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    The "family" of deaf-mutes facing the idea of progress in the nineteenth century

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    Nascida em 1834, data do primeiro banquete em honra ao abade de l’Épée, a "família" dos surdos-mudos é obra de Ferdinand Berthier (1803-1886). Ao introduzir essa tradição de banquetes, Berthier consegue federar os surdos em torno da imagem do famoso pedagogo. Em 1838, fundou a Sociedade Central dos Surdos-Mudos de Paris, composta apenas por surdos, que servia como um grupo de pressão "representativo". Berthier e seus "irmãos" surdos reivindicavam, principalmente, acesso à igualdade por meio da língua de sinais em todas as áreas da sociedade. Até 1848, eles conseguiram que suas demandas fossem ouvidas, em parte porque os franceses ainda não estavam sensíveis à ideologia do progresso. Desde a revolução de 1848 até a década de 1870, houve um declínio gradual da influência da "família" dos surdos-mudos, em proporção ao crescente apoio à ideia de progresso e à sua interpretação "oralista", que triunfou em 1880 após do congresso de Milão.The deaf-mutes ‘family’ – the work of Ferdinand Berthier (1803-1886) – was born in 1834, when the first banquet in honnor of Abbé de l’Épée was organized. By establishing this tradition of banquets, Berthier managed to unite deaf people around the image of the famous pedagogue. In 1838, he founded the ‘Société centrale des sourds-muets de Paris’, entirely composed of deaf people, which became a ‘representative’ lobby. Berthier and his deaf ‘brothers’ demanded access to equality by sign language in all areas of society. Until 1848 they were able to make their demands heard, in part because French people were still then largely insensitives to the ideology of progress. From the Revolution of 1848 and into the 1870s, we can observe the progressive decrease of the influence of the deaf-mutes ‘family’, in line with the increase of the adhesion to the ideology of progress and its ‘oralist’ interpretation which triomphed in 1880 after the Congress of Milan

    Les noms propres en LSF : étude à partir d’une traduction

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    Par définition, le nom propre est une identification individualisante d’une entité, animée ou non. En langue vocale, il se spécifie, à l’écrit, entre autres par sa typographie avec notamment la ou les majuscules. Mais qu’en est-il des langues des signes (LS), langues dont la modalité est visuo-gestuelle, qui n’a pas de système écrit, et dont la fonction scripturale est actuellement tenue par la LS-vidéo ? Sans prétendre donner une définition généraliste, nous avons souhaité observer quelles sont les stratégies linguistiques mises en place pour signer certains noms propres, ces derniers ayant été traduits à partir du corpus « Brexit » soumis à l’étude. Nous avons pu caractériser des formes récurrentes telles que le recours aux proformes manuelles et la spatialisation des entités, que nous analysons dans cet article.By definition, a proper noun is the individualising identification of an entity, whether animate or not. In a spoken language, it is specified by its typography, in particular the capital letter or letters when writing. But what about sign languages (SLs), languages whose modality is visual-gestural, which do not have a written system, and whose scriptural function is currently held by the video? Without claiming to give a general definition, we look at the linguistic strategies used to sign certain proper nouns, which have been translated from the corpus under scrutiny. We characterize recurrent forms such as the use of manual proforms and the spatialization of entities, which we analyze in this article

    Signes (Radio Télévision Suisse) : « La langue des signes expliquée aux nuls »

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    http://www.rts.ch/play/tv/signes/video/decouverte-de-la-langue-des-signes?id=3657169&station=a9e7621504c6959e35c3ecbe7f6bed0446cdf8daParticipation à l'émissio

    La famille des sourds-muets (1830-1870). Séminaire Surdité et langue des signes

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    Communication dans le séminaire de recherche "Surdité et langue des signes", École des hautes études en sciences sociales, Pari

    Radio Libertaire : « Pas de quartiers », la langue des signes, ses locuteurs, ses interprètes

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    http://www.groupe-louise-michel.org/?page=emission&id_document=1363Participation à l'émissio

    Les spécificités historiques des formations d'interprètes LSF/français en France

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    International audienceStarting with a brief history of sign language in France, this paper focuses on the specific training of French Sign language interpreters today. It particularly intends to analyze whether or not this specificity is evidence of a fundamental difference between the profession of French Sign language interpreters and the profession of vocal languages conference interpreters. Traces of the existence of sign language have indeed been found since at least Antiquity, but the visual-gestural particularity of sign language has sometimes led individuals who were unfamiliar with it to think it was not a legitimate language, and that sign language interpreters were not doing the same work as vocal languages interpreters. However, when considering the impact of this particular history on the training of sign language interpreters, it is clear that both professions require the same level of excellence. Therefore, we believe there is no reasonto make a distinction between the two professions.A partir d'un retour sur l'histoire de la langue des signes en France, cet article s'intéresse à la spécificité des formations d'interprètes LSF/français à l'heure actuelle. Il cherche, notamment, à analyser si cette spécificité est ou non la marque d'une divergence fondamentale entre le métier d'interprète LSF/français et celui d'interprètes de conférence en langues vocales. En effet, on trouve des traces de l'existence de la langue des signes depuis au moins l'Antiquité, mais la particularité visuo-gestuelle de la langue des signes a parfois conduit les personnes qui ne la connaissaient pas à considérer qu'elle n'était pas une langue et à penser que les interprètes en langue des signes n'effectuaient pas le même travail que des interprètes en langues vocales. Orlorsqu'on étudie l'impact de cette histoire à part sur les formations d'interprètes en langue des signes, on constate que ces dernières présentent le même niveau d'exigence et qu'il n'y a pas lieu, selon nous, de faire de distinction

    Ferdinand Berthier et la "nation sourde" au XIXe siècle

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    Communication dans le séminaire "Religion et Révolution française : histoire et mémoire (XVIIIe-XIXe siècle)". Centre d'anthropologie religieuse européenne/École des hautes études en sciences sociales, Pari

    L'interprétation en langue des signes : la construction d'un métier. Perspective historique

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    Communication dans le séminaire "Interprétation et santé mentale". École des hautes études en sciences sociales, Pari

    Radio Télévision Suisse, Journal du matin : « Un jour, une victoire (3/5) : Emmanuelle Laborit »

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    https://www.rts.ch/play/radio/le-journal-du-matin/audio/un-jour-une-victoire-35-emmanuelle-laborit?id=8800561&station=a9e7621504c6959e35c3ecbe7f6bed0446cdf8daParticipation à l'émissio

    L'action politique de Ferdinand Berthier en faveur des sourds et de la langue des signes (1834-1868)

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    Conférence à l'Association Culture et langue des signes Ferdinand Berthier, Louhan
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