24 research outputs found

    Défaut de peau d’orange sur surfaces polymère peintes, Quantification du niveau de perception et causes possibles

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    International audienceLe défaut de peau d’orange est un défaut très courant des peintures, surtout appliquées au pistolet. Il est visible sur les peintures brillantes sous la forme d’une ondulation aléatoire de l’image reflétée par la surface peinte, donnant l’aspect d’une orange. Ce défaut est attribué à une ondulation de la surface qui provoque une déviation des faisceaux réfléchis en condition spéculaire.Plusieurs échelles d’ondulation, ainsi que la couleur et la teinte, induisent une perception différente suivant la distance d’observation.Les résultats issus de l’observation par des panels d’observateurs naïfs et experts montrent que cette perception du défaut est renforcée par des teintes froides ou achromatiques. La vision des textures et contrastes colorés donnent une base de compréhension pour ces résultats.Une observation de la surface fournit une information très différente de celle issue de l’image réfléchie (Fig 1a, b).Des alignements apparaissent à la surface suivant des directions privilégiées avec une forte corrélation spatiale. Cette corrélation est difficilement expliquée par le procédé de mise en peinture ce qui remet en cause l’interprétation classique.Une analyse par rugosimétrie optique de la surface peinte retrouve ces structures corrélées sous la forme d’alignements. Ils sont très visibles en mode intensité et retrouvés dans quelques cas en mode topographie (Fig. 1c, d). Une analyse plus précise de l’orientation et de la périodicité montre une forte corrélationavec les lignes d’écoulement dans le procédé d’injection du polymère support de la peinture. Il semble donc que le défaut de peau d’orange révèle des irrégularités du substrat alors que la peinture est sensée les cacher. La présentation discutera diverses causes possibles de cette relation inattendue

    Défaut de peau d’orange sur surfaces polymère peintes, Quantification du niveau de perception et causes possibles

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    International audienceLe défaut de peau d’orange est un défaut très courant des peintures, surtout appliquées au pistolet. Il est visible sur les peintures brillantes sous la forme d’une ondulation aléatoire de l’image reflétée par la surface peinte, donnant l’aspect d’une orange. Ce défaut est attribué à une ondulation de la surface qui provoque une déviation des faisceaux réfléchis en condition spéculaire.Plusieurs échelles d’ondulation, ainsi que la couleur et la teinte, induisent une perception différente suivant la distance d’observation.Les résultats issus de l’observation par des panels d’observateurs naïfs et experts montrent que cette perception du défaut est renforcée par des teintes froides ou achromatiques. La vision des textures et contrastes colorés donnent une base de compréhension pour ces résultats.Une observation de la surface fournit une information très différente de celle issue de l’image réfléchie (Fig 1a, b).Des alignements apparaissent à la surface suivant des directions privilégiées avec une forte corrélation spatiale. Cette corrélation est difficilement expliquée par le procédé de mise en peinture ce qui remet en cause l’interprétation classique.Une analyse par rugosimétrie optique de la surface peinte retrouve ces structures corrélées sous la forme d’alignements. Ils sont très visibles en mode intensité et retrouvés dans quelques cas en mode topographie (Fig. 1c, d). Une analyse plus précise de l’orientation et de la périodicité montre une forte corrélationavec les lignes d’écoulement dans le procédé d’injection du polymère support de la peinture. Il semble donc que le défaut de peau d’orange révèle des irrégularités du substrat alors que la peinture est sensée les cacher. La présentation discutera diverses causes possibles de cette relation inattendue

    Mécanisme de croissance des films anodiques compacts et poreux. État de l'art et application au titane et au TA6V

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    Après un rappel de l'état de l'art sur l'anodisation, nous présenterons un scénario de croissance de couches obtenues sur titane et TA6V dans un bain d'acide chromique et dans un bain d'acide chromique avec ajout d'acide fluorhydrique. Nous nous appuierons sur des résultats obtenus en chronoampérométrie et par l'analyse physico-chimique et morphologique de ces couches. Nous démontrerons que la première étape est commune quel que soit le bain

