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    Vitamin D status among patients with drug-resistant and non-drug-resistant epilepsy

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    International audienceBackground & Aims: Epilepsy affects nearly 70 million people worldwide. Vitamin D deficiency may influence the balance of certain epilepsies. The purpose of this study was to determine the vitamin D status and anthropometric measurements of people with epilepsy (PWE), according to their pharmacosensitivity. Methods: Forty-six PWE, with or without drug resistance, underwent nutritional assessment after giving consent. Weight, body mass index (BMI), triceps skinfold thickness (TSF), fat mass (FM) and free fat mass (FFM) by bioelectrical impedance analysis were measured. Serum vitamin D was determined without supplementation. Deficiency was defined as a level < 30 ng/mL. Statistical analysis involved Student t test, ANOVA and Chi2. Results: Patients were aged 44.5 ± 14.3 years, with 60.9% of drug-resistance. BMI was 28.7 ± 7.0, 2.2% were malnourished and 30.4% obese according to the BMI. The average vitamin D level was 15.3 ± 9.9 ng/mL, with 87.0% of deficiency, and 40.0% of severe deficiency (<10 ng/mL). The TSF was higher in drug-resistant cases (p = 0.03). There was no link between drug resistance and anthropometric measurements, FM, FFM or vitamin D concentration. Conclusions: Although limited in size, this study showed that PWE are more often obese. Vitamin D deficiency is more common than in the general population, with a much higher prevalence of severe deficiency

    Effets positifs d’interventions nutritionnelles par un réseau de soins sur la teneur en sel des menus des restaurants scolaires de la ville de Limoges

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    International audienceIntroduction et objectifsLa consommation de chlorure de sodium (sel) chez l’enfant est supérieure aux recommandations et, du fait de son retentissement sur la pression artérielle, sa réduction est un objectif de santé publique. C’est une mesure efficace chez l’enfant, avec la possibilité d’une prolongation de l’effet à l’âge adulte. L’objectif principal de l’étude était de diminuer d’environ 20 % la teneur en sel des menus de trois restaurants scolaires (écoles maternelles et primaires) de la ville de Limoges.Matériels et méthodesL’intervention, menée par un réseau de santé, comportait quatre phases : mesure des contenus en sel de trois repas successifs dans trois écoles, formations et discussions avec les personnels de cuisine et personnels en charge de la logistique alimentaire, interventions auprès des fournisseurs de denrées alimentaires industrielles, nouvelles mesures à distance des contenus en sel de trois repas successifs dans les mêmes établissements.RésultatsInitialement, les contenus en sel des repas étaient dans tous les cas supérieurs aux apports recommandés pour un repas principal. Les formations étaient bien perçues et permettaient de confronter les pratiques et de faire 10 propositions d’action. Les interventions auprès des fournisseurs permettaient d’obtenir des denrées alimentaires moins salées. L’évaluation finale montrait une baisse des contenus en sel de 32,9 % pour les maternelles et de 32,3 % pour les primaires, et les contenus étaient très proches des valeurs recommandées.ConclusionCette action a permis une réduction des contenus en sel dans des restaurants scolaires supérieure à l’objectif initial. Elle est la première décrite de ce type. Ceci suggère qu’une telle intervention peut-être une aide importante pour obtenir une baisse de la consommation journalière en sel chez l’enfant
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