de sept moines de Gafsa martyrisés sous le règne du roi vandale Hunéric, en 483, et que ce locus des sept moines a été doublé d'une memoria, lieu de vénération des sept frères Macchabées, au début du VIIe siècle. Le rapprochement de cette découverte avec la fin du texte de la Passion des sept moines, attribué à Victor de Vita, permet de considérer qu'un groupe de moines s'installa au Ve siècle dans l'ancienne maison romaine qui prit alors le nom de monastère de Bigua. Après la fin de la persécution vandale, dans le courant du deuxième quart du vie siècle, dans une partie de la maison conventuelle, prit place un xenodochium, servant sans doute de lieu d'accueil des pèlerins venus vénérer les reliques des martyrs de la persécution vandale. Son plan caractéristique avec une salle à auges en fait le monument de ce type le plus oriental ainsi qu'un des plus tardifs. L'ouvrage de Liliane Ennabli constitue un outil indispensable à l'heure de la reprise des fouilles dans le cadre de la campagne internationale de sauvegarde de Carthage.Ennabli Liliane. La basilique de Carthagenna et le locus des sept moines de Gafsa. Nouveaux édifices chrétiens de Carthage. Paris : Éditions du Centre National de la Recherche Scientifique, 2000. 152 p. (Études d'antiquités africaines

    La nécropole de Raqqada

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    Ennabli Abdemajid. La nécropole de Raqqada. In: Les Lampes de terre cuite en Méditerranée. Des origines à Justinien. Table ronde du CNRS, tenue à Lyon du 7 au 11 décembre 1981. Lyon : Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, 1987. pp. 91-93. (Travaux de la Maison de l'Orient, 13

    Les inscriptions funéraires chrétiennes de Carthage. II. La basilique de Mcidfa

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    Ennabli Liliane. Les inscriptions funéraires chrétiennes de Carthage. II. La basilique de Mcidfa. Préface de Azedine Beschaouch et Georges Vallet. Rome : École Française de Rome, 1982. 404 p. (Publications de l'École française de Rome, 62

    Découverte d'une nouvelle tête en marbre à Carthage

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    Abdelmajid Ennabli, Découverte d'une nouvelle tête en marbre à Carthage, p. 537-546. Quoique fortement mutilée, une nouvelle tête en marbre blanc récemment recueillie à Carthage trouve son identification grâce aux sculptures déjà découvertes et reconstituées au début de ce siècle. Il s'agit en effet d'une tête de la Victoire à la corne d'abondance. Cette nouvelle pièce vient s'ajouter à une série de grands bas-reliefs dont la destination reste encore sans solution. L'hypothèse d'un décor d'arc de triomphe datant d'Antonin est avancée.Ennabli Abdelmajid. Découverte d'une nouvelle tête en marbre à Carthage. In: L'Afrique dans l'Occident romain (Ier siècle av. J.-C. - IVe siècle ap. J.-C.) Actes du colloque de Rome (3-5 décembre 1987) Rome : École Française de Rome, 1990. pp. 537-546. (Publications de l'École française de Rome, 134
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