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    Risk and Ethical Concerns of Hunting Male Elephant: Behavioural and Physiological Assays of the Remaining Elephants

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    BACKGROUND: Hunting of male African elephants may pose ethical and risk concerns, particularly given their status as a charismatic species of high touristic value, yet which are capable of both killing people and damaging infrastructure. METHODOLOGY/PRINCIPAL FINDINGS: We quantified the effect of hunts of male elephants on (1) risk of attack or damage (11 hunts), and (2) behavioural (movement dynamics) and physiological (stress hormone metabolite concentrations) responses (4 hunts) in Pilanesberg National Park. For eleven hunts, there were no subsequent attacks on people or infrastructure, and elephants did not break out of the fenced reserve. For three focal hunts, there was an initial flight response by bulls present at the hunting site, but their movements stabilised the day after the hunt event. Animals not present at the hunt (both bulls and herds) did not show movement responses. Physiologically, hunting elephant bulls increased faecal stress hormone levels (corticosterone metabolites) in both those bulls that were present at the hunts (for up to four days post-hunt) and in the broader bull and breeding herd population (for up to one month post-hunt). CONCLUSIONS/SIGNIFICANCE: As all responses were relatively minor, hunting male elephants is ethically acceptable when considering effects on the remaining elephant population; however bulls should be hunted when alone. Hunting is feasible in relatively small enclosed reserves without major risk of attack, damage, or breakout. Physiological stress assays were more effective than behavioural responses in detecting effects of human intervention. Similar studies should evaluate intervention consequences, inform and improve best practice, and should be widely applied by management agencies

    C11- Plantes médicinales et facilitation de l’accouchement : Enquête auprès des parturientes de l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé – Cameroun

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    Introduction : L’utilisation des plantes médicinales en grossesse est une pratique fréquente au Cameroun. L’une des raisons de cette utilisation est la facilitation de l’accouchement. L’analyse de la littérature a mis en évidence le faible nombre de données sur la caractérisation et l’évaluation pharmacologique des plantes médicinales employées par les femmes pour faciliter l’accouchement notamment au Cameroun. Le présent travail s’est proposé de recenser les plantes médicinales utilisées par les parturientes pour déclencher ou favoriser l’accouchement dans un hôpital de la ville de Yaoundé. Méthodologie : Une enquête a été menée auprès de 252 femmes ayant accouché à la maternité de l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé (HGOPY) du 05 mars au 15 mai 2019. Une autorisation de recherche a été préalablement obtenue auprès de l’hôpital et chaque femme était interrogée après information et obtention de son consentement éclairé. Ont été incluses dans l’enquête, les femmes de tout âge en suivi post natal ayant déclaré avoir utilisé les plantes médicinales pour déclencher ou faciliter l’accouchement et consenti à l’étude. Celles ayant accouché à un terme inférieur à 37 semaines d’aménorrhée et celles ayant subi une césarienne élective ont été exclues. Une fiche d’enquête structurée en un questionnaire semi ouvert prétexté a été remplie lors d’un entretien sous forme d’interview avec les parturientes. Les caractéristiques socio démographiques des parturientes, les noms des plantes, leurs origines, les parties utilisées, les recettes et modes d’administration ont été relevés. Les plantes répertoriées ont été récoltées et identifiées à l’Herbier National du Cameroun qui a délivré à cet effet une attestation d’identification d’échantillons botaniques. L’analyse statistique a été faite par le logiciel EPI Info 2.7. Résultats : Des 252 femmes enquêtées, les questionnaires de 125 femmes en suivi post natal à HGOPY répondant aux critères d’inclusion préétablis ont finalement été retenus. Les parturientes avaient un âge moyen de 29 ± 6,8 ans. Elles avaient à 54,8% un niveau d’études universitaires et à 39, 2% secondaires. Elles étaient de religion chrétienne à 94,6% et avaient toutes utilisé des plantes médicinales pour favoriser leur accouchement. Une liste floristique de 47 espèces appartenant à 30 familles botaniques a été dressée au terme de l’enquête. La famille des Malvacées était la plus représentée suivie des familles des Astéracées et Brassicacées. Triumfetta cordifolia était l’espèce ayant la plus forte fréquence de citation (24) suivie d’Hibiscus rosa sinensis (11,2) et Ageratum conyzoïdes (10,4). Les feuilles ont été   la partie la plus utilisée (43%) suivie des écorces (20%). Les recettes ont été préparées dans 54,3 % des cas par friction dans l’eau et dans 31,43% des cas par décoction. L’eau a été le seul solvant employé. Les voies orale (52%) et rectale (48%) ont été les modes d’administration cités. Conclusion : Une grande diversité de plantes médicinales utilisées par les parturientes pour faciliter l’accouchement a été recensée. Des études phytochimiques et toxico- pharmacologiques sur les plantes recensées contribueraient à fournir davantage d’informations sur ces plantes médicinales avec in fine le développement d’un Médicament Traditionnel Amélioré

    Pilanesberg National Park, North West Province, South Africa: Uniting economic development with ecological design – A history, 1960s to 1984

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