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    Croisade et paix en Europe au XIVesiècle

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    Le 31 mars 1363, le pape Urbain V prêchait la Croisade en sa chapelle du palais d’Avignon. « Après la prédication faite, raconte Froissart, qui fu moult humble et moult devote de la souffrance Nostre Seigneur, li roys Jehans de Franche emprist la croix et le voa… Ossi là presentement le fistrent messires Talerans, li cardinaulx de Pierregorch, messires Jehans d’Artois, comtes d’Eu, li contes de Tankarville, li comtes de Dammartin, li grans prieurs de Franche, messires Ernouls d’Audrehen, mess..

    Des pèlerins au bout du monde. Pratiques religieuses des chrétiens de Saint-Thomas au XIVe siècle

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    Le sentiment d’appartenir à un ensemble étendu jusqu’aux limites de l’oekoumène a été très vivant dans le peuple chrétien dès les tout premiers siècles du Moyen Age, renforcé qu’il était par l’universalisme hérité de Rome. Même si la chrétienté occidentale avait conscience de former un tout cohérent face entre autres à Byzance et à l’Islam, elle gardait mémoire d’une évangélisation qui avait atteint les extrémités du monde et les premiers grands voyageurs en Asie, un Jean de Plan Carpin, un G..

    JĂ©rusalem "coeur et mylieu de toute la terre du monde"

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    E. Berriot-SalvadoreInternational audienc

    Le cosmographe et le voyageur, de l’indifférence à la rencontre

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    La géographie, discours sur la terre, résulte d’un savoir, le discours, et d’une expérience, celle de la terre. La communication cherche à poser quelques jalons de cette rencontre entre savoir et expérience à partir de quelques exemples pris dans la littérature de la chrétienté occidentale. Durant les premiers siècles du Moyen Âge, les textes scientifiques ne traitent de la terre que comme d’un des quatre éléments qui composent le cosmos, tandis que les récits de voyage, essentiellement des pèlerinages à Jérusalem, ne font à peu près aucune place à la géographie descriptive. À partir du XIIe siècle, la curiosité se manifeste, les auteurs se refusent à répéter les écrits des Anciens s’ils ne sont pas corroborés par leurs propres observations, tandis que les voyageurs s’intéressent au monde qu’ils découvrent et confrontent leur savoir et leurs découvertes. L’étude de textes d’Albert le Grand, de Guillaume de Boldensele, de Jean Buridan, entre autres, permettent d’illustrer cette lente élaboration de la géographie.Deluz Christiane. Le cosmographe et le voyageur, de l’indifférence à la rencontre. In: Les voyageurs au Moyen Âge. Actes du 130e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, « Voyages et voyageurs », La Rochelle, 2005. Paris : Editions du CTHS, 2008. pp. 134-141. (Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques, 130-1

    Un ciel mieux étudié que la terre, d’après quelques textes sur le monde (XIIe-XIVe siècles)

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    Parlant du monde olos de la Chrétienté médiévale, ouvert vers le haut, vers le Ciel, Jacques le Goff évoque les trois cieux de l’Elucidarium d’Honorius Augustodunensis, "le ciel corporel que nous voyons, le ciel spirituel qu’habitent les substances spirituelles, les Anges et le ciel intellectuel où les bienheureux contemplent face à face la Sainte irinité." Il est bien évident que ces trois ciels se confondent aisément pour la mentalité commune et ceci est conforme à l’idée que nous nous fais..

    Le jardin médiéval, lieu d'intimité

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    Partir c 'est mourir un peu. Voyage et déracinement dans la société médiévale

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    Deluz Christiane. Partir c 'est mourir un peu. Voyage et déracinement dans la société médiévale. In: Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, 26ᵉ congrès, Aubazine, 1996. Voyages et voyageurs au Moyen Age. pp. 291-303

    Des lointains merveilleux (d'après quelques textes géographiques et récits de voyage du Moyen Âge)

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    Les grandes mappemondes que nous a léguées le xiiie siècle finissant, celle d'Ebstorf, celle d'Hereford, dessinent, sur les marges de l'oekoumène, tout un monde fantastique, Ictiophages et Osiophages Himantopodes, Satyres et Faunes, peuples enclos par Alexandre à l'intérieur d'une muraille infranchissable, ou gens vivant de la seule odeur des fruits. Plus savantes dans leur construction sur un canevas de rhumbs, les productions des ateliers majorquins, notamment le célèbre Atlas Catalan offer..

    Jean de Mandeville, Voyage autour de la terre

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    Ă©dition et traductionInternational audienc
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