    Metallurgical applications of ionic microscopy

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    Adhesion mechanism of copper films deposited by magnetron sputtering on polyamide composites

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    International audienceThis paper presents a study of the interface between Cu and a glass fibre reinforced PAMXD 6 polymer. Substrate surface chemistry was characterised before metallisation by spectroscopic techniques including Fourier transform infrared and X-ray photoelectron spectroscopy (XPS). Chemical bonding of Cu layers (20 nm to 2 ÎĽn thick) to the polymer was investigated by XPS (depth profiling, argon ion bombardment) and secondary ion mass spectrometry. The results showed that Cu reacts with the polymer, leading to the formation of a Cu-O- C like interfacial compound, and illustrated the influence of the evaporation pressure and temperature parameters on the interfacial structure and final quality of the film. The adhesion strength of the coating, obtained by z axis tensile tests (studs bonded to the PAMXD 6 with an epoxy glue), confirmed the interpretation of the analyses

    Étude physico-chimique des couches picturales des peintures murales romaines de l'acropole de Léro

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    We studied several pictural layers from roman wall paintings. Colour, thickness .hardness and roughness were measured. We determined the average and surface composition of the pictural layers and intonaco with the help of electron microprobe analysis and X-ray diffraction. A study of cross-sections pointed out segregations areas on the old interfaces. Roughly speaking, the materials used were in conformity with Vitruvius1 specifications, in spite of a few original aspects :the use of pure heamatite instead of r*d ochre, and the systematic adjunction of clay wherever the pigment does not contain any. A typical roughness shape and the presence of a texture in the material seems linked to the practice of a non-abrasive polishing on some pictorial layers.Diverses couches picturales de peintures murales romaines ont été étudiées. Couleur, épaisseur, dureté et rugosité ont été mesurées. On a déterminé à la microsonde de Castaing et par diffractométrie X les compositions moyennes et superficielles des couches picturales et des intonaco.L 'étude des coupes a mis en évidence des zones de ségrégations aux anciennes interfaces. Grosso modo, les matériaux utilisés sont conformes aux spécifications de Vitruve.mais avec quelques originalités : emploi d'hématite pure, et non d'ocre rouge ; ajout systématique d'argiles lorsque le pigment n'est pas argileux. La forme de certaines rugosités et la mise en évidence d'une texturation de la couche picturale semblent prouver la pratique d'un polissage non abrasif.Delamare F., Dietrich Jacques E., Gay M. C., Monget J.M., Darque-Ceretti Evelyne. Étude physico-chimique des couches picturales des peintures murales romaines de l'acropole de Léro. In: Revue d'Archéométrie, n°6, 1982. pp. 71-86

    Ceramics with metallic lustre decoration. A detailed study of Islamic productions from the 9th century until the Renaissance

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    Nous remercions l'éditeur EDP Sciences qui nous a donné l'autorisation de mettre en ligne cet article qui est une version légèrement modifiée de ce document déjà déposé sur HAL : http://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00554837/fr/International audienceThis paper describes research on the technological evolution of glazed ceramics with a metallic lustre decoration starting from their emergence in the Near East until the Hispano-Moresque productions. That research covers the main known Islamic production sites and periods: Abbasid (Mesopotamia); Fatimid (Egypt); Timurid, Mongol, and Safavid (Iran); Ayyubid and Mamluk (Syria); Nasrid and Hispano-Moresque (Spain). It was allowed by the access to more than hundred full preserved objects or fragments supplied by French national museums (musée du Louvre DAI, musée national du Moyen-Âge, musée national de Céramique). The characterisation of the composition and structure of the ceramics and of their decoration is mostly done through non-destructive analyses methods. The thickness and metal content of the surface lustre layers are quantified thanks to ion beam analyses performed on a particle accelerator: PIXE (particle-induced X-ray emission) for the terracotta and glazes composition and RBS (Rutherford backscattering spectrometry) for the thickness and metal content of the lustre surface layers. The preliminary results show that the features of the decorated ceramics have undergone dramatic variations when transmitted from a production to another, not only, as expected, in the composition of terracotta and glazes, but also in the thickness, the structure and the composition distribution of the lustre layers
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